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Console rectangulaire en métal chromé et plateau en verre H : 76,5 L : 125 P : 45,5 cm. (piqures, oxudations, traces de rouille, plateau surement rapporté)

Estim. 50 - 100 EUR

ven. 24 mai

Important meuble à hauteur d'appui et à ressaut central, à décor marqueté d'une composition aux vases de fleurs, carquois, arc et fruits sur un entablement, flanquée de part et d'autre d'un treillage fleuri. Il ouvre par un large vantail découvrant trois tablettes, et trois tiroirs en ceinture. Les montants à pans coupés reposent sur une base à décro-chements soutenue par des pieds griffes. Riche ornementation en bronze ciselé et doré tels que frise de tigettes et canaux, guirlandes de fleurs, rosaces, chutes en console, pieds griffes, tablier, moulures et perles. Plateau de marbre rouge veiné gris à cavet renversé. Estampillé plusieurs fois GROHE à Paris. Époque fin du XIXe siècle. 118 × 163 × 61 cm. (Plateau de marbre restauré, infimes sauts de placage). La maison Grohé Frères fut fondée par Guillaume et son frère Jean-Michel Grohé en 1847. Elle fut l'une des plus célèbres maisons d'ameublement de luxe du XIXe siècle et compta parmi sa clientèle le roi Louis-Philippe, l'empereur Napoléon III et la reine d'Angleterre. Le duc d'Aumale lui confia également l'ameublement de Chantilly. Participant à de nombreuses Expositions des produits de l'industrie et aux Expositions universelles, la maison Grohé se distingua à de mul-tiples reprises. Les musées du Louvre, le musée Carnavalet, le palais de l'Elysée le château de Fontainebleau conservent aujourd'hui des meubles de cette illustre maison. Un meuble comparable est illustré in Le mobilier français du XIXe siècle par D. Ledoux-Lebard, Les éditions de l'amateur, Paris 1989, reproduit p. 242 (ancienne coll. P. Lécoules).

Estim. 6 000 - 10 000 EUR

Pierre ABRAHAM / MARCEL ARLAND... JEAN DUTOURD... FRANçOIS WEYERGANS - Lot de 24 volumes enrichis d'un envoi autographe signé de l'auteur Henri Sonet (l'un ou l'autre excepté). Éditions originales en tirage courant, l'un ou l'autre ex. numéroté. In-12 ou in-8. Brochés. 1 : Pierre ABRAHAM - Tiens bon la rampe ! Paris, Les Éditeurs Français Réunis, (1951). Bel envoi à Simone Cordet, chanteuse belge que l'auteur avait rencontré à Bruxelles, en 1957. 2 : Marcel ARLAND - Terres étrangères. Avec un portrait de l'auteur gravé par GALANIS. Paris, NRF, 1923. Édition limitée à 545 exemplaires numérotés. 1/535 sur vergé Navarre (n° 18). 3 : Marcel ARLAND - La Route obscure. Portrait de l'auteur par G. AUBERT. Paris, La Nouvelle Revue Française, «Une Oeuvre, un Portrait», 1924. broché. Tirage de 1131 exemplaires numérotés. Un des 1115 sur vélin (n° 62). Bel envoi à Henri Sonet daté de juin 1973 : «ce livre qui a paru presque en même temps que Terres Étrangères - livre d'un "révolté" qui cherchait une sorte d'"ordre" (et qui ne l'a pas trouvé)/ en bien cordiale sympathie.» 4 : Marcel ARLAND - Étapes. Avec un portrait de l'auteur par CHAGALL. Paris, Nouvelle Revue Française, «Une Oeuvre, un Portrait», 1927. Envoi à Henri Sonet, daté de juin 1973 «... je ne crois pas que le portrait de Chagall soit très fidèle...» 1/670 numérotés sur vélin Navarre (n° 237). 5 : Marcel ARLAND - Sidobre. (Paris), Minuit, «Nouvelles Originales -VIII-», 1949. Édition originale. Un des 990 numérotés sur vélin (n° 396). «Cette nouvelle que je n'ai jamais reprise dans un ensemble ; je l'ai écrite après la guerre, dans un coin du plateau de Sidobre où je passais mes vacances avec Paulhan...» 6 : Marcel ARLAND - Je vous écris... II: La Nuit et les sources. Paris, Bernard Grasset, «Les Cahiers Verts», 1963. Édition originale. Un des 200 hors commerce sur alfa mousse, réservés à la presse (n° S.P. 191). Envoi de l'auteur à M. Young. État de neuf. 7 : Charles BERTIN - Les Jardins du désert. Paris, Flammarion, 1981. 8 : Charles BRAIBANT - Le Secret d'Anatole France : du boulangisme au Panama. Paris, Denoël et Steele, (1935). Édition originale. 1/100 sur alfa pour « Les Amis de Charles Braibant » (n° LXXXVIII). Dos passé. 9 : Pierre BOURGEADE - L’Armoire. [Paris], Gallimard, 1977. Édition originale. Exemplaire du S.P. 10 : Noël DEVAULX pseudonyme de René Forgeot. - Sainte Barbegrise. [Paris], Gallimard, (1952). Édition originale. Exemplaire du S.P. Envoi à Paul Neuray, signature non identifiée. 11 : Jean DUTOURD - La Fin des Peaux-Rouges. [Paris], Gallimard, (1964). Édition originale. Exemplaire du S.P. Envoi au journaliste Victor Moremans. Accompagné d'une lettre dactylographiée signée, sur papier à l'en-tête de Gallimard. Enveloppe conservée. 12 : Jean DUTOURD - Le Demi-solde. [Paris], Gallimard, (1965). Édition originale. Exemplaire du S.P. 13 : Hervé GUIBERT - Des aveugles. [Paris], Gallimard, 1985. 14 : Jean-Edern HALLIER - Le grand écrivain. Paris, Seuil, 1967. 15 : Violette LEDUC - La Bâtarde. [Paris], Gallimard, 1964. Édition originale. Exemplaire du S.P. 16 : Violette LEDUC - La Folie en tête. [Paris], Gallimard, 1970. Édition originale. Exemplaire du S.P. 17 : Maurice PONS - Métrobate. Paris, Julliard, «La Porte ouverte», (1951). 18 : Jorge SEMPRUN - La Montagne blanche. [Paris], Gallimard, 1986. 19 : Jorge SEMPRUN - Netchaïev est de retour. [Paris], JCLattès, 1987. 20 : Jacques SERGUINE - Les saints innocents. [Paris], Gallimard, (1961). Édition originale. Exemplaire du S.P. 21 : Michel TOURNIER - Le Fétichiste, un acte pour un homme seul. Paris, La Quinzaine littéraire, (1974). Forme le supplément du n° 190 de «La Quinzaine littéraire». 22 : Yves VÉQUAUD - Monarque. [Paris], Gallimard, (1967). Édition originale. Exemplaire du S.P. Envoi au romancier Jean-Pierre Giraudoux (Paris, 1919-2000) « au risque d'encore vous déplaire. » 23 : François WEYERGANS - Le Radeau de la Méduse. [Paris], Gallimard, (1983). 24 : François WEYERGANS - La Vie d'un bébé. [Paris], Gallimard, (1986). ENSEMBLE 24 VOLUMES. BONNE CONDITION GÉNÉRALE.

Mise à prix  30 EUR

mer. 29 mai

École italienne ; XVIIe siècle. La tête de saint Jean-Baptiste. Huile sur toile. Relié. Dimensions : 56 x 75 cm ; 67 x 87 cm (cadre). Dans cette toile, l'auteur aborde un thème d'un grand dramatisme, très conforme à la sensibilité populaire de l'époque baroque, fortement influencée par la Contre-Réforme, qui exigeait de l'art un langage réaliste pour que les fidèles puissent comprendre et s'identifier à ce qui était représenté, et une expression dotée d'un contenu émotionnel intense pour accroître la ferveur et la dévotion du peuple. Ainsi, nous voyons la tête décapitée du Baptiste, placée sur le plateau d'or sur lequel elle a été donnée à Salomé, une licence prise par l'artiste, puisque dans le texte biblique la tête du Baptiste est servie sur un plateau d'argent. Dans cette image, il n'y a pas d'éléments narratifs pour raconter l'histoire ; il s'agit d'une composition statique et dévotionnelle dans laquelle nous ne voyons que la tête coupée, reposant sur son propre sang, sur le plateau placé sur une table vêtue d'un riche tissu rouge. L'espace est indéfini et fermé, avec un fond sombre travaillé dans des tons neutres sur lequel se détache la tête du saint, fortement éclairée par une lumière d'héritage tenebriste, dirigée et contrastée, qui laisse les zones secondaires de la composition dans la pénombre, en concentrant l'attention du spectateur sur le visage mort du saint. Le seul attribut qui accompagne le saint est sa croix avec son phylactère, élément caractéristique de l'iconographie du saint, bien que cette scène soit dominée par l'excédent, l'artiste concentrant son attention sur le visage de Jean, qui présente déjà les signes de la mort, puisque ses paupières s'abaissent et que sa peau est jaunâtre. Jean-Baptiste est le fils du prêtre Zacharie et d'Élisabeth, cousine de la Vierge Marie. Il se retire très jeune dans le désert de Judée pour mener une vie ascétique et prêcher la pénitence, et reconnaît en Jésus, qu'il baptise, le Messie annoncé par les prophètes. Un an après le baptême du Christ, en l'an 29, Jean fut arrêté et emprisonné par le tétrarque de Galilée Hérode Antipas, dont il avait osé censurer le mariage avec Hérodiade, sa nièce et belle-sœur. Finalement, saint Jean fut décapité et sa tête donnée à Salomé en récompense de ses belles danses, à la suite d'un stratagème mis en œuvre par Hérodiade.

Estim. 7 000 - 8 000 EUR

mer. 29 mai

ATTRIBUE A L'ATELIER DE GIUSEPPE PARVIS, Egypte vers 1890-1900 - Console dans le style oriental néo-Mamelouk, En bois naturel et bois noirci au décor de deux grands arcs en façade ouvrant sur un fond orné de rosaces en bois finement gravées avec motif d’étoile à douze branches. Les arcs sont surmontés d'une corniche de muqarnas avec de fines bandes en marqueterie de bois. Les côtés sont ornés d’arcs étroits avec les mêmes détails qu'en façade. La partie basse est ceinturée par une balustrade en bois tourné et une corniche gravée. Repose sur des pieds boules. Sommé d'un marbre ceinturé par une corniche en bois gravé. Usures et restaurations anciennes. Dimensions : H. 112 x 127 x 46 cm Provenance : Collection de la Maison Tarazi. Maison fondée en 1862 à Beyrouth qui avait ses succursales à Jérusalem, Damas, le Caire, Alexandrie de 1885 à 1926, ensuite à Rabat, Damas et Beyrouth jusqu'en 1987. Né près de Turin en 1831, Giuseppe Parvis s’installe en 1859 en Égypte où le Khédive Ismail lui donne accès à tous les monuments islamiques du Caire qu’il étudie et dessine. Il est chargé par le Khédive de créer des meubles pour l’Exposition Universelle de 1867 et participe aux Expositions Universelles ultérieures, notamment à celle de Paris en 1878. Il fournit la famille khédiviale pour la décoration des palais, notamment du Palais Abdeen, ainsi qu’un grand nombre de clients fortunés en Égypte et en Europe. Il devient l’un des fabricants de meubles orientalisants les plus populaires de la fin du XIXe siècle (The Arts of the Mamluks in Egypt and Syria: Evolution and Impact, Doris Behrens-Abouseif (ed.), Londres, 2012, p. 49). Deux meubles de Giuseppe Parvis sont dans la Casa Verdi à Milan. Voir également Mobili egizian " (Source : ADER) Vendu sans prix de réserve, mise à prix 10 € Les retraits se feront uniquement sur rdv préalable

Estim. 1 500 - 3 000 EUR