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BRUNO CHERSICLA - BRUNO CHERSICLA (1937 - 2013) Ebe Sculpture en bois décomposable, ex 21/40 41 x 31 x 8,5 cm (fermé) Signée et numérotée, gravée sur la base et titrée sur le devant. Titre au dos PROVENANCE : Collection privée, Modène

Estim. 500 - 1 000 EUR

ven. 17 mai

Georges ARTEMOFF (1892-1965). Poisson enchanteur- vers 1930. Sculpture en bois. Pièce unique en taille directe. Signé devant sur la base. H : 44 ; L : 24 ; P : 3,1 cm. Cette sculpture a été authentifiée par la fille de l’artiste Marie Artemoff-Testa et inscrite au catalogue raisonné permanent de l’œuvre sous le n° SC 104. Note : Les sculptures en ronde-bosse sont relativement rares dans l’œuvre de Georges Artemoff qui préfère s’exprimer dans le bas-relief à travers les panneaux ou les frises. Son corpus d’œuvres sculptées comprend toutefois quelques poissons. C’est un sujet qui lui tient à cœur en ce qu’il symbolise la liberté à laquelle l’artiste a toujours été très attaché. En l’espèce, notre exemplaire dressé sur sa queue, bouche ouverte, est un Poisson enchanteur, thème qui s’inspire d’un conte russe dans lequel un poisson sort d’un lac en portant un anneau qu’il offre à une princesse. Artemoff en réalisa plusieurs versions, dont trois seulement avaient été identifiées, jusqu’à la découverte de notre sculpture, enregistrée désormais sous le n° SC 104 du catalogue permanent des œuvres. Ces quatre versions sont toutes différentes, ce qui fait de chacune une pièce unique. Pour chacune d’elle le bois est précieusement travaillé, patiné avec des parties polies, brillantes et d’autres gravées d’infimes losanges qui suggèrent des écailles. La beauté et le travail du bois traduisent à la perfection le mouvement dynamique et la force vitale de l’animal. Notre sculpture est à rapprocher d’une œuvre en bois sur le même sujet appartenant au Musée d’Art Moderne de Paris, aujourd’hui en dépôt au Musée Goya de Castres, achat de l’État,1932 (n° d’inventaire JP83S). Bibliographie : - “Georges Artemoff le dernier centaure” par N. Zimmerman et Jean-Louis Augé, Lavaur, 2009 (p. 63 et 64) - “Georges Artemoff” par Paul Ruffié, Lavaur, 2018 (modèles similaires reproduits sous les n° 41, 42 et 43 p. 66 et 165) - “Les sculptures sur bois d’Artemoff” par René Chavance, Revue Mobilier Décoration, 1951 (modèles similaires reproduits p. 38 et 39) - “Les sculpteurs animaliers à la Galerie Edgar Brandt” par B. Delisle,. Revue Mobilier Décoration, 1930 (modèle similaire reproduit p. 261)

Estim. 33 000 - 38 000 EUR

mer. 22 mai

Bodhisattva ; Chine, dynastie Yuan-Ming, XIIIe-XIVe siècles. Bois avec traces de polychromie. Certificat C-14 joint. Œuvre exposée à Feriarte 2006. Elle présente des défauts. Dimensions : 137 x 70 x 37 cm ; 137 x 72, 5 x 52 cm (avec la base). Sculpture en bois représentant un bodhisattva. Le terme bodhisattva désigne un être qui, par l'exercice systématique des vertus parfaites, atteint l'état de bouddha, mais renonce à entrer dans le Nirvana complet afin d'aider et de guider tous les êtres, jusqu'à ce qu'ils soient tous libérés. Sa qualité déterminante est la compassion, soutenue par la sagesse et la connaissance suprême. Un bodhisattva apporte une aide active et est prêt à prendre sur lui la souffrance de tous les êtres et à transférer son mérite karmique à d'autres ; logiquement, il est l'objet de la vénération des croyants, qui se sentent plus proches de lui et voient en lui un guide et une aide dans leurs besoins. Dans ce cas particulier, la façon dont le dos de la sculpture est travaillé indique que la pièce faisait à l'origine partie de l'ornementation d'un espace architectural et probablement aussi d'un groupe sculptural plus large. Malgré les défauts causés par le passage du temps, la qualité de la sculpture et l'habileté de l'artiste peuvent encore être appréciées. Sous la dynastie des Yuan, une riche diversité culturelle s'est développée. Les principales réalisations culturelles ont été le développement du théâtre et du roman et l'utilisation accrue de la langue vernaculaire écrite. Les arts et la culture se sont également développés et ont connu un grand essor sous la dynastie des Yuan. L'unité politique de la Chine et d'une grande partie de l'Asie centrale a favorisé le commerce entre l'Est et l'Ouest. Les nombreux contacts des Mongols avec l'Asie occidentale et l'Europe ont donné lieu à de nombreux échanges culturels. Les autres cultures et peuples de l'empire mongol ont également beaucoup influencé la Chine. Les communications entre la dynastie des Yuan et son allié et subordonné en Perse, l'Ilkhanate, ont favorisé ce développement. Le bouddhisme a eu une grande influence sur le règne des Yuan, et le bouddhisme tantrique du rite tibétain a beaucoup influencé la Chine pendant cette période. Certificat joint C-14. Œuvre exposée à Feriarte 2006. Elle présente des défauts.

Estim. 30 000 - 31 000 EUR

jeu. 23 mai

Fine Portrait on panel of Juan Bautista de Muguiro, attributed to Francisco de Goya (1746-1828) - Aragonese School of the 19th century - Fine Portrait on panel of Juan Bautista de Muguiro, attributed to Francisco de Goya (1746-1828) - Aragonese School of the 19th century Oil on panel: 23 x 18 cm, measures with frame 32 x 26 cm. Muguiro, banker and merchant, perhaps exiled in Bordeaux due to the services rendered to King Joseph Bonaparte by his family firm, "J. Irivaren y sobrinos", later held important political positions in the Spain of Isabella II, being, for example, president of the Cortes and senator between 1836 and 1845. Goya, in the dedicatory inscription of the painting, defines himself as a "friend" of the portrayed, perhaps to thank him with that term, so generic in Castilian, for the efforts or aid received from him, who was also the banker of his son Javier. A few years earlier, Goya had thus dedicated "to his friend Arrieta", the portrait he gave to the doctor who saved his life during the illness that affected him in 1819. The artist presented Muguiro for posterity in his most prosaic and mercantile aspect, reading a recently opened letter and seated next to a desk covered with papers, on which shines a large green and gold porcelain inkwell. Goya in his old age condenses his technique in a few brushstrokes, given with sudden impulses of energy, which reveal the effort of his hand and his eyes, almost blind, although it has remained intact. Pérez Sánchez, Alfonso E., "Goya in the Prado. History of a singular collection", Goya. New Visions. Tribute to Enrique Lafuente Ferrari, Isabel García de la Rasilla and Francisco Calvo Serraller (eds.), Madrid, Fundación Amigos del Museo del Prado, 1987, pp. 307-322.

Estim. 6 000 - 7 500 EUR