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Raoul DOSQUE (1860-1937) Aquarelle signée en bas à droite et située "Lande le Vigean" en bas à gauche. Rousseurs. Dimensions : 34 x 46 cm à vue Raoul Dosque (1860-1937) est un peintre paysagiste originaire de Bordeaux qui a capturé la beauté des paysages aquitains. Certaines de ses œuvres sont notamment conservées au Musée des beaux-arts de Bordeaux ainsi qu’au Musée Borda à Dax.

Estim. 100 - 200 EUR

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Pierre SOULAGES (1919 - 2022) Eau-forte III, 1956 Eau-forte sur vélin de Rives signée dans la planche, contresignée et dédicacée au crayon « A Jean Cayrol, en sympathie » en bas à droite. Epreuve venant avec son catalogue dépliant "Pierre Soulages" à la Galerie de France en 1956, d'une édition à 400 épreuves, ici l’exemplaire 275. Lacourières Paris imprimeur, Galerie de France éditeur Dimensions de la planche : 26.7 x 19.5 cm Dimensions du catalogue à plat : 26.7 x 37.5 cm Référence : Pierre Encrevé, Soulages l'œuvre imprimé, Bibliothèque Nationale de France -BNF, Paris, 2003 Écrivain français, Jean Cayrol est né à Bordeaux le 6 juin 1911. Après des études de droit et de lettres, il devient bibliothécaire pour être au plus proche de la poésie, art qui l’a toujours attiré. Il s’attache très vite au mouvement surréaliste, et compose des poèmes de son côté. C’est alors que la guerre éclate. Jean Cayrol entre tôt dans la Résistance au sein du réseau Rémy. Il est dénoncé et déporté au camp de Mauthausen en 1942. Il sera libéré en 1945. Après un retour difficile à Bordeaux, il rejoint Paris où il se lie d’amitié, via le Comité national des écrivains, à Jean Marcenac, Louis Aragon et Paul Éluard, avec qui il entretiendra des correspondances toute sa vie. Il écrira en suivant les Poèmes de la nuit et du brouillard (1946), où il aborde l’horreur des camps et la triste et poétique réalité de la condition humaine. En 1955, l’auteur écrit le texte d'accompagnement du film d'Alain Resnais, Nuit et brouillard. Les années suivantes, il s’invertit pleinement dans la vie parisienne en tant que découvreur de talents, de poète, de romancier, d’essayiste, de scénariste et réalisateur de cinéma. Il est d’ailleurs membre de l’Académie Goncourt à partir de 1973 et prend plaisir à s’entourer de multiples objets d’art. Après ces années bouillonnantes, il se retire peu à peu pour Bordeaux. Il reçoit le Grand Prix national des Lettres en 1984. Il décède en 2005.

Estim. 1 500 - 3 000 EUR

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Pierre MOLINIER (Agen 1900 - Bordeaux 1976) Autoportrait debout Vers 1955. Tirage argentique d'époque. Portant annotations au dos et trois cachets des artistes. Dimensions : 12,5 x 17,5 cm On peut dater la photo d’après le halo qui l’entoure : Pierre Molinier s’était inspiré des effets de Raymond Borde (fondateur de la cinémathèque de Toulouse, proche du mouvement surréaliste et d'André Breton). Celui-ci avait tourné le film «Molinier », sur un texte d’André Breton, entre 1962 et 1964.

Estim. 1 200 - 1 600 EUR

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Pierre MOLINIER (Agen 1900 - Bordeaux 1976) La poupée Portant annotations au dos. Tirage argentique d'époque. Vers 1964. Essai de "La poupée" probablement non concluant pour Molinier. Dimensions : 8,7 x 11,7 cm Devant la toile de « Skin d’Amourdo » (1965). Les jambes en bas résille sont celles de Pierre Molinier. L’artiste a mis un manche à balai dans une jambe de pantalon pour créer l’illusion. Quant au tableau « Skin d’Amourdo », qui permet de dater la photo, il lui a été inspiré par le travesti Skindo, qui s’était réfugié chez lui à Bordeaux vers 1962. Molinier fera de Skindo plusieurs portraits et un personnage récurrent dans ses photomontages.

Estim. 1 200 - 1 600 EUR

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Pierre MOLINIER (Agen 1900 - Bordeaux 1976) Le Joug Essai sur papier de l'artiste. Tirage argentique d'époque. Dimensions : 8 x 6,4 cm Cette position, qui est en réalité un collage, a été utilisée par Pierre Molinier pour en faire des cartes postales. Pour arriver à son orthèse d’autofellation, il assure ne s’être nourri que de son sperme, pendant huit jours, comme les yogis de haut rang.

Estim. 800 - 1 200 EUR

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Pierre MOLINIER (Agen 1900 - Bordeaux 1976) Six fragments de photographies sur papier mat avec photos découpées et modifiées. Destinés aux collages. Tirages argentiques d'époque. Les collages, une fois terminés, sont photographiés, puis redémontés pour de nouvelles compositions, devenant eux-même matrice. Un mouvement sans fin. Il remanie les clichés au pinceau et au crayon, insère ses huiles dans ses photos. On peut voir dans un des fragments la découpe d’une main, motif fétiche chez Pierre Molinier : acérées, griffues, il en fait des serres et des ergots dans plusieurs de ses peintures.

Estim. 3 000 - 6 000 EUR

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Hélène FEILLET (1811-1889) Portrait de Jacques-Taurin de Lormand à 78 ans Huile sur toile signée en rouge en bas à gauche dans le montant du fauteuil Empire. Dimension : 102 x 82 cm Etienne Lormand, né à Bayonne en 1701 d'une famille modeste parvient à la notabilité grâce au négoce en acquérant en 1770 la seigneurie d'Ognoas. Jacques-Taurin, dernier cadet de la famille né le 5 septembre 1762. Il est avocat au barreau de Paris puis au Parlement de Navarre. Le 27 mars 1782, à l'âge de 20 ans, il est admis avec dispense d'âge à l'office de "conseiller en la cour de parlement, comptes, aides et finances de Navarre" à Pau. Après la Révolution et l'Empire, il est élu député des Basses-Pyrénées. Après s'être retiré de la vie politique, il devient administrateur de l'hôpital Saint-Léon de Bayonne. Jacques-Taurin meurt le 24 janvier 1847, à l'âge de 85 ans dans sa maison natale de Bayonne. Sans héritier, il lègue par testament 4 millions de francs or sur les 5 millions qu'il possède à diverses institutions religieuses et philanthropiques. Il serait probable que l'artiste Feillet ait représenté le notable lors de la rédaction de son leg. Hélène Feillet se forme à la peinture auprès d'Ary Scheffer et son père Pierre-Jacques Feillet, peintre et lithographe, lui même formé par le célèbre peintre Anne-Louis Girodet-Trioson (1767-1824). Elle expose au Salon à partir de 1836 ainsi qu'à Londres à partir de 1855. Son "Arrivée à Bayonne du duc et de la duchesse d'Orléans" réalisée en 1842 est une commande du ministère de l'intérieur. Peintre accomplie, elle incarne le savoir-faire pictural, de son époque, à Bayonne.

Estim. 600 - 1 200 EUR

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Pierre Eugène MONTÉZIN (1874-1946) Le vacher Gouache, signée en bas à gauche. Dimensions : 29 x 39 cm Nous remercions Cyril Klein-Montézin qui a aimablement confirmé l’authenticité de cette oeuvre. Experte : Madame Agnès SEVESTRE-BARBE

Estim. 500 - 800 EUR

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DAXHELET Paul (1905-1993) - Fusain signé Daxhelet "Charette et ânes". 25x34 cm

Estim. 80 - 100 EUR

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Aquarelle signée Y. Dassy "Cerises". 15x22 cm

Estim. 30 - 40 EUR

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DAXHELET Paul (1905-1993) - Fusain signé Daxhelet "Danseurs". 25x34 cm

Estim. 80 - 100 EUR

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DAXHELET Paul (1905-1993) - Fusain signé Daxhelet "Animaux africains". 25x34 cm

Estim. 60 - 75 EUR

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Suite de 15 petites aquarelles encadrées figurant des oiseaux. Cadre : 34x30 cm Aquarelles : +- 5x7 cm

Estim. 100 - 150 EUR

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NOLLET Paul (1911-1996) - Aquarelle signée Nollet "Paris, place de la Concorde". 29x44 cm

Estim. 50 - 75 EUR

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WURTH Xavier (1869-1933) - Pastel signé X. Wurth "Chemin forestier". 47x37 cm

Estim. 150 - 200 EUR

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Aquarelle sur papier "Scène bucolique". Dans un cadre en bois. 10x9 cm Cadre : 22x19 cm

Estim. 75 - 100 EUR

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CROMMELYNCK Robert (1895-1968) - Pastel signé R. Crommelynck "Tulipes". 52x34 cm

Estim. 100 - 150 EUR

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HEINTZ Richard (1871-1929) - Eau-forte signée Heintz "L'Ourthe à Sy". 20x23 cm

Estim. 80 - 100 EUR

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MARTIN Alfred (1888-1950) - Aquarelle signée A. Martin "Le perron de Liège". 20x15 cm

Estim. 50 - 75 EUR

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DAXHELET Paul (1905-1993) - Fusain signé Daxhelet "Groupe de personnages". 25x34 cm

Estim. 80 - 100 EUR

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DAXHELET Paul (1905-1993) - Fusain signé P. Daxhelet "La mort au prêche". Avec passe-partout, non encadré. 43,5x26,5 cm

Estim. 200 - 250 EUR

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DAXHELET Paul (1905-1993) - Sanguine signée Daxhelet "Les haleurs". Avec passe-partout, non encadré. 21x49 cm

Estim. 80 - 100 EUR

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DAXHELET Paul (1905-1993) - Fusain signé P. Daxhelet "Les pélerins". Avec passe-partout, non encadré. 30x40 cm

Estim. 80 - 100 EUR

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DAXHELET Paul (1905-1993) - Dessin au fusain "La belle heaulmière à la chaire de vérité" (Villon). Non signé. Avec passe-partout, non encadré. 21x15,5cm

Estim. 150 - 200 EUR

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DAXHELET Paul (1905-1993) - Fusain et aquarelle de Paul Daxhelet "Marchande de masques". Non signé. Daté 27. Avec passe-partout, non encadré. 26x16,5 cm

Estim. 150 - 200 EUR

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DAXHELET Paul (1905-1993) - Fusain et craie blanche de Paul Daxhelet "Les oiseaux". Avec passe-partout, non encadré. 26,5x20 cm

Estim. 150 - 200 EUR

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DAXHELET Paul (1905-1993) - Fusain et pastel de Paul Daxhelet "La barque". Non signé. Avec passe-partout, non encadré. 25x25,5 cm

Estim. 150 - 200 EUR

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DAXHELET Paul (1905-1993) - Fusain de Paul Daxhelet "La belle suspendue". Non signé. Avec passe-partout, non encadré. 44x31,5 cm

Estim. 150 - 200 EUR

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HORENBACH Guy (1939) - Aquarelle signée Guy Horenbach "Composition". 27x32 cm

Estim. 200 - 250 EUR

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PIRENNE Maurice (1872-1968) - Pastel signé M. Pirenne "Promeneuses dans les sous-bois". 29x23 cm

Estim. 300 - 400 EUR

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SCAUFLAIRE Edgar (1893-1960) - Dessin "Pierrot à la lune". Non signé, déchirure. Exposé à la rétrospective d'Edgard Scauflaire au Musée des Beaux-Arts de Liège en 1958. 33x26 cm

Estim. 200 - 250 EUR

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Biros, crayon et stylo MONTBLANC Meisterstck, Allemagne. Corps en résine grenat. Plume en or 14 K. En état de marche. Avec étui en cuir.

Aucune estimation

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Composition abstraite, Vaccaro, 1971, Art contemporain 20e siècle Aquarelle et encre sur papier japonais, dimensions du cadre : 65 x 55 cm, dimensions du papier : 45 x 50 cm

Estim. 600 - 800 EUR

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Gouache sur papier de Roberto Domingo Fallola (Paris, 1883 - Madrid, 1956) École parisienne du début du siècle, dimensions totales avec le cadre : 66 x 50 cm, dimensions seulement gouache sur papier : 27 x 29 cm

Estim. 3 000 - 3 250 EUR

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École DELACROIX, Victor Eugène (Charenton, 1798 - Paris, 1863), signé École française du 19e siècle. Signée avec des initiales au recto et au verso, aquatinte et fusain sur papier. Dimensions du papier. 30 x 25 cm, dimensions avec le cadre : 50 x 40 cm.

Estim. 3 000 - 3 500 EUR

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Vue de la rivière Holandés, signée Carlos de Haes (Bruxelles, 1826-Madrid, 1898) Fusain sur papier, 70 x 105 cm, dimensions encadrées : 143 x 110 cm

Estim. 10 000 - 11 000 EUR

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Scène de tauromachie - Roberto Domingo Fallola (Paris, 1883 - Madrid, 1956) Aquarelle et encre sur papier japonais, dimensions du cadre : 25 x 33 cm, dimensions du papier : 37 x 48 cm

Estim. 1 200 - 1 400 EUR

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Le Picador - Roberto Domingo Fallola (Paris, 1883 - Madrid, 1956) Aquarelle sur papier, dimensions de l'aquarelle : 50 x 65 cm, dimensions du cadre : 85 x 70 cm

Estim. 3 000 - 3 500 EUR

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Paire d'études de Cabeza de Banderillero et Miguel de Cervantes, Reig Vila, école espagnole du début du siècle Début du XXe siècle. Aquatinte sur papier. Dimensions de chaque œuvre encadrée : 40 x 35 cm, dimensions de chaque œuvre : 25 x 20 cm.

Estim. 1 000 - 1 200 EUR

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E. KUNIN, 20e siècle École danoise, aquarelle et pastel sur papier Dimensions totales avec le cadre : 40 x 34 cm

Estim. 1 200 - 1 400 EUR

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Grande tapisserie "Verdure" d'Aubusson du XVIIIe siècle, en laine Dimensions de la tapisserie : 300 x 240 cm. Provenance : propriété d'une importante collection privée, acquise sur le marché de l'art et des antiquités avant 1980 (lots 168-259).

Estim. 4 000 - 5 000 EUR

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Paire de vues exquises et décoratives de la baie de Naples avec le Vésuve en éruption - École italienne napolitaine du XIXe siècle Gouache sur papier, encadrée, 55 x 70 cm (dimensions de l'encadrement), chacune. Excellent état de conservation. Provenance : propriété d'une importante collection privée, acquise sur le marché de l'art et des antiquités avant 1980 (lots 168-259).

Estim. 3 000 - 3 500 EUR

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Grande Tapisserie de Palais "Verdure" d'époque Louis XIII - Travail français du début du 17ème siècle En laine nouée à la main, bon état général : 263 x 200 cm. Provenance : liquidation d'une importante collection privée européenne, lots 168-259).

Estim. 12 000 - 17 000 EUR

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Portrait of Charles Henry of Lorraine, Prince of Vaudemont (1649-1723) - Jean Ranc (1674-1735) French Baroque School 18th Century - Portrait of Charles Henry of Lorraine, Prince of Vaudemont (1649-1723) - Jean Ranc (1674-1735) French Baroque School 18th Century Oil on canvas, measurements: 75 x 60 cm without frame, framed measurements: 100 x 75 cm.

Estim. 8 000 - 12 000 EUR

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Fine Portrait on panel of Juan Bautista de Muguiro, attributed to Francisco de Goya (1746-1828) - Aragonese School of the 19th century - Fine Portrait on panel of Juan Bautista de Muguiro, attributed to Francisco de Goya (1746-1828) - Aragonese School of the 19th century Oil on panel: 23 x 18 cm, measures with frame 32 x 26 cm. Muguiro, banker and merchant, perhaps exiled in Bordeaux due to the services rendered to King Joseph Bonaparte by his family firm, "J. Irivaren y sobrinos", later held important political positions in the Spain of Isabella II, being, for example, president of the Cortes and senator between 1836 and 1845. Goya, in the dedicatory inscription of the painting, defines himself as a "friend" of the portrayed, perhaps to thank him with that term, so generic in Castilian, for the efforts or aid received from him, who was also the banker of his son Javier. A few years earlier, Goya had thus dedicated "to his friend Arrieta", the portrait he gave to the doctor who saved his life during the illness that affected him in 1819. The artist presented Muguiro for posterity in his most prosaic and mercantile aspect, reading a recently opened letter and seated next to a desk covered with papers, on which shines a large green and gold porcelain inkwell. Goya in his old age condenses his technique in a few brushstrokes, given with sudden impulses of energy, which reveal the effort of his hand and his eyes, almost blind, although it has remained intact. Pérez Sánchez, Alfonso E., "Goya in the Prado. History of a singular collection", Goya. New Visions. Tribute to Enrique Lafuente Ferrari, Isabel García de la Rasilla and Francisco Calvo Serraller (eds.), Madrid, Fundación Amigos del Museo del Prado, 1987, pp. 307-322.

Estim. 6 000 - 7 500 EUR

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Fusain sur papier, David Roberts, 1852, 19e siècle École victorienne anglaise Dimensions du dessin : 28 x 18 cm, dimensions 56 x 46 cm

Estim. 800 - 900 EUR

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Paire décorative de grandes vues de la baie de Naples - Pastel sur papier - École napolitaine italienne de la fin du XVIIIe siècle Paire de pastels sur papier, dimensions : 85 x 40 cm (chacun), dimensions encadrées : 95 x 55 cm chacun, encadré. École napolitaine de la fin du XVIIIe siècle au début du XIXe siècle. Provenance : importante collection privée, Madrid.

Estim. 3 000 - 3 500 EUR

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Antoni Tàpies (Barcelone, 1923-2012) - Épreuve d'auteur en technique mixte de gravure et acrylique sur papier, 1976 Technique mixte de gravure et acrylique sur papier, dimensions : 80 x 60 cm, encadrée dans une urne en acier et méthacrylate. Exposition : Galerie Joan Prats, 1976. Provenance : importante collection privée de Barcelone (lots 450 à 462).

Estim. 15 000 - 18 000 EUR

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École de Valence, 19e siècle, signée Aquarelle sur papier, dimensions avec cadre : 45 x 32 cm

Estim. 300 - 400 EUR

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École de Valence, 19e siècle, signé Fusain sur papier, dimensions avec cadre : 53 x 45 cm

Estim. 300 - 400 EUR

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Dame au fusain sur papier, signée Sanguina sur papier, dimensions avec cadre : 53 x 45 cm

Estim. 900 - 1 200 EUR

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Antoni Tàpies, "Flocat Gris, 1978" Test d'auteur (Barcelone, 13 décembre 1923-6 février 2012) 10/15. Lithographie de flocage sur papier Velin d'Arches. Signée au crayon. Numérotée 36/100 + 15HC + 18 PA. Édité par Galería Maeght, Barcelone. Dimensions : 55,5 x 76,5 cm. Œuvre reproduite dans : Mariuccia Galfetti, "Tàpies. Das Graphische Werk, L'Oeuvre gravé. Volume II 1973-78". Erker-Verlag, St. Gallen, 1984, no. 686, p. 249".

Estim. 1 500 - 1 800 EUR

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Lot d'étoiles - "Deux nus" ANTONIO SAURA (Huesca, 1930-Cuenca, 1998), encre originale et collage sur panneau, 1975 Certificat d'origine délivré par le directeur de la galerie Maeght Don Francisco Farreras Valenti, dimensions : 53 x 73 cm. Année 1976. Provenance : importante collection privée, acquise directement auprès de la galerie Maeght en 1976.

Estim. 45 000 - 50 000 EUR

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Lithographie sur papier, signée, Fernand Léger (4 février 1881-17 août 1955), 20e siècle, école cubiste contemporaine française Signée en bas à droite, dimensions de l'œuvre : 50 x 40. Fernand Léger (4 février 1881-17 août 1955) est un peintre cubiste français de premier plan de la première moitié du XXe siècle. La principale collection de ses œuvres se trouve au Musée national Fernand-Léger, situé à Biot, dans les Alpes-Maritimes, un musée d'État français inauguré en 1960. La peinture de Fernand Léger se caractérise par la confluence avec les aspects architecturaux, avec une importance particulière pour les relations entre les figures, les lignes et les couleurs. En outre, sa préférence pour la peinture murale lui a permis d'introduire d'autres facteurs dans ses œuvres. Bibliographie : MORENO MORENO, María Pura. Fernand Léger : architecte-peintre mural". Textes académiques, n° 11, 2019. Lot non réservé, ex-collection privée hongro-israélienne, liquidation d'un important héritage - legs.

Estim. 1 000 - 1 200 EUR

jeu. 23 mai

Beatles Signed Magical Mystery Tour EP - Obtained at the Film's Launch Party at London's Royal Lancaster Hotel (December 21, 1967) - Exceptionnellement rare disque double EP Magical Mystery Tour de Parlophone Records par les Beatles, signé et inscrit au crayon à papier à l'intérieur de la couverture et sur la première page du livret, "To Nichole, love, John Lennon, x", "Love, Ringo Starr", "Paul McCartney" et "Love from, George Harrison". L'expéditeur indique que les signatures ont été obtenues par Nicola Hale, qui a joué aux côtés des Beatles dans le film Magical Mystery Tour et qui est mentionnée dans le livret offert en tant que "The Little Girl" (la petite fille). Hale a obtenu les signatures lors de la soirée de lancement du film qui s'est tenue au Royal Lancaster Hotel de Londres le 21 décembre 1967. Le livret est également signé par six autres participants à la soirée, dont les acteurs George Claydon, Shirley Evans, Victor Spinetti et Derek Royle, le cinéaste Peter Theobald et la chanteuse pop Lulu, qui avait réprimandé John Lennon pour avoir flirté en état d'ébriété avec Pattie Harrison lors de la soirée ; L'état d'ébriété de Lennon peut également expliquer qu'il ait mal orthographié le nom de la destinataire. L'EP complet signé est joliment encadré d'une grande image en couleur du groupe, d'un deuxième EP Magical Mystery Tour (dont les pages ont été retirées pour montrer la couverture et la pochette intérieure du vinyle, cette dernière faisant référence à "Little Nicola"), et d'une légende dactylographiée indiquant que le livret a déjà été vendu chez Christie's en 1998. Encadrés ensemble pour une taille totale de 20,5 x 31,25. En très bon état.

Estim. 30 000 - 40 000 USD

jeu. 23 mai

Beatles Signatures on a Swedish Press Pass (Obtained at the Eskilstuna Sporthall on October 29, 1963) - Signatures au stylo à bille d'époque, "Beatles, Ringo Starr", "George Harrison", "John Lennon" et "Paul McCartney", au verso d'une carte de presse blanc cassé 4,5 x 3 pour le journal Tidningen Folket, délivrée à un journaliste pour une place réservée au concert des Beatles qui a eu lieu au Sporthallen à Eskilstuna, en Suède, le 29 octobre 1963. En très bon état, avec de petites zones de perte de surface. Accompagné d'un certificat d'authenticité de Tracks et d'une lettre de provenance du destinataire original : "Autographe obtenu au concert des Beatles à Eskilstuna en Suède en 1963. J'y étais avec deux amis de 13 ans. Mon père travaillait au concert et nous a emmenés dans les coulisses pour les rencontrer et obtenir l'autographe." Quelques mois avant que la Beatlemania ne déferle sur les États-Unis avec la prestation légendaire du groupe au Ed Sullivan Show, les Fab Four se sont rendus en Suède pour une tournée de cinq concerts qui a mis en évidence une facette plus audacieuse des Beatles, en injectant un rythme et un blues standard avec un rythme et une attitude punk frénétiques. Malgré leur popularité en Suède, les Beatles sont placés en deuxième position sur l'affiche, derrière Joey Dee and the Starliters. Cependant, l'apparition du groupe à la télévision dans l'émission Drop In et le concert de sept chansons qu'ils donnent ensuite au Karlaplansstudion de Stockholm leur assurent rapidement une place de choix auprès du public suédois.

Estim. 15 000 - 20 000 USD

jeu. 23 mai

Beatles Signed Program Page (June 9, 1963) - Obtained at King George’s Hall in Blackburn, Lancashire - Page retirée d'un programme de la tournée des Beatles au Royaume-Uni en 1963 avec Roy Orbison, 8 x 10,25, signée à côté de leurs images au stylo à bille noir, "Paul McCartney", "John Lennon", "George Harrison" et "Ringo Starr". L'expéditrice indique que sa mère a obtenu ces signatures après que les Beatles ont joué au King George's Hall de Blackburn, dans le Lancashire, en Angleterre, le 9 juin 1963, lors du dernier spectacle de leur tournée au Royaume-Uni avec Roy Orbison. Incidemment, le texte "4000 holes in Blackburn Lancashire" faisait également partie de la chanson des Beatles "A Day in the Life", qui figurait sur l'album Sgt Pepper's Lonely Hearts Club Band, sorti en 1967. En très bon état, avec des plis d'ensemble, des plis d'intersection, quelques petites déchirures sur les bords et quelques pertes de surface et de papier dans les coins. Bien qu'Orbison ait été initialement prévu pour être la tête d'affiche, la réaction du public à la tournée des Beatles a fait que ces derniers ont été les co-têtes d'affiche, les Fab Four clôturant le set à la place traditionnelle de tête d'affiche. Selon l'expéditeur : "Ma mère venait d'avoir 16 ans deux jours avant le concert. Elle vivait à Blackburn à l'époque, et elle était ravie de fêter son anniversaire en regardant ce qui allait devenir le boys band le plus emblématique du monde. À la fin du concert, après avoir manqué le dernier bus pour rentrer chez elle, elle est tombée sur Milton Howarth, qui était à l'époque journaliste au Lancashire Evening Telegraph. Il lui dit : "Si vous attendez dehors, je vous accompagnerai, mais je dois aller faire une interview des Beatles". Voyant qu'elle tenait le programme du concert à la main, il lui dit : "Donnez-moi votre programme et je leur demanderai de vous le signer". De retour dans leur loge, les Fab Four s'entretiennent avec un journaliste du Telegraph, John déclarant : "C'était la meilleure foule que nous ayons eue jusqu'à présent. J'aurais pu jouer une heure de plus".

Estim. 8 000 - 10 000 USD

jeu. 23 mai

Beatles Signed Menu: McCartney, Harrison, Starr, and Aspinall - Menu d'avion TEAL (Tasman Empire Airways Limited) datant de 1964, deux pages, 4,5 x 6,5, signé au recto au stylo à bille bleu par Paul McCartney en son nom et au nom de son célèbre partenaire compositeur ("Paul McCartney, John Lennon") et au stylo à plume délavé par les membres du groupe Beatles, "George Harrison" et "Ringo Starr". Le verso est également signé au stylo à bille noir par leur road manager, Neil Aspinall. La couverture du menu comporte une illustration d'un garçon aborigène souriant portant la coiffure des Beatles, symbolisant l'attrait universel du groupe alors que la "Beatlemania" s'emparait du monde entier. En dessous, le menu porte l'inscription "Your Beatle Menu", avec l'acronyme "TEAL" en diagonale. En très bon état, avec les signatures de Harrison et Starr uniformément décolorées mais lisibles, et de minuscules trous d'épingle dans les coins. Accompagné de lettres d'authenticité de Perry Cox et Frank Caiazzo, spécialistes des Beatles, ce dernier écrivant : "Paul a signé magnifiquement au stylo à bille bleu et a également signé au nom de John Lennon, qui n'était manifestement pas disponible pour un autographe à l'époque. En outre, George Harrison et Ringo Starr ont également signé, mais leurs signatures se sont considérablement estompées et sont très légères, bien que visibles... Ce menu a été signé en juin 1964, lorsque les Beatles se produisaient en concert en Australie et en Nouvelle-Zélande".

Estim. 2 000 - 3 000 USD

jeu. 23 mai

Jimi Hendrix Rare Ultra-Early Original Concert Recording with Little Richard (Boston, 1965) - Enregistrement original incroyablement rare du spectacle de Little Richard au Back Bay Theatre [anciennement le Donnelly Theatre] à Boston en 1965, accompagné par Jimi Hendrix, alors inconnu, en tant que guitariste de son groupe ; la date du spectacle est supposée être le 12 mai 1965, comme indiqué dans le livre Becoming Jimi Hendrix de Steven Roby et Brad Schreiber. Cette date correspond au souvenir que l'écrivain musical Peter Guralnick a gardé du spectacle. Dans sa nécrologie de l'artiste légendaire parue en mai 2020 dans Rolling Stone, "Remembering Little Richard's Kind Heart and One-of-a-Kind Soul", Guralnick se souvient : Je ne connais personne qui puisse mieux travailler une chanson en concert. Je n'oublierai jamais la tête d'affiche d'un spectacle de soul au Donnelly Theatre de Boston en 1965, qui a fait vibrer la foule lorsqu'il a quitté le micro et s'est rendu sur le bord de la scène, avec un Jimi Hendrix inconnu qui jouait de la guitare derrière lui. Pendant près de 10 minutes, Richard a continué à chanter, à expliquer et à développer le classique numéro d'inspiration des années 1950 "Shake a Hand", le tout sans amplification vocale, alors que lui et le public entraient dans un état de transe que seuls James Brown et Solomon Burke (qui le vénéraient tous deux) pouvaient inspirer de la même manière. L'enregistrement a été réalisé par Little Walter DeVenne, personnalité de la radio de Boston, sur une bobine Scotch 190 à 7,5 ips, et provient de ses archives personnelles. L'émission commence par une section de 10 minutes où Hendrix joue avec Don et Dewey, y compris le classique "Shotgun". Ensuite, le maître de cérémonie présente avec enthousiasme Little Richard et son groupe : "J'aimerais que vous vous réunissiez pour accueillir un jeune homme délicat. Plus beau que Cassius Clay. Il frappe plus fort que Roger Maris. Il a plus de succès que Willie Mays. Je veux que vous joigniez vos mains et que vous lui fassiez du bien. Faites-le se sentir bien maintenant ! Certaines d'entre vous peuvent le faire se sentir bien plus tard. Ecoutons-le maintenant, une grosse main pour Little Richard !" Les cris des fans font place à une ouverture dramatique de cuivres qui laisse place à Little Richard au micro : "Aussi beau que je sois... je veux vous dire à tous que je ne suis pas prétentieux, je suis convaincu [rires et applaudissements]. Je vous remercie. Et la prochaine fois que vous verrez Cassius Clay, vous pourrez lui dire que Little Richard est là." Il se lance avec ferveur dans l'introduction de leur première chanson, une reprise du tube des Beatles "I Saw Her Standing Here". Les guitares commencent à s'agiter pour garder le rythme, le public applaudit, Richard interprète l'éternel numéro de Lennon-McCartney, et Hendrix termine le morceau avec un morceau de blues - un moment pour lui de briller derrière la flamboyance enthousiaste de Little Richard. Richard s'assied ensuite au piano pour leur interprétation de " Lucille ", le groupe fournissant le support uptempo pour son appel perçant : " Oh Lucille, please, come back where you belong " (Oh Lucille, s'il te plaît, reviens là où tu dois être). Ils ralentissent les choses pour une interprétation de " Send Me Some Lovin' ", avec un excellent solo de saxophone, puis reprennent de plus belle pour un pot-pourri de classiques de Little Richard : " Rip It Up ", " Tutti Frutti " et " Jenny, Jenny ". Changeant à nouveau de rythme, Richard chante et hurle la ballade " Shake a Hand " au-dessus de son groupe, la partie de guitare claire créant l'ambiance pour le chant du public. Hendrix excelle dans son rôle de modération, veillant à ne pas éclipser le chef d'orchestre tout en s'autorisant une certaine créativité lorsque la chanson approche des dix minutes. Le groupe termine par une reprise de "Whole Lotta Shakin' Goin' On". La setlist est la suivante : - I Saw Her Standing There - Lucille - Envoie-moi un peu d'amour - Medley : Rip It Up / Tutti Frutti / Jenny, Jenny - Shake a Hand - Whole Lotta Shakin' Goin' On Le jeune Jimi Hendrix avait fait une tournée avec les Isley Brothers en 1964, mais, lassé de jouer le même set tous les soirs, il quitta le groupe à la fin du mois d'octobre. Il rejoint bientôt le groupe de tournée de Little Richard, The Upsetters, et enregistre son seul et unique single avec Little Richard, "I Don't Know What You Got (But It's Got Me)", en février 1955. En juillet, il est apparu dans l'ensemble de Little Richard à l'émission Channel 5 Night Train de Nashville - la première séquence filmée connue de la future superstar - interprétant 'Shotgun' avec Buddy & Stacey, dans une version presque identique à celle qui figure sur cette cassette. La présente cassette audio est le seul enregistrement connu de Jimi Hendrix en concert avec Little Richard. Plus tard, au cours de l'été 1965, Hendrix sera renvoyé du groupe de Little Richard, car ils se sont opposés à cause de leurs retards, de leurs choix vestimentaires et des pitreries d'Hendrix, qui avait tendance à éclipser le chanteur. Se référant à leur relation sur scène, l'artiste R&B Dewey Terry a déclaré : "Jimi laissait la guitare s'exprimer et cela énervait Richard parce que cela couvrait sa voix". Graham Nash se souvient également d'avoir été témoin d'une réaction brutale de Little Richard face au talent électrisant d'Hendrix, le chef d'orchestre criant : "Ne joue plus jamais de ta putain de guitare derrière ta tête, ne me mets plus en avant, je suis ce putain de Little Richard". Pourtant, l'audace de Little Richard et son attitude sans complaisance ont fait de lui un artiste à part entière.

Estim. 40 000 - 60 000 USD

jeu. 23 mai

Rolling Stones: Brian Jones Original Photograph by Peter Martin: Monterey Pop Festival, 1967 - Photographie originale d'époque en gélatine argentique semi-brillante 6,75 x 9,75 de Brian Jones dans le public du Monterey International Pop Festival, prise par le photographe Peter Martin. On y voit le fondateur des Rolling Stones vêtu d'une tenue bohème, notamment d'un "manteau en lames d'or époustouflant, orné de perles, de croix gammées en cristal et de dentelle", qui le fait ressembler à "une sorte de roi officieux du festival". Bien que les Stones ne figurent pas à l'affiche du festival, Jones est monté sur scène pour présenter le Jimi Hendrix Experience, qui faisait là sa première grande apparition américaine. Très bon état. Provenance : Succession Peter Martin. Photographe de mode et photojournaliste de premier plan dans les années 1950 et 1960, Peter B. Martin, Sr. (1915-1992) a publié ses travaux dans des magazines tels que Mademoiselle, Cosmopolitan, Life et McCall's. Parmi ses nombreux sujets célèbres figurent Frank Sinatra, James Dean, Walt Disney, les Allman Brothers, Jim Morrison et les Doors, Jimi Hendrix, Janis Joplin et le Grateful Dead. Travaillant dans un studio situé sur Bleecker Street à Greenwich Village, New York, Martin a également publié des périodiques sur la photographie - Figure et Photography Workshop - ainsi que des magazines de télévision et de musique, dont Movie Teen Illustrated et Pop Rock. La fille de Martin - et parfois son assistante - se souvient des prises de vue réalisées avec son père lors de festivals de musique : "J'étais derrière la scène avec mon père et je vivais toutes les interactions entre les artistes. C'était très excitant pour une jeune fille de seize ans... Les groupes se déplaçaient dans des camionnettes funky... Je tenais le stroboscope de mon père, je faisais rebondir la lumière à l'intérieur de la camionnette et j'adorais chaque minute... À Monterey Pop, la foule était si éclectique... J'ai également passé mon enfance avec mon père dans la chambre noire. Il était un véritable maître de l'impression. Il utilisait des films Eastman Kodak, imprimait avec du papier Agfa ou Kodak et utilisait un bain d'acide acétique entre le révélateur Dektol et le fixateur. Ses négatifs étaient traités avec le révélateur à grain le plus fin, Microdal".

Estim. 500 - 700 USD

jeu. 23 mai

Grateful Dead (3) Original Photographs by Peter Martin: Bob Weir, Pigpen, and Phil Lesh - Trois photographies originales d'époque en gélatine argentique semi-brillante 7,5 x 9,5 des membres du Grateful Dead par le photographe Peter Martin, comprenant : Ron "Pigpen" McKernan s'échauffant au piano sur la scène d'un festival, avec des microphones installés et Phil Lesh en arrière-plan ; Bob Weir jouant de sa guitare électrique Guild semi-hollow lors d'un moment de détente en coulisses ; et un portrait en gros plan de Phil Lesh portant des lunettes de soleil et un bandeau hippie, l'air cool. Très bon état général, avec des résidus d'adhésif au verso. Provenance : Succession Peter Martin. Photographe de mode et photojournaliste de premier plan dans les années 1950 et 1960, Peter B. Martin, Sr. (1915-1992) a publié ses travaux dans des magazines tels que Mademoiselle, Cosmopolitan, Life et McCall's. Parmi ses nombreux sujets célèbres figurent Frank Sinatra, James Dean, Walt Disney, les Allman Brothers, Jim Morrison et les Doors, Jimi Hendrix, Janis Joplin et le Grateful Dead. Travaillant dans un studio situé sur Bleecker Street à Greenwich Village, New York, Martin a également publié des périodiques sur la photographie - Figure et Photography Workshop - ainsi que des magazines de télévision et de musique, dont Movie Teen Illustrated et Pop Rock. La fille de Martin - et parfois son assistante - se souvient des prises de vue réalisées avec son père lors de festivals de musique : "J'étais derrière la scène avec mon père et je vivais toutes les interactions entre les artistes. C'était très excitant pour une jeune fille de seize ans... Les groupes se déplaçaient dans des camionnettes funky... Je tenais le stroboscope de mon père, je faisais rebondir la lumière à l'intérieur de la camionnette et j'adorais chaque minute... À Monterey Pop, la foule était si éclectique... J'ai également passé mon enfance avec mon père dans la chambre noire. Il était un véritable maître de l'impression. Il utilisait des films Eastman Kodak, imprimait avec du papier Agfa ou Kodak et utilisait un bain d'acide acétique entre le révélateur Dektol et le fixateur. Ses négatifs étaient traités avec le révélateur à grain le plus fin, Microdal".

Estim. 400 - 600 USD

jeu. 23 mai

Charlie Parker Document Signed - Swedish Arrival Card (1950) - DS partiellement imprimé, signé au crayon, "Charlie Parker", une page, 5,75 x 4, 19 novembre 1950. Carte d'arrivée suédoise remplie d'une autre main et signée par Parker, indiquant son nom, son prénom, sa date de naissance ("29/8/20") et sa nationalité ("US"). En bon état, avec un pli vertical central (résultant probablement de l'instruction "A conserver dans le passeport" en haut de la carte). Encapsulée par Beckett Authentication Services. Extrait de Yardbird Suite : A Compendium of the Music and Life of Charlie Parker par Lawrence O. Koch : "Fin novembre 1950, Billy Shaw organisa une tournée d'une semaine en Suède pour Parker. Bird devait s'y rendre en solo et utiliser certains musiciens suédois modernes comme accompagnateurs. Shaw a également contacté Roy Eldridge, qui se trouvait à Paris, et l'a persuadé de partager l'affiche avec Bird. En guise de publicité, une publication suédoise de jazz appelée Estrad, éditée par Nils Hellstrom, sponsorise la tournée. Cependant, les arrangements entre Shaw et Hellstrom ont été faits rapidement et au petit bonheur la chance, et il y a eu peu de temps pour faire de la publicité à l'avance. En outre, certaines réservations ont été effectuées après l'arrivée de Parker et Eldridge en Suède. La tournée de concerts a débuté dans la capitale suédoise le lundi 20 novembre, puis s'est poursuivie jusqu'à Göteborg, sur la côte ouest. Du mercredi au vendredi, l'itinéraire s'est déroulé entièrement dans le sud de la Suède, avec une escapade dans la capitale danoise de l'autre côté de l'Øresund. Après une apparition à l'Admiralen Dance Hall de Malmö, Parker a joué à l'université de Lund, puis a participé à un concert à Copenhague avec Eldridge, Rowland Greenberg (un trompettiste norvégien) et l'invité spécial Benny Goodman. Le lendemain, l'entourage retourne en Suède pour un concert dans une salle de danse du "Folkets Park" à Helsingborg. Après le concert, un groupe d'amateurs de jazz, de critiques et de musiciens se réunit dans le restaurant du parc pour "rapper et improviser". Dans Charlie Parker : His Music and Life, le biographe Carl Woideck raconte : En novembre 1950, Parker a été engagé pour donner une série de concerts en Suède et au Danemark, et il a essayé de se débarrasser de l'héroïne suffisamment longtemps pour pouvoir participer à la tournée. Malheureusement, il a essayé de résister à l'envie de prendre de la drogue en augmentant sa consommation d'héroïne. en augmentant sa consommation d'alcool. Malgré sa consommation d'alcool, et peut-être en raison de son abstinence temporaire d'héroïne, les enregistrements en direct de Suède témoignent d'un état d'esprit très créatif.

Estim. 2 000 - 4 000 USD

jeu. 23 mai

Elvis Presley 1972 'Extra Special Show' Las Vegas Hilton Poster - From the Collection of Ed Bonja - Affiche originale brillante 16,25 x 19 "casino" pour la promotion d'un concert d'Elvis Presley le week-end de la fête du travail, le 2 septembre [1972], à 3 heures du matin, qui montre Presley dans une pose dynamique en pied sur scène à côté d'un grand logo "Elvis in lights". L'affiche, qui indique que le concert était un "Extra Special Show by Popular Demand", a eu lieu au Las Vegas Hilton lors d'un week-end de fête du travail plein à craquer. En très bon état. Accompagnée d'une lettre d'authenticité signée par Ed Bonja, photographe officiel et tour manager de Presley de 1970 à 1977. La lettre se lit en partie comme suit : "Cette affiche ELVIS Extra Special Show by Popular Demand provient de ma collection personnelle de souvenirs d'Elvis Presley. Elle a été imprimée pour un concert supplémentaire organisé à la hâte à l'hôtel Hilton de Las Vegas le 2 septembre 1972, en raison d'une demande écrasante pour un autre concert, parce que tant de fans réclamaient des billets et n'ont pas pu être satisfaits lors de cette dernière soirée de l'engagement d'Elvis. Elle comporte une de mes photos d'Elvis imprimée sur le côté droit sur du papier blanc brillant. J'ai personnellement accroché, scotché et agrafé un grand nombre de ces affiches spéciales tout autour de l'hôtel Hilton le matin et l'après-midi juste avant le concert spécial. Les affiches restantes sont en ma possession depuis cette époque et constituent une pièce rare de la mémoire d'Elvis".

Estim. 400 - 600 USD

jeu. 23 mai

Mike Bloomfield and Buddy Miles (2) Original Photographs by Peter Martin - Deux photographies originales à la gélatine argentique semi-brillantes de 7,5 x 9,5 des membres du groupe Electric Flag prises par le photographe Peter Martin lors d'un festival : Mike Bloomfield jouant puissamment de sa Les Paul ; et Buddy Miles derrière son énorme batterie. En bon état général, avec un résidu d'adhésif au verso. Provenance : Succession Peter Martin. Photographe de mode et photojournaliste de premier plan dans les années 1950 et 1960, Peter B. Martin, Sr. (1915-1992) a publié ses travaux dans des magazines tels que Mademoiselle, Cosmopolitan, Life et McCall's. Parmi ses nombreux sujets célèbres figurent Frank Sinatra, James Dean, Walt Disney, les Allman Brothers, Jim Morrison et les Doors, Jimi Hendrix, Janis Joplin et le Grateful Dead. Travaillant dans un studio situé sur Bleecker Street à Greenwich Village, New York, Martin a également publié des périodiques sur la photographie - Figure et Photography Workshop - ainsi que des magazines de télévision et de musique, dont Movie Teen Illustrated et Pop Rock. La fille de Martin - et parfois son assistante - se souvient des prises de vue réalisées avec son père lors de festivals de musique : "J'étais derrière la scène avec mon père et je vivais toutes les interactions entre les artistes. C'était très excitant pour une jeune fille de seize ans... Les groupes se déplaçaient dans des camionnettes funky... Je tenais le stroboscope de mon père, je faisais rebondir la lumière à l'intérieur de la camionnette et j'adorais chaque minute... À Monterey Pop, la foule était si éclectique... J'ai également passé mon enfance avec mon père dans la chambre noire. Il était un véritable maître de l'impression. Il utilisait des films Eastman Kodak, imprimait avec du papier Agfa ou Kodak et utilisait un bain d'acide acétique entre le révélateur Dektol et le fixateur. Ses négatifs étaient traités avec le révélateur à grain le plus fin, Microdal".

Estim. 400 - 600 USD

jeu. 23 mai

Paul Butterfield Blues Band (3) Original Photographs by Peter Martin: Monterey Pop Festival, 1967 - Trois photographies originales à la gélatine argentée de 9,5 x 6,5, au fini mat et semi-brillant, des membres du Paul Butterfield Blues Band par le photographe Peter Martin, prises au Monterey International Pop Festival en 1967. Comprend : une photo de Paul Butterfield sur scène, harmonica à la main ; une photo du guitariste Elvin Bishop sur scène, avec la section des cuivres à l'arrière-plan ; et un gros plan de Bishop en coulisses. En bon état général, avec un résidu d'adhésif au verso. Provenance : Succession Peter Martin. Photographe de mode et photojournaliste de premier plan dans les années 1950 et 1960, Peter B. Martin, Sr. (1915-1992) a publié ses travaux dans des magazines tels que Mademoiselle, Cosmopolitan, Life et McCall's. Parmi ses nombreux sujets célèbres figurent Frank Sinatra, James Dean, Walt Disney, les Allman Brothers, Jim Morrison et les Doors, Jimi Hendrix, Janis Joplin et le Grateful Dead. Travaillant dans un studio situé sur Bleecker Street à Greenwich Village, New York, Martin a également publié des périodiques sur la photographie - Figure et Photography Workshop - ainsi que des magazines de télévision et de musique, dont Movie Teen Illustrated et Pop Rock. La fille de Martin - et parfois son assistante - se souvient des prises de vue réalisées avec son père lors de festivals de musique : "J'étais derrière la scène avec mon père et je vivais toutes les interactions entre les artistes. C'était très excitant pour une jeune fille de seize ans... Les groupes se déplaçaient dans des camionnettes funky... Je tenais le stroboscope de mon père, je faisais rebondir la lumière à l'intérieur de la camionnette et j'adorais chaque minute... À Monterey Pop, la foule était si éclectique... J'ai également passé mon enfance avec mon père dans la chambre noire. Il était un véritable maître de l'impression. Il utilisait des films Eastman Kodak, imprimait avec du papier Agfa ou Kodak et utilisait un bain d'acide acétique entre le révélateur Dektol et le fixateur. Ses négatifs étaient traités avec le révélateur à grain le plus fin, Microdal".

Estim. 400 - 600 USD

jeu. 23 mai

Country Joe and The Fish (5) Original Photographs by Peter Martin - Cinq photographies originales à la gélatine argentée semi-brillante, d'une taille allant de 6,5 x 9,5 à 7,75 x 9,75, prises par le photographe Peter Martin lors d'un concert de Country Joe and The Fish lors d'un festival à San Jose, Californie, en 1968. Les clichés montrent Country Joe McDonald dansant et jouant de la guitare, le guitariste Barry 'The Fish' Melton avec le bassiste Bruce Barthol, et quelques festivaliers. En bon état, avec des résidus d'adhésif au verso. Provenance : Succession Peter Martin. Photographe de mode et photojournaliste de premier plan dans les années 1950 et 1960, Peter B. Martin, Sr. (1915-1992) a publié ses travaux dans des magazines tels que Mademoiselle, Cosmopolitan, Life et McCall's. Parmi ses nombreux sujets célèbres figurent Frank Sinatra, James Dean, Walt Disney, les Allman Brothers, Jim Morrison et les Doors, Jimi Hendrix, Janis Joplin et le Grateful Dead. Travaillant dans un studio situé sur Bleecker Street à Greenwich Village, New York, Martin a également publié des périodiques sur la photographie - Figure et Photography Workshop - ainsi que des magazines de télévision et de musique, dont Movie Teen Illustrated et Pop Rock. La fille de Martin - et parfois son assistante - se souvient des prises de vue réalisées avec son père lors de festivals de musique : "J'étais derrière la scène avec mon père et je vivais toutes les interactions entre les artistes. C'était très excitant pour une jeune fille de seize ans... Les groupes se déplaçaient dans des camionnettes funky... Je tenais le stroboscope de mon père, je faisais rebondir la lumière à l'intérieur de la camionnette et j'adorais chaque minute... À Monterey Pop, la foule était si éclectique... J'ai également passé mon enfance avec mon père dans la chambre noire. Il était un véritable maître de l'impression. Il utilisait des films Eastman Kodak, imprimait avec du papier Agfa ou Kodak et utilisait un bain d'acide acétique entre le révélateur Dektol et le fixateur. Ses négatifs étaient traités avec le révélateur à grain le plus fin, Microdal".

Estim. 600 - 800 USD

jeu. 23 mai

Iron Butterfly (3) Original Photographs by Peter Martin: Monterey Pop Festival, 1967 - Trois photographies originales à la gélatine argentée semi-brillante, d'une taille allant de 9,25 x 6,25 à 7,75 x 9,5, représentant les membres d'Iron Butterfly, prises par le photographe Peter Martin au Monterey International Pop Festival en 1967. En très bon état, avec un résidu d'adhésif au verso. Provenance : Succession Peter Martin. Photographe de mode et photojournaliste de premier plan dans les années 1950 et 1960, Peter B. Martin, Sr. (1915-1992) a publié ses travaux dans des magazines tels que Mademoiselle, Cosmopolitan, Life et McCall's. Parmi ses nombreux sujets célèbres figurent Frank Sinatra, James Dean, Walt Disney, les Allman Brothers, Jim Morrison et les Doors, Jimi Hendrix, Janis Joplin et le Grateful Dead. Travaillant dans un studio situé sur Bleecker Street à Greenwich Village, New York, Martin a également publié des périodiques sur la photographie - Figure et Photography Workshop - ainsi que des magazines de télévision et de musique, dont Movie Teen Illustrated et Pop Rock. La fille de Martin - et parfois son assistante - se souvient des prises de vue réalisées avec son père lors de festivals de musique : "J'étais derrière la scène avec mon père et je vivais toutes les interactions entre les artistes. C'était très excitant pour une jeune fille de seize ans... Les groupes se déplaçaient dans des camionnettes funky... Je tenais le stroboscope de mon père, je faisais rebondir la lumière à l'intérieur de la camionnette et j'adorais chaque minute... À Monterey Pop, la foule était si éclectique... J'ai également passé mon enfance avec mon père dans la chambre noire. Il était un véritable maître de l'impression. Il utilisait des films Eastman Kodak, imprimait avec du papier Agfa ou Kodak et utilisait un bain d'acide acétique entre le révélateur Dektol et le fixateur. Ses négatifs étaient traités avec le révélateur à grain le plus fin, Microdal".

Estim. 400 - 600 USD

jeu. 23 mai

Jefferson Airplane (3) Original Photographs by Peter Martin: Grace Slick and Marty Balin - Trois photographies originales en gélatine argentique semi-brillantes 7,5 x 9,5 des membres de Jefferson Airplane par le photographe Peter Martin, prises au Monterey International Pop Festival. Comprend : une photo de Grace Slick sur scène, micro à la main, avec le bassiste Jack Casady ; et deux photos de Marty Balin au festival. En bon état général, avec un résidu d'adhésif au verso. Provenance : Succession Peter Martin. Photographe de mode et photojournaliste de premier plan dans les années 1950 et 1960, Peter B. Martin, Sr. (1915-1992) a publié ses travaux dans des magazines tels que Mademoiselle, Cosmopolitan, Life et McCall's. Parmi ses nombreux sujets célèbres figurent Frank Sinatra, James Dean, Walt Disney, les Allman Brothers, Jim Morrison et les Doors, Jimi Hendrix, Janis Joplin et le Grateful Dead. Travaillant dans un studio situé sur Bleecker Street à Greenwich Village, New York, Martin a également publié des périodiques sur la photographie - Figure et Photography Workshop - ainsi que des magazines de télévision et de musique, dont Movie Teen Illustrated et Pop Rock. La fille de Martin - et parfois son assistante - se souvient des prises de vue réalisées avec son père lors de festivals de musique : "J'étais derrière la scène avec mon père et je vivais toutes les interactions entre les artistes. C'était très excitant pour une jeune fille de seize ans... Les groupes se déplaçaient dans des camionnettes funky... Je tenais le stroboscope de mon père, je faisais rebondir la lumière à l'intérieur de la camionnette et j'adorais chaque minute... À Monterey Pop, la foule était si éclectique... J'ai également passé mon enfance avec mon père dans la chambre noire. Il était un véritable maître de l'impression. Il utilisait des films Eastman Kodak, imprimait avec du papier Agfa ou Kodak et utilisait un bain d'acide acétique entre le révélateur Dektol et le fixateur. Ses négatifs étaient traités avec le révélateur à grain le plus fin, Microdal".

Estim. 400 - 600 USD

jeu. 23 mai

Janis Joplin and Jerry Garcia Original Photograph by Peter Martin: Santa Clara County Fairground, 1968 - Photographie originale à la gélatine argentée 8 x 10 semi-brillante de Janis Joplin et Jerry Garcia dans les coulisses du Santa Clara County Fairground en 1968, prise par le photographe Peter Martin. Joplin a l'air incroyablement cool avec une capeline, des lunettes de soleil et des dizaines de bagues, colliers et bracelets, une cigarette dans une main et une canette de bière Olympia dans l'autre, tandis que Garcia boit du jus d'orange dans un énorme bocal en verre. En bon état, avec quelques petits plis de surface. Provenance : Succession Peter Martin. Photographe de mode et photojournaliste de premier plan dans les années 1950 et 1960, Peter B. Martin, Sr. (1915-1992) a publié ses œuvres dans des magazines tels que Mademoiselle, Cosmopolitan, Life et McCall's. Parmi ses nombreux sujets célèbres figurent Frank Sinatra, James Dean, Walt Disney, les Allman Brothers, Jim Morrison et les Doors, Jimi Hendrix, Janis Joplin et le Grateful Dead. Travaillant dans un studio situé sur Bleecker Street à Greenwich Village, New York, Martin a également publié des périodiques sur la photographie - Figure et Photography Workshop - ainsi que des magazines de télévision et de musique, dont Movie Teen Illustrated et Pop Rock. La fille de Martin - et parfois son assistante - se souvient des prises de vue réalisées avec son père lors de festivals de musique : "J'étais derrière la scène avec mon père et je vivais toutes les interactions entre les artistes. C'était très excitant pour une jeune fille de seize ans... Les groupes se déplaçaient dans des camionnettes funky... Je tenais le stroboscope de mon père, je faisais rebondir la lumière à l'intérieur de la camionnette et j'adorais chaque minute... À Monterey Pop, la foule était si éclectique... J'ai également passé mon enfance avec mon père dans la chambre noire. Il était un véritable maître de l'impression. Il utilisait des films Eastman Kodak, imprimait avec du papier Agfa ou Kodak et utilisait un bain d'acide acétique entre le révélateur Dektol et le fixateur. Ses négatifs étaient traités avec le révélateur à grain le plus fin, Microdal".

Estim. 500 - 700 USD