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jeu. 23 mai

Fine Portrait on panel of Juan Bautista de Muguiro, attributed to Francisco de Goya (1746-1828) - Aragonese School of the 19th century - Fine Portrait on panel of Juan Bautista de Muguiro, attributed to Francisco de Goya (1746-1828) - Aragonese School of the 19th century Oil on panel: 23 x 18 cm, measures with frame 32 x 26 cm. Muguiro, banker and merchant, perhaps exiled in Bordeaux due to the services rendered to King Joseph Bonaparte by his family firm, "J. Irivaren y sobrinos", later held important political positions in the Spain of Isabella II, being, for example, president of the Cortes and senator between 1836 and 1845. Goya, in the dedicatory inscription of the painting, defines himself as a "friend" of the portrayed, perhaps to thank him with that term, so generic in Castilian, for the efforts or aid received from him, who was also the banker of his son Javier. A few years earlier, Goya had thus dedicated "to his friend Arrieta", the portrait he gave to the doctor who saved his life during the illness that affected him in 1819. The artist presented Muguiro for posterity in his most prosaic and mercantile aspect, reading a recently opened letter and seated next to a desk covered with papers, on which shines a large green and gold porcelain inkwell. Goya in his old age condenses his technique in a few brushstrokes, given with sudden impulses of energy, which reveal the effort of his hand and his eyes, almost blind, although it has remained intact. Pérez Sánchez, Alfonso E., "Goya in the Prado. History of a singular collection", Goya. New Visions. Tribute to Enrique Lafuente Ferrari, Isabel García de la Rasilla and Francisco Calvo Serraller (eds.), Madrid, Fundación Amigos del Museo del Prado, 1987, pp. 307-322.

Estim. 6 000 - 7 500 EUR

dim. 26 mai

D'après Jean-Baptiste Claude Sené (Français, 1748-1803) Très belle marquise au modèle du salon de Compagnie de Madame Elisabeth à Montreuil, vers 1789 en bois sculpté et doré. Le dossier droit à la Reine présente un décor d’un rang de feuilles de chêne aux angles d’acanthes, souligné d’un rang de perles. Les supports d’accotoirs à balustres détachées sont ornés de cannelures à graines soutenues par des feuilles d’eau. La ceinture mouvementée en façade est également à rang de feuilles de chêne, soutenue par des pieds fuselés à feuilles d’eau, cannelures et rudentures à graines. Estampille apocryphe "JB SENE". Garniture de tapisserie dites aux couteaux et à passepoil. Travail du qualité du XIXe siècle. Haut. 94 Larg. 63,5 Prof. 71 cm. Provenance : ancienne collection du Marquis de Chabrières, d'après le catalogue de sa vente chez Me Martin à Versailles le 22 février 1970, n°188 (reproduite). 19th C., after Jean-Baptiste Claude Sené. Beautiful carved giltwood marquise armchair modeled after Madame Elisabeth's Salon de Compagnie in Montreuil, ca. 1789. From the collections of Marquis de Chabrières. La composition générale de ce siège n’est pas sans rappeler celle des deux bergères réalisées par Jean-Baptiste Claude Sené, pour le Salon de Compagnie de Madame Elisabeth à Montreuil (Louvre, OA 11164 et 11165). Par la richesse de leur ornementation, ces sièges sont en accord avec le décor souhaité par la sœur cadette de Louis XVI. Les bergères sont issues d’une suite comprenant deux canapés, six canapés « tête-à-tête », quatre bergères, quatre fauteuils « ronds en gondolle », dix-huit chaises dont six à carreaux, quatre voyeuses à genoux [ ] un écran à colonnes, et un paravent à six feuilles ». L’ordre de commande est passée à la veille de la Révolution, le 1er avril 1789. L’ensemble des sièges est à noter dans l’inventaire de 1790. Notre modèle réalisé dans le goût de cette série se distingue par ses supports d’accotoirs en balustre cannelés, tandis que le modèle d’origine offre des supports et des pieds torsadés. En revanche, les pieds de cette marquise sont la reprise exacte de la chaise en cabriolet pour le Salon des jeux du Roi à Compiègne (Louvre, OA 9412). Réalisée en 1790, elle se présente comme l’une des dernières commandes royales, alors que « Louis XVI était en résidence surveillée au palais des Tuileries » (in Bill G.B Pallot, « Le mobilier du Musée du Louvre », Paris, Faton, t.II, 1793, p. 180).

Estim. 2 000 - 4 000 EUR

sam. 01 juin

CHARLES UND RAY EAMES FAUTEUIL MODÈLE 'LOUNGE CHAIR' '670' ET DEUX POUFS '671' - CHARLES AND RAY EAMES 1907 St. Louis, Missouri/1912 Sacramento - St. Louis, Missouri 1978/L.A. 1988 EASY CHAIR MODEL 'LOUNGE CHAIR' '670' AND PAIR OF OTTOMANS '671' USA, Herman Miller, designed in 1956, later version most likely Vitra Plywood shells, presumably ash, black lacquered, upholstered cushions with white leather cover, chrome-plated cast aluminum. Fauteuil : h. 82 cm, l. 85 cm, d. 85 cm, siège : h. 43 cm, l. 67 cm, d. 55 cm. Restes partiels de l'étiquette 'herman miller'. Signes d'utilisation, peinture légèrement usée, revêtement en cuir en partie frotté et patiné, légèrement jauni avec des rayures. Provenance : Propriété privée de la région de la Ruhr. Provenance : Private property Ruhr area.CHARLES UND RAY EAMES 1907 St. Louis, Missouri/1912 Sacramento - St. Louis, Missouri 1978/L.A. 1988 FAUTEUIL MODELE 'LOUNGE CHAIR' '670' ET PAIRES DE TABOURETS '671' USA, Herman Miller, projet 1956, exécution ultérieure probablement Vitra Coques en bois stratifié, probablement frêne, laqué noir, coussin rembourré recouvert de cuir blanc, fonte d'aluminium chromée. Fauteuil : h. 82 cm, l. 85 cm, p. 85 cm, tabouret : h. 43 cm, l. 67 cm, p. 55 cm. Partiellement restes de l'étiquette 'herman miller'. Traces d'utilisation, vernis min. endommagé, rembourrage en cuir partiellement usé et patiné, légèrement jauni avec traces de rayures. Provenance : propriété privée dans la région de la Ruhr.

Estim. 1 200 - 2 400 EUR