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sam. 25 mai

Claude Viseux (1927-2008) - Composition 1957 Acrylique et encre sur papier signé et daté en haut à gauche 50 x 65 cm «Être un observateur ne suffit pas. Il me faut prendre et restituer l'apparence des choses sous une autre forme pour mieux nier le réel.» —Claude Viseux Claude Viseux naît et grandit à Champagne-sur-Oise, en région parisienne. En 1946, il suit les cours d’architecture à l’École des Beaux-Arts de Paris. Il rencontre alors Jean Prouvé et Constantin Brancusi et décide finalement de s’orienter vers la peinture. Le succès est presque immédiat, première exposition à la galerie Vibaud en 1952, dès 1955 ses œuvres sont montrées chez René Drouin, puis Daniel Cordier le choisit - pour sa toute première exposition ! - en 1956. En 1957, il a les honneurs de Léo Castelli à New York ! À partir de 1959-1960 il réalise ses premières sculptures avec des objets trouvés en bord de mer, des empreintes de pierres et d'algues coulées en bronze, puis vient l’acier industriel découpé, assemblé, soudé, à la manière de ses amis surréalistes Max Ernst, Man Ray, Henri Michaux… En 1972 il représente le pavillon français à la Biennale de Venise aux côtés de Christian Boltanski, Jean le Gac et Gérard Titus-Carmel et y dévoile sa fameuse série des Instables. La même année il installe une immense sculpture en acier inoxydable suspendue dans la station RER Auber, à Paris. En 1977, pour ses 50 ans, le Musée d’Art moderne de la ville de Paris organise une exposition «Viseux» de juin à septembre. Au cours des années 80 et 90, il multiplie les voyages en Inde dont les mythes et traditions se répandent subtilement dans ses dessins et collages, et l’on retrouve leur influence traduite en sculpture. Un an avant sa disparition, alors qu’il réside à Anglet - toujours au plus proche de l’eau - Claude Viseux continue ses collages mêlant univers marin et formes industrielles troublants échos aux Expériences automatiques du crabe - des années 1950 - et aux sculptures qui jalonnent son parcours. Résonnent alors les mots de Geneviève Bonnefoi : «à travers des recherches si diverses, peut-on découvrir dans l’œuvre de Viseux une assez surprenante continuité, marque indiscutable de sa personnalité et de son tempérament.Il est un de ces artistes passionnés de technique et de connaissance qui tendent vers un art total, seul capable d’exprimer les différentes aspirations de l’homme actuel.»

Estim. 300 - 500 EUR

sam. 25 mai

Claude Viseux (1927-2008) - Copulaire 1960 Huile sur toile signée et datée en bas à droite, contresignée, titrée et datée au dos 130 x 162 cm Provenance : > Collection privée, Gironde Rapport de condition : Encadrée “Être un observateur ne suffit pas. Il me faut prendre et restituer l'apparence des choses sous une autre forme pour mieux nier le réel.” —Claude Viseux Claude Viseux naît et grandit à Champagne-sur-Oise, en région parisienne. En 1946, il suit les cours d’architecture à l’École des Beaux-Arts de Paris, il rencontre alors Jean Prouvé et Constantin Brancusi et décide finalement de s’orienter vers la peinture. Le succès est presque immédiat, première exposition à la galerie Vibaud en 1952, dès 1955 ses œuvres sont montrées chez René Drouin, puis Daniel Cordier le choisit - pour sa toute première exposition ! - en 1956. En 1957, il a les honneurs de Léo Castelli à New York ! À partir de 1959-1960 il réalise ses premières sculptures avec des objets trouvés en bord de mer, des empreintes de pierres et d'algues coulées en bronze, puis vient l’acier industriel découpé, assemblé, soudé, à la manière de ses amis surréalistes Max Ernst, Man Ray, Henri Michaux… En 1972 il représente le pavillon français à la Biennale de Venise aux côtés de Christian Boltanski, Jean le Gac et Gérard Titus-Carmel et y dévoile sa fameuse série des Instables. La même année il installe une immense sculpture en acier inoxydable suspendue dans la station RER Auber, à Paris. En 1977, pour ses 50 ans, le Musée d’Art moderne de la ville de Paris organise une exposition «Viseux» de juin à septembre. Au cours des années 80 et 90, il multiplie les voyages en Inde dont les mythes et traditions se répandent subtilement dans ses dessins et collages, et l’on retrouve leur influence traduite en sculpture. Un an avant sa disparition, alors qu’il réside à Anglet - toujours au plus proche de l’eau - Claude Viseux continue ses collages mêlant univers marin et formes industrielles.

Estim. 1 000 - 1 500 EUR

sam. 25 mai

Claude Viseux (1927-2008) - Série des Multicorps 1977 En acier inoxydable soudé, signé et daté sur la base Pièce unique H. 58 cm Provenance : > Collection privée, Gironde Expositions : > Exposée au Musée Despiau-Wlérick et Centre d'art contemporain Raymond-Farbos, Mont-de-Marsan, en 2002 L’œuvre est référencée dans les archives Claude Viseux n°5I1977069 «Être un observateur ne suffit pas. Il me faut prendre et restituer l'apparence des choses sous une autre forme pour mieux nier le réel.» —Claude Viseux Claude Viseux naît et grandit à Champagne-sur-Oise, en région parisienne. En 1946, il suit les cours d’architecture à l’École des Beaux-Arts de Paris. Il rencontre alors Jean Prouvé et Constantin Brancusi et décide finalement de s’orienter vers la peinture. Le succès est presque immédiat, première exposition à la galerie Vibaud en 1952, dès 1955 ses œuvres sont montrées chez René Drouin, puis Daniel Cordier le choisit - pour sa toute première exposition ! - en 1956. En 1957, il a les honneurs de Léo Castelli à New York ! À partir de 1959-1960 il réalise ses premières sculptures avec des objets trouvés en bord de mer, des empreintes de pierres et d'algues coulées en bronze, puis vient l’acier industriel découpé, assemblé, soudé, à la manière de ses amis surréalistes Max Ernst, Man Ray, Henri Michaux… En 1972 il représente le pavillon français à la Biennale de Venise aux côtés de Christian Boltanski, Jean le Gac et Gérard Titus-Carmel et y dévoile sa fameuse série des Instables. La même année il installe une immense sculpture en acier inoxydable suspendue dans la station RER Auber, à Paris. En 1977, pour ses 50 ans, le Musée d’Art moderne de la ville de Paris organise une exposition «Viseux» de juin à septembre. Au cours des années 80 et 90, il multiplie les voyages en Inde dont les mythes et traditions se répandent subtilement dans ses dessins et collages, et l’on retrouve leur influence traduite en sculpture. Un an avant sa disparition, alors qu’il réside à Anglet - toujours au plus proche de l’eau - Claude Viseux continue ses collages mêlant univers marin et formes industrielles troublants échos aux Expériences automatiques du crabe - des années 1950 - et aux sculptures qui jalonnent son parcours. Résonnent alors les mots de Geneviève Bonnefoi : «à travers des recherches si diverses, peut-on découvrir dans l’œuvre de Viseux une assez surprenante continuité, marque indiscutable de sa personnalité et de son tempérament.Il est un de ces artistes passionnés de technique et de connaissance qui tendent vers un art total, seul capable d’exprimer les différentes aspirations de l’homme actuel.»

Estim. 700 - 1 000 EUR

sam. 25 mai

Claude Viseux (1927-2008) - Sans titre 1971 Collage sur papier signé et daté en bas à droite 65 x 50 cm «Être un observateur ne suffit pas. Il me faut prendre et restituer l'apparence des choses sous une autre forme pour mieux nier le réel.» —Claude Viseux Claude Viseux naît et grandit à Champagne-sur-Oise, en région parisienne. En 1946, il suit les cours d’architecture à l’École des Beaux-Arts de Paris. Il rencontre alors Jean Prouvé et Constantin Brancusi et décide finalement de s’orienter vers la peinture. Le succès est presque immédiat, première exposition à la galerie Vibaud en 1952, dès 1955 ses œuvres sont montrées chez René Drouin, puis Daniel Cordier le choisit - pour sa toute première exposition ! - en 1956. En 1957, il a les honneurs de Léo Castelli à New York ! À partir de 1959-1960 il réalise ses premières sculptures avec des objets trouvés en bord de mer, des empreintes de pierres et d'algues coulées en bronze, puis vient l’acier industriel découpé, assemblé, soudé, à la manière de ses amis surréalistes Max Ernst, Man Ray, Henri Michaux… En 1972 il représente le pavillon français à la Biennale de Venise aux côtés de Christian Boltanski, Jean le Gac et Gérard Titus-Carmel et y dévoile sa fameuse série des Instables. La même année il installe une immense sculpture en acier inoxydable suspendue dans la station RER Auber, à Paris. En 1977, pour ses 50 ans, le Musée d’Art moderne de la ville de Paris organise une exposition «Viseux» de juin à septembre. Au cours des années 80 et 90, il multiplie les voyages en Inde dont les mythes et traditions se répandent subtilement dans ses dessins et collages, et l’on retrouve leur influence traduite en sculpture. Un an avant sa disparition, alors qu’il réside à Anglet - toujours au plus proche de l’eau - Claude Viseux continue ses collages mêlant univers marin et formes industrielles troublants échos aux Expériences automatiques du crabe - des années 1950 - et aux sculptures qui jalonnent son parcours. Résonnent alors les mots de Geneviève Bonnefoi : «à travers des recherches si diverses, peut-on découvrir dans l’œuvre de Viseux une assez surprenante continuité, marque indiscutable de sa personnalité et de son tempérament.Il est un de ces artistes passionnés de technique et de connaissance qui tendent vers un art total, seul capable d’exprimer les différentes aspirations de l’homme actuel.»

Estim. 300 - 500 EUR

sam. 25 mai

Gerhard Marcks (1889 Berlin - 1981 Burgbrohl) (F) - Gerhard Marcks (1889 Berlin - 1981 Burgbrohl) (F) 'Falke', bronze, patine brun foncé, 1956, hauteur 19,5 cm, monogrammé dans la fonte, cachet de fondeur 'Guss. Barth Bln.', 2/10 numéroté, partiellement légèrement frotté, minimes éclaboussures de peinture blanche, légèrement corrodé en dessous, résidus de colle sous les griffes, littérature : Wvz. Marcks Tgb. G/B 440, Rudloff 649, avec ill. p. 386 Expositions : (probablement un autre exemplaire de chaque) New York 1961 (Otto Gerson Gallery), Gerhard Marcks : Paintings, Watercolors, Sculpture, cat. no. 4. New York 1967 (Leonard Hutton Galleries), A Comprehensive Exhibition of Bronze Sculpture by Gerhard Marcks, cat.Cologne 1969 (Kunstverein), Gerhard Marcks : Werke der Kölner Jahre 1950 bis 1969, Kat.-Nr. 30. Cologne 1974 (Galerie Lempertz), Gerhard Marcks, Kat.-Nr. 31. Hanovre 1974 (Galerie Koch), Gerhard Marcks, Kat.-Nr. 33. Düsseldorf 1974 (Galerie Vömel), Gerhard Marcks, Kat.-Nr. 18. Mayence 1975 (Galerie Brumme), Sculpteurs de trois générations, Kat.-Nr. 60 Gerhard Marcks (1889 Berlin - 1981 Burgbrohl) (F) 'Falke', 1956, bronze, patine marron foncé, hauteur 19,5 cm, monogramme dans le moulage, tampon de fonderie 'Guss. Barth Bln.', numéroté 2/10, partiellement légèrement frotté, minimes éclats de peinture blanche, légèrement corrodé sur le dessous, résidus de colle sous les griffes, littérature : Wvz. Marcks Tgb. G/B 440, Rudloff 649, avec ill. p. 386

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