Null Théo Van Rysselberghe (1862-1926), Portrait d'Elisabeth, huile sur toile ov…
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Théo Van Rysselberghe (1862-1926), Portrait d'Elisabeth, huile sur toile ovale, monogrammée et datée [19]07, 48x41 cmNote: Elisabeth Van Rysselberghe est la fille de l'artiste et devient, en 1923, la mère de l'enfant unique d'André Gide, Catherine GideProvenance: Collection Catherine Gide, héritage de Théo Van Rysselberghe (son grand-père) et André Gide (son père)Exposition: "Collection Catherine Gide", Villa Théo - Le Lavandou, 09.06.2020-26.09.2020. En février 1884, Verhaeren écrit dans La Jeune Belgique : « Théo Van Rysselberghe est le chef du petit clan de peintres établis à Knokke, et dont Regoyos, Wytsman, Charlet et Schlobach font partie. » Connu comme l'un des principaux représentants du pointillisme en Belgique, il va se faire un nom comme portraitiste, mais il peint aussi, sur des modes différents souvent proches de l'expressionisme, des paysages et des nus. Marié en 1889 avec Maria Monnom, il s'installe à Paris en 1898 et, dès l'année suivante, il va connaître Gide, comme le raconte Maria Van Rysselberghe : « C'est à un dîner chez Viélé-Griffin que nous rencontrâmes Gide pour la première fois. Théo eut tout de suite le désir de dessiner sa tête, et c'est Ghéon, rencontré aussi chez Griffin, et qui fréquentait déjà chez nous, qui entraîna Gide à l'atelier. » À partir de là, c'est une amitié très étroite qui va lier Gide avec le couple Van Rysselberghe et leur fille Élisabeth, Théo réalisant plusieurs portraits et bustes de Gide. C'est entre Gide et Maria Van Rysselberghe que la complicité est la plus forte à tel point qu'en 1928, deux ans après la mort de Théo, la Petite Dame et Gide emménagent sur le même palier, rue Vaneau à Paris, dans deux appartements qui communiquent, et partagent lectures, discussions, thés et jeux de cartes... La décision d'André Gide d'avoir, en 1923, un enfant avec Elisabeth Van Rysselberghe qui en désirait un avec ferveur, gâchera les liens amicaux entre Théo et l'écrivain, mais n'affectera en rien l'amitié et la confiance entre André et Maria

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Théo Van Rysselberghe (1862-1926), Portrait d'Elisabeth, huile sur toile ovale, monogrammée et datée [19]07, 48x41 cmNote: Elisabeth Van Rysselberghe est la fille de l'artiste et devient, en 1923, la mère de l'enfant unique d'André Gide, Catherine GideProvenance: Collection Catherine Gide, héritage de Théo Van Rysselberghe (son grand-père) et André Gide (son père)Exposition: "Collection Catherine Gide", Villa Théo - Le Lavandou, 09.06.2020-26.09.2020. En février 1884, Verhaeren écrit dans La Jeune Belgique : « Théo Van Rysselberghe est le chef du petit clan de peintres établis à Knokke, et dont Regoyos, Wytsman, Charlet et Schlobach font partie. » Connu comme l'un des principaux représentants du pointillisme en Belgique, il va se faire un nom comme portraitiste, mais il peint aussi, sur des modes différents souvent proches de l'expressionisme, des paysages et des nus. Marié en 1889 avec Maria Monnom, il s'installe à Paris en 1898 et, dès l'année suivante, il va connaître Gide, comme le raconte Maria Van Rysselberghe : « C'est à un dîner chez Viélé-Griffin que nous rencontrâmes Gide pour la première fois. Théo eut tout de suite le désir de dessiner sa tête, et c'est Ghéon, rencontré aussi chez Griffin, et qui fréquentait déjà chez nous, qui entraîna Gide à l'atelier. » À partir de là, c'est une amitié très étroite qui va lier Gide avec le couple Van Rysselberghe et leur fille Élisabeth, Théo réalisant plusieurs portraits et bustes de Gide. C'est entre Gide et Maria Van Rysselberghe que la complicité est la plus forte à tel point qu'en 1928, deux ans après la mort de Théo, la Petite Dame et Gide emménagent sur le même palier, rue Vaneau à Paris, dans deux appartements qui communiquent, et partagent lectures, discussions, thés et jeux de cartes... La décision d'André Gide d'avoir, en 1923, un enfant avec Elisabeth Van Rysselberghe qui en désirait un avec ferveur, gâchera les liens amicaux entre Théo et l'écrivain, mais n'affectera en rien l'amitié et la confiance entre André et Maria

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