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Beschreibung

Edmond Locard La Sacoche de Bonnot, outils d’effraction Musée de la Police, Saint-Cyr-au-Mont-d'Or, vers 1941 Épreuve argentique d’époque, 18x13 cm «Là, dans une grande salle, 1 500 pièces, accumulées depuis 1941, racontent le crime et la police scientifique, indissociablement liés dans une lutte acharnée. Plus personne ne s'en soucie. Le musée est fermé depuis 1982...» (Le Monde, 18 aout 2003)

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Edmond Locard La Sacoche de Bonnot, outils d’effraction Musée de la Police, Saint-Cyr-au-Mont-d'Or, vers 1941 Épreuve argentique d’époque, 18x13 cm «Là, dans une grande salle, 1 500 pièces, accumulées depuis 1941, racontent le crime et la police scientifique, indissociablement liés dans une lutte acharnée. Plus personne ne s'en soucie. Le musée est fermé depuis 1982...» (Le Monde, 18 aout 2003)

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Startpreis 50 EUR

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In der Auktion am Samstag 14 Sep : 15:00 (MESZ)
senigallia, Italien
Consigned It
+393471115466

Exposition des lots
jeudi 08 août - 11:00/20:00, Consigned IT
mercredi 07 août - 11:00/18:00, Consigned IT
mardi 06 août - 11:00/18:00, Consigned IT
lundi 05 août - 11:00/18:00, Consigned IT
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Alphonse Bertillon Photographie métrique Raon-l’Étape, Lacour-Berthiaux, 1913 Petit folio de 40 pages , 37,5x26,5 cm, couverture imprimée, manuel diffusé par les établissements Lacour-Berthiot (qui ont institué en leur sein un « Institut technique » destiné à vulgariser les méthodes de photographies métriques élaborées par Alphonse Bertillon). Il présente à l’aide d’images et de notices détaillées de nombreux appareils photographiques fabriqués à partir du savoir développé par le directeur du service de l’Identité judiciaire de la préfecture de police de Paris afin de réaliser des photographies d’individus, d’objets ou de lieux susceptibles d’être mobilisées dans différents domaines scientifiques. Pionnier de l'enquête scientifique, salué par Conan Doyle, dans Le chien des Baskerville, comme l'inspirateur de Sherlock Holmes, Bertillon élargit l'étude de l'identité à celle de tous les indices matériels relevés sur la scène du crime. Sans constituer une œuvre de synthèse, Bertillon multiplie les inventions : photographie des cadavres et des scènes de crime, appareils de relevés des traces, transport des indices, etc. Il s'impose alors comme le premier expert en matière de police scientifique et ses analyses photographiques, chimiques, graphologiques permettent de résoudre de nombreuses affaires criminelles et contribuent à sa renommée. En 1899, il est appelé lors du procès Dreyfus pour effectuer une analyse graphologique décisive du document prouvant la trahison de l’accusé. Persuadé de la culpabilité de l’officier, il élabore une théorie obscure qui prétend révéler la falsification de sa propre écriture par Dreyfus lui-même afin de tromper la justice. Une campagne publique s’abat sur Bertillon, vilipendé par la presse qui l’accuse de soutenir le mensonge d’État et ironise sur ses compétences. L’affaire Dreyfus menace la carrière de Bertillon qui échappe de peu à la radiation de la Préfecture de police. Défendu par le Préfet Louis Lépine, il se voit retirer le service de l’identification graphique confiée au laboratoire de toxicologie et ne peut constituer, comme il le souhaitait, un pôle de police scientifique finalement créé à Lyon, en 1910, par l’un de ses fidèles, Edmond Locard