Null CLOTA TEXIDOR ANGLI y MOMPHAGES.
Preuves de noblesse pour Don Francisco de …
Beschreibung

CLOTA TEXIDOR ANGLI y MOMPHAGES. Preuves de noblesse pour Don Francisco de CLOTA TEXIDOR ANGLI y MOMFAGES. Madrid, 20 juillet 1744. Manuscrit espagnol de 30 ff. sur peau de velin, petit in-folio (200 x 292 mm), basane blonde, double encadrement de roulettes dentelées dorées ornant les plats, écoinçons et fleuron central, lacs de soie vert et or, dos lisse orné, (reliure espagnole de l’époque). 600 / 800 € Manuscrit calligraphié à l’encre brune et rouge orné de deux pages enluminées accompagnés de leur serpente en soie: la première, un large frontispice portant le nom « D. Iuan / Alphonso / Guerra Y. / Sandoval » orné du sceau officiel dans un cartouche, la seconde les grandes armoiries de Don Francisco de CLOTA. In fine, les signatures contrescellé du sceau des autorités dont un en papier gaufré doré. Remarquable état de conservation hormis minimes galeries de vers sur les 3 derniers ff touchant texte et l’un des sceau. Manuscrit original réalisé par Don Juan Alfonso de Guerra y Sandoval, juge d’armes et chevalier de l’Ordre de Saint Jacques de l’Épée (« Orden de Santiago »), ordre religieux et militaire fondé au 12ème siècle. Il certifie les titres de noblesse de la famille catalane Clota y Texidor dont il blasonne les armes. Le document est contresigné par don Diego de Olidem, secrétaire du roi et du conseil municipal (Ayutamento) de Madrid. Le certificat retrace les quatre quartiers de noblesse de cette famille et donne, pour chaque quartier, les armoiries correspondantes après chaque relation, expliquant ainsi la constitution de l’écu en tête de l’ouvrage. Don Francesco de Clota fut également seigneur du Can Clota, acquit par son père Jaume Clota, marchand. Francesco y fait d’ailleurs apposer ses armes lors de son annoblissement en 1744 et y commence la construction d’une chapelle. Ce batiment d’origine médiéval, situé près de Barcelonne en région Catalane est aujourd’hui un des lieux emblématiques de la région.

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CLOTA TEXIDOR ANGLI y MOMPHAGES. Preuves de noblesse pour Don Francisco de CLOTA TEXIDOR ANGLI y MOMFAGES. Madrid, 20 juillet 1744. Manuscrit espagnol de 30 ff. sur peau de velin, petit in-folio (200 x 292 mm), basane blonde, double encadrement de roulettes dentelées dorées ornant les plats, écoinçons et fleuron central, lacs de soie vert et or, dos lisse orné, (reliure espagnole de l’époque). 600 / 800 € Manuscrit calligraphié à l’encre brune et rouge orné de deux pages enluminées accompagnés de leur serpente en soie: la première, un large frontispice portant le nom « D. Iuan / Alphonso / Guerra Y. / Sandoval » orné du sceau officiel dans un cartouche, la seconde les grandes armoiries de Don Francisco de CLOTA. In fine, les signatures contrescellé du sceau des autorités dont un en papier gaufré doré. Remarquable état de conservation hormis minimes galeries de vers sur les 3 derniers ff touchant texte et l’un des sceau. Manuscrit original réalisé par Don Juan Alfonso de Guerra y Sandoval, juge d’armes et chevalier de l’Ordre de Saint Jacques de l’Épée (« Orden de Santiago »), ordre religieux et militaire fondé au 12ème siècle. Il certifie les titres de noblesse de la famille catalane Clota y Texidor dont il blasonne les armes. Le document est contresigné par don Diego de Olidem, secrétaire du roi et du conseil municipal (Ayutamento) de Madrid. Le certificat retrace les quatre quartiers de noblesse de cette famille et donne, pour chaque quartier, les armoiries correspondantes après chaque relation, expliquant ainsi la constitution de l’écu en tête de l’ouvrage. Don Francesco de Clota fut également seigneur du Can Clota, acquit par son père Jaume Clota, marchand. Francesco y fait d’ailleurs apposer ses armes lors de son annoblissement en 1744 et y commence la construction d’une chapelle. Ce batiment d’origine médiéval, situé près de Barcelonne en région Catalane est aujourd’hui un des lieux emblématiques de la région.

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[ÉTATS DE BRETAGNE] - Manuskript aus der ersten Hälfte des 18. Jahrhunderts, 352 Seiten (die erste Seite (oder die ersten Seiten?) fehlen). Ohne Ort, Datum und Titel. Folio (41 x 27 cm), Einband ½ Basan sehr beschädigt (Rücken teilweise abgerissen mit Fehlstellen), Titelstück "Manuskript". Durchgestrichene Seiten, alte Anmerkungen am Rand.Sehr bedeutendes anonymes Manuskript, Bericht der in Dinan versammelten Stände der Bretagne. Auszüge: S. 2-3: "[...] Mais quelques attachés que les Bretons soient à leurs droits et à leurs privilèges, la noblesse aima encore mieux donner des preuves d'une obéissance qu'elle rendait à ceux même qu'elle voyoit qui abuzoit de l'authorité du Roy que de donner à toute la France le moindre soupçon qu'elle eust jamais en manque [...]. Monsieur le marquis depiré, obwohl einer der eifrigsten für die Provinz, fand sich auch als einer der unterwürfigsten gegenüber den angeblichen Befehlen des Königs. Er weigerte sich, der Adelsversammlung vorzusitzen, und aus Angst, man könnte ihn dazu zwingen, verließ er als Erster das Theater, ein Teil des Adels folgte ihm mit dem Versprechen, Dinan nicht zu verlassen [...]. Zu diesem Zweck schickten sie nach denjenigen des Adels, deren sie sich am meisten sicher waren, an deren Spitze die Herren von K[er]cardo, der Ritter von Rohan, der viertausend Pfund für den Ruf verkauft hatte, den er sich bei den Ständen von St. Brieuc erworben hatte [...]". p. 149. " [...]. Die Wahl wurde jedoch auf den nächsten Tag verschoben, was mir Zeit gab, den Herrn Intendanten zu besuchen, mit dem ich in Verbindung stand, da er der Cousin ersten Grades von Mad. seiner Frau war [...]. Ich berichtete ihm, was am Morgen geschehen war. Er sagte mir, dass alles, was der Adel für mich getan hatte, nutzlos sei [...] dass, als die 3 Orden mich ernannt hatten, dass der Hof ny ein Kommissar sich nie leiden würde, ich wusste, dass sie in einem Tonfall war, der nicht nachließ, und um es mir deutlich zu machen, zeigte er mir einen Brief von Herrn Le Pelletier des Fort [...]". p. 217. "[...] Es gab an diesem Tag einen großen Ball in den Schlössern, an dem 150 Personen teilnahmen. Diese Ausschweifungen kosteten die Provinz viel Geld. Le sieur de Lescouet fils porta ses plaintes [...] des droits sur les vins et sur les cydres dans les parroisses de Tintiniac et de la Chapelle [...]" (Der Herr de Lescouet Sohn beschwerte sich [...] über die Zölle auf Wein und Zunder in den Pfarreien Tintiniac und La Chapelle). Sachverständiger: Emmanuel Lorient - Librairie Traces Écrites: 01 43 54 51 04 - [email protected]