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Archäologie - Antike

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Sa 03 Aug

Benjamin GOMEZ (1885-1959) PAIRE DE TABLES GUERIDONS rectangulaires pouvant former TABLE DE SALLE A MANGER (Long. 250 cm) en chêne et placage de chêne, à double pied central de section carrée godronnée sur base à gradin, le plateau en damier. Avec une allonge. Haut. 73 cm; Long. 85 cm; Prof. 95 cm Allonge : 80 x 95 cm Ce mobilier de salon reprend tous les éléments décoratifs propres à Benjamin GOMEZ. Dans sa structure, dans les formes et dans l’usage, il s’inscrit dans la continuité des créations de Benjamin GOMEZ. Il est ainsi comparable au buffet commandé par Jean Borotra en 1926, que nous avions vendu sous le lot 341 lors de la vente de 31 octobre 2020 et aujourd’hui exposé au Musée Basque de Bayonne. Cependant, le sujet des ornements sculptés est tout à fait exceptionnel dans la création artistique de Benjamin GOMEZ : les sculptures en bas-relief reprennent en effet les symboles de la mythologie assyrienne, du royaume de Babylone en Mésopotamie au VIIIe siècle avant J.-C. L’esthétique de ces sculptures est par ailleurs assez différente de l’œuvre du sculpteur Lucien DANGLADE avec qui Benjamin GOMEZ avait l’habitude de collaborer pour son mobilier. Que signifient ces figurent assyriennes ? Quel est le propos de ce mobilier décoratif ? Il est très difficile d’affirmer la volonté du décorateur. Tout d’abord, nous n’avons pas d’information sur l’identité du commanditaire. La tradition familiale veut que cet ensemble de mobilier ait été acquis vers 1938-1939 aux héritiers d'un militant Basque d’origine espagnole décédé. La devise « Qui dit plus tard, dit jamais » peut renvoyer à la fois au caractère ambitieux d’un homme politique, mais aussi à des promesses d’indépendance jamais consacrées pour le Pays Basque. Enfin, la mythologie assyrienne est délicate à analyser et toute interprétation symbolique du décor dans le contexte Basque des années 1920-1930 serait aussi hasardeuse. Le Lamassu, figure explicitement représentée sur le dossier du divan, est une divinité protectrice contre des forces maléfiques ou des ennemis. Elle est souvent présente à l’entrée des édifices. Elle prend le plus souvent la forme d’un taureau ailé androcéphale couronné d’une tiare mais d’autres déclinaisons existent. Comment rattacher ces éléments à la culture Basque ? Y a-t-il des liens entres la langue Basque et la Mésopotamie ? L’image du berceau de l’humanité et du riche royaume reculé de Mésopotamie renvoient certainement à un idéal de civilisation dont la traduction symbolique reste toutefois encore incertaine. Bibliographie : - Jean Idiart (dir.), Catalogue de l’exposition Louis et Benjamin Gomez architectes à Bayonne, ed. Musée Basque, Bayonne, 2009. - Isabelle Saphore, Le Style Gomez, ed. Atlantica, Biarritz, 2017.

Schätzw. 500 - 600 EUR

Sa 03 Aug

Benjamin GOMEZ (1885-1959) SUITE DE SIX FAUTEUILS en chêne mouluré et sculpté, à dossier plat en gradin à décor stylisant les éléments, pieds antérieurs droits godronnés, postérieurs en compas. (Une assise dégarnie) Ce mobilier de salon reprend tous les éléments décoratifs propres à Benjamin GOMEZ. Dans sa structure, dans les formes et dans l’usage, il s’inscrit dans la continuité des créations de Benjamin GOMEZ. Il est ainsi comparable au buffet commandé par Jean Borotra en 1926, que nous avions vendu sous le lot 341 lors de la vente de 31 octobre 2020 et aujourd’hui exposé au Musée Basque de Bayonne. Cependant, le sujet des ornements sculptés est tout à fait exceptionnel dans la création artistique de Benjamin GOMEZ : les sculptures en bas-relief reprennent en effet les symboles de la mythologie assyrienne, du royaume de Babylone en Mésopotamie au VIIIe siècle avant J.-C. L’esthétique de ces sculptures est par ailleurs assez différente de l’œuvre du sculpteur Lucien DANGLADE avec qui Benjamin GOMEZ avait l’habitude de collaborer pour son mobilier. Que signifient ces figurent assyriennes ? Quel est le propos de ce mobilier décoratif ? Il est très difficile d’affirmer la volonté du décorateur. Tout d’abord, nous n’avons pas d’information sur l’identité du commanditaire. La tradition familiale veut que cet ensemble de mobilier ait été acquis vers 1938-1939 aux héritiers d'un militant Basque d’origine espagnole décédé. La devise « Qui dit plus tard, dit jamais » peut renvoyer à la fois au caractère ambitieux d’un homme politique, mais aussi à des promesses d’indépendance jamais consacrées pour le Pays Basque. Enfin, la mythologie assyrienne est délicate à analyser et toute interprétation symbolique du décor dans le contexte Basque des années 1920-1930 serait aussi hasardeuse. Le Lamassu, figure explicitement représentée sur le dossier du divan, est une divinité protectrice contre des forces maléfiques ou des ennemis. Elle est souvent présente à l’entrée des édifices. Elle prend le plus souvent la forme d’un taureau ailé androcéphale couronné d’une tiare mais d’autres déclinaisons existent. Comment rattacher ces éléments à la culture Basque ? Y a-t-il des liens entres la langue Basque et la Mésopotamie ? L’image du berceau de l’humanité et du riche royaume reculé de Mésopotamie renvoient certainement à un idéal de civilisation dont la traduction symbolique reste toutefois encore incertaine. Bibliographie : - Jean Idiart (dir.), Catalogue de l’exposition Louis et Benjamin Gomez architectes à Bayonne, ed. Musée Basque, Bayonne, 2009. - Isabelle Saphore, Le Style Gomez, ed. Atlantica, Biarritz, 2017.

Schätzw. 700 - 1 000 EUR

Sa 03 Aug

Benjamin GOMEZ (1885-1959) PAIRE DE BERGERES en chêne mouluré et sculpté, à accotoirs en trapèze sur pieds patins et décor sculpté du taureau ailé assyrien. Montants droits godronnés. Ce mobilier de salon reprend tous les éléments décoratifs propres à Benjamin GOMEZ. Dans sa structure, dans les formes et dans l’usage, il s’inscrit dans la continuité des créations de Benjamin GOMEZ. Il est ainsi comparable au buffet commandé par Jean Borotra en 1926, que nous avions vendu sous le lot 341 lors de la vente de 31 octobre 2020 et aujourd’hui exposé au Musée Basque de Bayonne. Cependant, le sujet des ornements sculptés est tout à fait exceptionnel dans la création artistique de Benjamin GOMEZ : les sculptures en bas-relief reprennent en effet les symboles de la mythologie assyrienne, du royaume de Babylone en Mésopotamie au VIIIe siècle avant J.-C. L’esthétique de ces sculptures est par ailleurs assez différente de l’œuvre du sculpteur Lucien DANGLADE avec qui Benjamin GOMEZ avait l’habitude de collaborer pour son mobilier. Que signifient ces figurent assyriennes ? Quel est le propos de ce mobilier décoratif ? Il est très difficile d’affirmer la volonté du décorateur. Tout d’abord, nous n’avons pas d’information sur l’identité du commanditaire. La tradition familiale veut que cet ensemble de mobilier ait été acquis vers 1938-1939 aux héritiers d'un militant Basque d’origine espagnole décédé. La devise « Qui dit plus tard, dit jamais » peut renvoyer à la fois au caractère ambitieux d’un homme politique, mais aussi à des promesses d’indépendance jamais consacrées pour le Pays Basque. Enfin, la mythologie assyrienne est délicate à analyser et toute interprétation symbolique du décor dans le contexte Basque des années 1920-1930 serait aussi hasardeuse. Le Lamassu, figure explicitement représentée sur le dossier du divan, est une divinité protectrice contre des forces maléfiques ou des ennemis. Elle est souvent présente à l’entrée des édifices. Elle prend le plus souvent la forme d’un taureau ailé androcéphale couronné d’une tiare mais d’autres déclinaisons existent. Comment rattacher ces éléments à la culture Basque ? Y a-t-il des liens entres la langue Basque et la Mésopotamie ? L’image du berceau de l’humanité et du riche royaume reculé de Mésopotamie renvoient certainement à un idéal de civilisation dont la traduction symbolique reste toutefois encore incertaine. Bibliographie : - Jean Idiart (dir.), Catalogue de l’exposition Louis et Benjamin Gomez architectes à Bayonne, ed. Musée Basque, Bayonne, 2009. - Isabelle Saphore, Le Style Gomez, ed. Atlantica, Biarritz, 2017.

Schätzw. 500 - 600 EUR

Sa 03 Aug

Benjamin GOMEZ (1885-1959) BUFFET-DRESSOIR en chêne et placage de chêne mouluré et sculpté, la partie basse à trois arcades centrales surmontées d'un tiroir gravé de la devise "Guero Dionak Bego Dio" (Qui dit aprés, dit jamais !), les portes latérales légèrement évasés sculptées de divinités assyriennes ailées. La partie haute ornée d'un miroir en triptyque flanqué de montants ajouré à éclairage électrique sous verres opalescents et à décor du motif de rameaux d'olivier propre à Benjamin Gomez. Plateau en damier. Haut. 230 cm; Larg. 245 cm; Prof. 61 cm Ce mobilier de salon reprend tous les éléments décoratifs propres à Benjamin GOMEZ. Dans sa structure, dans les formes et dans l’usage, il s’inscrit dans la continuité des créations de Benjamin GOMEZ. Il est ainsi comparable au buffet commandé par Jean Borotra en 1926, que nous avions vendu sous le lot 341 lors de la vente de 31 octobre 2020 et aujourd’hui exposé au Musée Basque de Bayonne. Cependant, le sujet des ornements sculptés est tout à fait exceptionnel dans la création artistique de Benjamin GOMEZ : les sculptures en bas-relief reprennent en effet les symboles de la mythologie assyrienne, du royaume de Babylone en Mésopotamie au VIIIe siècle avant J.-C. L’esthétique de ces sculptures est par ailleurs assez différente de l’œuvre du sculpteur Lucien DANGLADE avec qui Benjamin GOMEZ avait l’habitude de collaborer pour son mobilier. Que signifient ces figurent assyriennes ? Quel est le propos de ce mobilier décoratif ? Il est très difficile d’affirmer la volonté du décorateur. Tout d’abord, nous n’avons pas d’information sur l’identité du commanditaire. La tradition familiale veut que cet ensemble de mobilier ait été acquis vers 1938-1939 aux héritiers d'un militant Basque d’origine espagnole décédé. La devise « Qui dit plus tard, dit jamais » peut renvoyer à la fois au caractère ambitieux d’un homme politique, mais aussi à des promesses d’indépendance jamais consacrées pour le Pays Basque. Enfin, la mythologie assyrienne est délicate à analyser et toute interprétation symbolique du décor dans le contexte Basque des années 1920-1930 serait aussi hasardeuse. Le Lamassu, figure explicitement représentée sur le dossier du divan, est une divinité protectrice contre des forces maléfiques ou des ennemis. Elle est souvent présente à l’entrée des édifices. Elle prend le plus souvent la forme d’un taureau ailé androcéphale couronné d’une tiare mais d’autres déclinaisons existent. Comment rattacher ces éléments à la culture Basque ? Y a-t-il des liens entres la langue Basque et la Mésopotamie ? L’image du berceau de l’humanité et du riche royaume reculé de Mésopotamie renvoient certainement à un idéal de civilisation dont la traduction symbolique reste toutefois encore incertaine. Bibliographie : - Jean Idiart (dir.), Catalogue de l’exposition Louis et Benjamin Gomez architectes à Bayonne, ed. Musée Basque, Bayonne, 2009. - Isabelle Saphore, Le Style Gomez, ed. Atlantica, Biarritz, 2017.

Schätzw. 2 000 - 3 000 EUR

Sa 03 Aug

Benjamin GOMEZ (1885-1959) AUSSERGEWÖHNLICHES DIVAN aus Eiche und Eichenfurnier mit Profil und Schnitzereien. Die Rückenlehne der Bank hat drei zentrale Arkaden, die von einer geflügelten assyrischen Gottheit mit Stierbein flankiert werden. Die Seitenkassetten öffnen sich bei einer in eine geschnitzte Fassade mit stilisierenden Motiven und bei der anderen in eine breite Tür nach außen. Sie werden von einer Lampe mit godronierten Pfosten und dreifachem Gesims mit einem abgeschrägten Lampenschirm gekrönt. H. 165 cm; B. 280 cm; T. 79 cm Diese Salonmöbel weisen alle dekorativen Elemente auf, die Benjamin GOMEZ eigen sind. In seiner Struktur, in den Formen und in der Verwendung steht es in der Kontinuität der Kreationen von Benjamin GOMEZ. So ist es mit dem 1926 von Jean Borotra in Auftrag gegebenen Buffet vergleichbar, das wir unter Los 341 bei der Auktion am 31. Oktober 2020 verkauft hatten und das heute im Baskischen Museum in Bayonne ausgestellt ist. Das Thema der geschnitzten Ornamente ist jedoch im künstlerischen Schaffen von Benjamin GOMEZ ganz außergewöhnlich: Die Flachreliefschnitzereien greifen nämlich Symbole aus der assyrischen Mythologie des Königreichs Babylon in Mesopotamien im 8. Jahrhundert v. Chr. auf. Die Ästhetik dieser Skulpturen unterscheidet sich übrigens ziemlich stark von den Werken des Bildhauers Lucien DANGLADE, mit dem Benjamin GOMEZ für seine Möbel zusammenzuarbeiten pflegte. Was bedeuten diese assyrischen Figuren? Was ist der Zweck dieser dekorativen Möbel? Es ist sehr schwierig, die Absicht des Dekorateurs zu bestätigen. Zunächst einmal haben wir keine Informationen über die Identität des Auftraggebers. Der Familientradition zufolge wurde diese Möbelgruppe um 1938-1939 von den Erben eines verstorbenen baskischen Aktivisten spanischer Herkunft erworben. Das Motto "Wer später sagt, sagt nie" könnte sich sowohl auf den ehrgeizigen Charakter eines Politikers als auch auf nie eingelöste Unabhängigkeitsversprechen für das Baskenland beziehen. Schließlich ist die assyrische Mythologie heikel zu analysieren, und jede symbolische Interpretation des Dekors im baskischen Kontext der 1920er und 1930er Jahre wäre ebenfalls riskant. Die Lamassu, eine Figur, die explizit auf der Rückenlehne des Diwans abgebildet ist, ist eine Schutzgottheit gegen böse Mächte oder Feinde. Sie ist häufig am Eingang von Gebäuden zu sehen. Meist hat sie die Form eines androkephalen geflügelten Stieres, der mit einer Tiara gekrönt ist, aber es gibt auch andere Variationen. Wie lassen sich diese Elemente mit der baskischen Kultur in Verbindung bringen? Gibt es Verbindungen zwischen der baskischen Sprache und Mesopotamien? Das Bild von der Wiege der Menschheit und dem reichen, abgelegenen Königreich Mesopotamien verweist sicherlich auf ein Zivilisationsideal, dessen symbolische Übersetzung jedoch noch unklar ist. Bibliografie : - Jean Idiart (Hrsg.), Catalogue de l'exposition Louis et Benjamin Gomez architectes à Bayonne, ed. Musée Basque, Bayonne, 2009. - Isabelle Saphore, Le Style Gomez, ed. Atlantica, Biarritz, 2017.

Schätzw. 800 - 1 200 EUR

Mi 14 Aug

Brief eines Unionssoldaten, geschrieben einen Tag vor der Schlacht am Krater: "Die Scharfschützen der Rebellen haben unsere Kanoniere abgeschossen" Auf den Bürgerkrieg datierter ALS-Brief des Unionssoldaten George A. Spencer von Co. I, 7th Rhode Island Infantry, drei Seiten auf zwei aneinander grenzenden Blättern, 4,5 x 7,5, 29. Juli 1864. Adressiert von "Comp 7th R. I. Vols., near Petersburg, Va.", ein handgeschriebener Brief an seine Eltern, in dem er seine Gedanken und die Ereignisse schildert, die zur Schlacht am Krater führten, die am nächsten Tag stattfand. Hier ein Auszug: "Sie haben letzte Nacht 7 Tonnen Pulver unter das Rebellenfort geschüttet. In ein paar Tagen wird es hier ein Durcheinander geben... Die Scharfschützen der Rebellen haben unsere Kanoniere von einem großen gelben Haus aus abgeknallt. Gestern haben wir eine neue Batterie in Stellung gebracht und das Haus mit griechischem Feuer eröffnet. Ihr hättet sehen sollen, wie die Scharfschützen aus dem Haus kamen, einige aus den Fenstern und einige aus der Tür... und dann fingen die Streikposten an zu schreien und zu krähen und das machte die Johnnys wütend und sie fingen an, Mörsergranaten in Massen zu werfen und dann eröffnete unsere 32-Pfund-Batterie das Feuer auf die Stadt und das stoppte bald ihre Mörser und alles war wieder ruhig und dann spielte die Band." In gutem Zustand. Die Schlacht am Krater fand im Rahmen der Belagerung von Petersburg am Samstag, dem 30. Juli 1864, statt, als die Unionstruppen eine Mine unter den Stellungen der Konföderierten zur Explosion brachten, die sofort 278 konföderierte Soldaten des 18. und 22. South Carolina tötete und einen riesigen Krater hinterließ, der noch heute sichtbar ist. Die Explosion brachte der Union keinen entscheidenden Vorteil, sondern führte vielmehr zu einer raschen Verschlechterung der Position der Union, da eine Einheit nach der anderen in und um den Krater stürmte. Nachdem sie sich von der Explosion erholt hatten, umstellten die konföderierten Soldaten den Krater und begannen, mit Gewehren und Artillerie in den Krater zu feuern, was Brigadegeneral William Mahone später als "Truthahnschießen" bezeichnete. US Grant bezeichnete diesen gescheiterten Angriff als "die traurigste Angelegenheit, die ich in diesem Krieg miterlebt habe".

Schätzw. 300 - 500 USD

Do 22 Aug

Griechenland - [WILKINS (William)] & HITTORFF (Jacques-Ignace). Les Antiquités inédites de l'Attique, contenant les restes d'architecture d'Eleusis, de Rhamnus, de Sunium et de Thoricus, par la Société des Dilettanti; ouvrage traduit de l'anglais, augmenté de notes et de plusieurs dessins (...) Paris, Imprimerie de Firmin Didot frères, 1832. Folio, xi-[3]-63 S. Text, [1] f. Tabelle, einige Abbildungen im Text und 60 Tafeln mit Strichätzung. Rotes Halbvrette mit Ecken, glatter Rücken mit goldgeprägten Filets (Buchbinderei der Zeit). Kanten abgestumpft, einige Male braunfleckig. Was den Text betrifft, handelt es sich um die einzige deutsche Übersetzung von The Unedited antiquities of Attica, die 1817 von dem Archäologen und Architekten William Wilkins an der Londoner Adresse veröffentlicht wurde. Dieses Original umfasste nicht weniger als 84 Tafeln. In der französischen Ausgabe wurden die Tafeln von Hittorff (1792-1867) angefertigt, der damals ein junger Architekt war, der bei der Regierung von Louis-Philippe und der Stadt Paris hoch im Kurs stand, wo seine Bauten das Gesicht der Hauptstadt prägten (Kirche Saint-Vincent-de-Paul, Rathaus des heutigen 5. und 1. Arrondissements, Winterzirkus, Gare du Nord usw.). Die beiden Männer hinter diesem Album hatten, wenn auch zu unterschiedlichen Zeiten, ihre "Tour" durch Griechenland oder die Magna Graecia unternommen, die für angehende Architekten als obligatorisch galt. (Brunet V, 570-571).

Schätzw. 700 - 800 EUR

Fr 23 Aug

LORRIS (Guillaume de) und MEUN (Jean de). Der Roman de la Rose. Revu sur plusieurs éditions & sur quelques anciens manuscrits. Accompagné de plusieurs autres ouvrages, d'une préface historique, de notes & d'un glossaire. [Ausgabe gegeben von LENGLET-DUFRESNOY]. Amsterdam, Jean-Frédéric Bernard, 1735. 3 Bde. in-12 mit [2] ff., lxviii-362 pp., [1]-424 pp., [1]-384 pp. Basane fauve jaspée, verzierter Rücken, Titel- und Titelblatt aus dunkelblauem Kalbsleder, goldgeprägte Filets, die die Deckel einrahmen (Buchbinderei der Epoche). Kleine Wurmlöcher an den Backen. Seltene Ausgabe, die von Lenglet-Dufresnoy gegeben wurde, die erste seit 1538. Der von Lenglet du Fresnoy angegebene Text basiert auf dem 1499 von Vérard angegebenen Text. Ohne das seltene Supplément au glossaire du Roman de la Rose (von J.-B. Lantin de Damerey), 1737, J. Sirot in Dijon. Der erste Band enthält eine Vita von Jean de Meung von André Thevet. Der dritte Band enthält : Le Codicille de Maistre Jean de Meung, Le Testament de Maistre Jean de Meung, Les Remontrances de Nature à l'alchimistre errant par l'Autheur Jean de Meung, La Response de l'Alchimiste à Nature, Testament attribué à Arnauld de Villeneufve, Petit Traicté d'Alchimie intitulé Le Sommaire philosophique de Nicolas Flamel, La Fontaine des amoureux de science composée par Jean de La Fontaine de Valenciennes, Balade du Secret des Philosophes, et Glossaire ou explication des anciens mots du Roman de la Rose. Diese Ausgabe, die von Lenglet-Dufresnoy gegeben wurde, weist die Besonderheit auf, dass sie zwei Vorworte hat, eines vom Herausgeber und eines von Clément Marot, das die Ausgaben von 1527, 1529 und 1537 begleitete. "Man muss gestehen, dass der Autor der Chemie des Großen Werks oder der Transmutation stark geneigt zu sein scheint ... Natur- und Moralphilosophen können dort lernen. Theologen, Astrologen, Geometriker, Alchemisten ... und andere Menschen, die unter der Konstellation und dem Einfluss guter Sterne geboren wurden und eine Art von Ars und Wissenschaft kennen möchten ..." Vorwort von Lenglet Dufresnoy. (Caillet 6802.) "Im selben Jahr (1265), in dem Dante geboren wurde, setzte Jean Clopinel, genannt Jean de Meung, den Roman de la Rose fort, den Guillaume de Loris vierzig Jahre zuvor begonnen hatte. Unter seiner Feder wurde die schöne und zarte, von Ovid imitierte "Kunst zu lieben", die sein Vorgänger gesungen hatte, zu einer Enzyklopädie, in der sich Betrachtungen zu allen möglichen Themen aneinanderreihen, vom Ursprung der Welt, der Liebe, dem Glück, der Natur, der Kunst, der Astronomie, der Alchemie bis hin zur Religion und der Moral. (...) Der Roman de la Rose ist eine ebenso gelehrte Offenbarung des Okkulten wie die des Apuleius; Jehan de Meung hat in diesem Werk den Schlüssel zu den Geheimnissen der hermetischen Philosophie versteckt." Sédir, Histoire des Rose-Croix. Schönes Exemplar.

Schätzw. 180 - 200 EUR

Do 12 Sep

MANOLO HUGUÉ (Barcelona, 1872 - Caldas de Montbui, Barcelona, 1945). "Stierkampfarena". Aquarell auf Papier. Maße: 17 x 23 cm; 45 x 50 cm (Rahmen). Was wir Unbeweglichkeit nennen, ist nichts anderes als ein Grenzfall der Langsamkeit in der Bewegung, eine ideale Grenze, die die Natur nie erreicht. Das schrieb der französische Philosoph Henri Bergson, und genau dieses Prinzip wird von den Stierkämpfern von Manolo Hugué verwirklicht, deren Körperhaltung die dichte Spannung des Augenblicks in der Manege wiedergibt. Manuel Martínez Hugué, Manolo Hugué, wurde an der Escuela de la Lonja in Barcelona ausgebildet. Als regelmäßiger Teilnehmer an den Zusammenkünften der "Els Quatre Gats" schloss er Freundschaft mit Picasso, Rusiñol, Mir und Nonell. Im Jahr 1900 zog er nach Paris, wo er zehn Jahre lang lebte. Dort nahm er seine Beziehung zu Picasso wieder auf und schloss Freundschaft mit anderen Theoretikern der Avantgarde wie Apollinaire, Modigliani, Braque und Derain. In der französischen Hauptstadt beschäftigte er sich mit der Gestaltung von Schmuck und kleinen Skulpturen, beeinflusst durch die Arbeit seines Freundes, des Bildhauers und Goldschmieds Paco Durrio. 1892 arbeitete er mit Torcuato Tasso an dekorativen Werken für die Feierlichkeiten zum hundertjährigen Jubiläum der Entdeckung Amerikas. Zwischen 1910 und 1917, als er sich ganz der Bildhauerei widmete, arbeitete er in Ceret, wo er eine heterogene Gruppe von Künstlern um sich versammelte, unter denen Juan Gris, Joaquín Sunyer und wiederum Picasso hervorstachen. In diesen Jahren hatte er Ausstellungen in Barcelona, Paris und New York. Im Jahr 1932 wurde er zum Mitglied der Königlichen Akademie der Schönen Künste von San Jorge in Barcelona ernannt. Das Wesentliche in Hugués Werk ist die Beziehung zur Natur, wobei er die menschliche Figur als integriertes Element in die Natur einbezieht. Dies ist ein Merkmal des noucentistischen Klassizismus, aber bei Hugué geht es über dessen begrenzte Ursprünge hinaus. Er stellte in der Regel Bauern dar, aber auch Stierkämpfer und Tänzer - wie hier zu sehen ist -, immer mit einer Detailgenauigkeit und einem Sinn für Texturen, die seine frühere Ausbildung als Goldschmied verraten. In seiner künstlerischen Produktion koexistieren die mediterrane Tradition, der griechische Klassizismus und Archaismus, die Kunst des alten Ägyptens und Mesopotamiens mit der europäischen Avantgarde, die er assimilierte und aus erster Hand kannte, insbesondere der Fauvismus und der Kubismus von Matisse. Werke von Hugué befinden sich unter anderem im MACBA, im Centre Georges Pompidou in Paris, im Nationalen Kunstmuseum von Katalonien und im Nationalmuseum und Kunstzentrum Reina Sofia.

Schätzw. 1 500 - 1 600 EUR