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mar 25 jun

Garniture d’un lit de côté à baldaquin en toiles de Nantes de la fin XVIIIe siècle. (Remontage). Cette garniture comporte deux modèles de toiles sans doute toujours utilisées ensemble et peut-être même teintes dans le même bain d’indigo à la manufacture Gorgerat. Ce coloris bleu est rare sur les toiles imprimées car plus fragile à la lumière, il ne fut pratiqué que durant la dernière décennie du XVIIIe siècle. - Vase fleuri, Apollon et Arabesque: composition typique d’un décor arabesque à 2 chemins et raccord sauté comme pratiqué sur le papier peint à la même époque. Dais de draperie, statue d’Apollon sous un arceau de feuillage, cartouche à pans coupés, amours sur des acanthes, ces motifs réunis par des festons de cordelière et de rangs de perles. Reproduit: cat. Toiles de Nantes, Musée des Arts Décoratifs, Paris, 1978, n°100. - Allégorie de la France: deux scènes allégoriques et de propagande sont l’apologie des idées réformatrices en 1789. Le char de la France, encore couronnée et en manteau fleurdelisé, est entouré par les allégories du Commerce, de la Prospérité, de la Sagesse et de la Prudence. Ailleurs sous un dais, un sacrifice païen à la Fortune, celle-ci détourne le regard et laisse tomber sur les hommes, pelle, râteau, couronne, mitre, décoration (la «naissance» est le fait du hasard), sur leur nuage, un amour tenant le bonnet phrygien de la Liberté montre sur un livre la Déclaration des droits de l’Homme et une Renommée embouche sa trompette pour donner une dimension universelle à ce nouveau concept. Cette toile est connue avec un chef de pièce de Gorgerat. (collection particulière).

Valorac. 1 000 - 1 500 EUR

mar 25 jun

[ARMORIAL GÉNÉRAL / MANUSCRIT]. « Bourbonnais // Généralité de Moulins ». Registre imprimé, manuscrit et aquarellé de la fin du XVIIe siècle (1696-1701) en un volume in-4° (210 x 295 mm), veau moucheté, dos à nerfs orné (reliure de l’époque). 2 000/2 500 € 210 ff. sur peau de vélin comportant tous, sur les rectos uniquement, du texte pré-imprimé complété par quelques mentions manuscrites et ornés en tête d’armoiries peintes. Réunion de copies de brevets émanant des bureaux de Charles René d’Hozier, garde de l’Armorial général de France, tirés de l’« Armorial général de France » (créé par l’édit de novembre 1696), relatifs à la province du Bourbonnais. Les mentions manuscrites complémentaires sont, outre les trois lignes indiquant sur tous les feuillets en haut à gauche : « Bourbonnois // G[e]n[er]alité de Moulins // Moulins », le numéro du registre et celui de la pièce, la date de l’ordonnance, le nom complet du bénéficiaire, la date de l’acte et en fin la signature de d’Hozier. (Ces pièces ne sont pas reliées dans l’ordre de leur numéro manuscrit.) Les familles concernées sont : • Arnoux de La Forest (143), • Aubert (77), • Aumaistre de Chirat (97), • Bardet (105), • Batissier (maire de Bourbon, 34), • Baudet (veuve James, 93), • Bayle de Poncenat (168), • Beaufort (curé de Varennes sur Tesche, 178), • Beaugy (179), • Benoist (192), • Beraud (186), • Berlie (166), • Boutet (58 & 59), • Bergeront (39), • Bernu (99), • Bertet de Puidigon (135), • Billard des Giraudz (27 & 41), • Blanzat (du) [193], • Bonnet (209), • Bonneval (26), • Bordon de Vieille Voisin (118), • Bordon du Mas de L’Ecluse (204), • Bourachot (132), • Bourbon l’Archambault (chapitre de, 169), • Bressolle Baron (84), • Buisson (du) [183], • Bujon (126), • Burelle (7), • Burgues (106), • Caillet (40), • Carpentier de Crécy (56), • Catrillot (138), • Catriot (196), • Challotier (68), • Chalmoux (85), • Chalus de Chapette (149), • Chambon de • Chaumejean (30), • Chamborant de La Clavière (70), • Chambort (80), • Champfeu (198), • Chantelot de La Chaise (142), • Cistel de Chabanne (21), • Coiffier de Brevilles (120, 199 & 201), • Cordier (35 & 151), • Cormier (57), • Croisier (du) des Bordes, • Denis (89), • Deschamps (36), • Descrot (10), • Desmonnet (48), • Desponts (87), • Destud de Tracy (72), • Dinnet de Moron (102), • Dorat (96 & 164), • Dosches (23 & 71), • Douet (5), • Doultre (44 & 109), • Dreuille de La Lande (2 & 3), • Dubetz (73), • Esmonnet de Montory (6), • Fauconier (195), • Fayet (curé de Billy, 174), • Feuillet (147), • Feydeau de Demoux (55 & 60), • Filhol de La Fauconnière (140 & 176), • Fleury (172), • Fonjean (curé de Gana sur Loire, 38), • Forbet Desouches (165), • Foudras Coutanson de Lion (114), • Fougerolles (103), • Fradel du Lonzat (191), • Gacoin (167), • Galvaing (curé de Voucé, 32), • Garnier d’Aurilly (104), • Gaudon (203), • Gaulmin (82, 83 & 200), • Gérard (des) [180], • Giraudet (117), • Gobetiere (76), • Grallais (113), • Grillet (144), • Guillebon (207), • Hastier (194), • Heldin (4), • Herisson (128), • Heu (170), • Jadon du Bouchet (53), • James de Quirielle (94), • Jaquelot de Chantemerle (205 & 206), • Jehard (curé d’Aubigny, 64), • Julliet (37), • La Chaise (prieur de Souvigny, 33), • La Chapelle (146), • La Goutte Gaulmin (197), • Laire de Montaigu (9), • La Marose (curé de Monestay sur Loire, 1), • La Pelin du Pontet (123), • La Plien (122), • La Ramas de Beaucontaud (61 & 130), • Lardereau (81), • La Roche Aymond de La Ville du Bois & de Saint Méxant (124 & 47), • La Sarre de Saint Martial (79), • La Souche (46 & 152), • La Souche de Saint Augustin (75), • La Trollière de Beauvalon (20), • La Trollière de Belair (31), • Lauriol (163), • Lavaroux du Chafoux (162), • La Ville (125), • Le Clerc de Vilarcy (15), • Le Févre (173), • Le Long de La Maunaye & de Sauget (116 & 161), • Le Tailleur du Thounin (156), • Ligondez (208), • Lion (160), • Listel (16), • Loüan (187), • Lutreau (49), • Lyon (du) [67], • Mahy (66), • Mareschal (12), • Mareschal de La Motte (145), • Maret (177), • Martinet (110), • Millange (prieur de Saint Martin de Mautte, 69), • Maximi d’Esbardin (131), • May de Salle (158), • Mazille de Vaubrisson (78), • Mégret (voir Feydeau, 88), • Michelet (182 & 210), • Moreau (8 & 184), • Morogues (52), • Neuvy Le Barrois (14), • Ossandou de La Batisse (101), • Palierne de Chassena (29 & 136), • Pailhoux (54), • Paillon (51), • Pailloux de Champfort (185), • Pajot (157), • Panay de Champotier et de Maisonville (108 & 137), • Pannest du Deffaud (17), • Penot (Buysson de Mirebeau, 119), • Peraton (202), • Perrea

Valorac. 2 000 - 2 500 EUR

mar 25 jun

RVLC Roger Vandercruse dit Lacroix (1728 - 1799) et Louis Moreau (1740 - 1802) Bonheur-du-jour en placage de bois marqueté teinté de satiné, palissandre filets de buis et bois clairs et teintés à décor de motifs et ustensiles divers, tasses vases fleuris, livres théière, pot, encrier etc… dans le goût de la Chine. La partie haute à retrait à bordure chantournée ouvre à un petit tiroir surmonté d’un casier et flanqué de portes. La partie basse ouvre à un tiroir en ceinture formant écritoire garnie de cuir noir doré au petit fer. Il repose sur des pieds légèrement cambrés. Ornementation de bronzes ciselé et doré frises d’entrelacs, chutes et enroulements d’acanthe et sabots feuillagés. Il présente deux estampilles, la première Estampille sur la traverse « R.V.LC. » pour RVLC Roger Vandercruse dit Lacroix ou reçu maître en 1755 et un des grands noms de l’ébénisterie française de la seconde moitié du XVIIIe siècle. La seconde à l’intérieur du petit tiroir « L. Moreau » pour Louis Moreau reçu maître en 1764 installé rue de l’échelle Saint Honoré il ne réalise lui-même qu’une partie des meubles qu’il vend dans sa boutique estampillant à son tour les meubles comme ce bonheur du jour. Restaurations et reprises aux placages, manque le sabot arrière gauche. Epoque Transition Louis XV-Louis XVI Haut.: 109.5 cm – Larg.: 64.5 cm – 41 cm Œuvres en rapport Modèle similaire au nôtre reproduit p.757 dans le mobilier français du XVIIIe siècle de Pierre Kjellberg. Ce meuble est connu avec une variante qui présente une tablette d’entrejambe: vente Sotheby’s 5 novembre 2014 ¨n°175.Vente Sotheby’s 19 avril 2012 n°109.

Valorac. 8 000 - 12 000 EUR

mar 25 jun

BALDOMERO GALOFRE JIMÉNEZ (Reus, Tarragona, 1846 - Barcelona, 1902). "Descanso". Óleo sobre lienzo. Firmado y localizado ("Roma") en la esquina inferior derecha. Se adjunta certificado de la galería Barbier. Procedencia: Galería Bernat. Medidas: 77 x 43 cm; 106 x 72 cm (marco). Exquisita escena de interior, en la que una joven tumbada en una chaise longe contempla a su periquito que acaba de escaparse de una jaula que cuelga del alto techo de la habitación. El vestido de satén de la dama se derrama sobre la alfombra persa, dejando ver su pequeño pie derecho, posado sobre un cojín tapizado de terciopelo. Su pelo negro contrasta con la blancura de las perlas que lo bordean. Sus pendientes y colgantes de oro brillan sobre su piel clara y nacarada. En la mano izquierda sostiene una mandolina, y la partitura permanece sobre la mesa decorada con un enorme jarrón de porcelana que sostiene una planta de grandes hojas. Una cortina de seda brilla con reflejos dorados. El preciosismo del conjunto se consigue empleando una pincelada apretada y un magistral uso de los tonos. Baldomero Galofre inició su formación en la Escuela de La Lonja de Barcelona, donde fue discípulo de Martí Alsina, y posteriormente completó sus estudios en Madrid. Se dio a conocer en 1866 en la Exposición de Bellas Artes de Barcelona, donde volvería a participar en 1870, y en 1868 participó con paisajes y estudios en la Exposición Aragonesa de Zaragoza. En 1874 obtuvo una pensión para ampliar estudios en Roma, donde residió diez años. Allí asistió a la Academia Chigi y al Círculo Internacional de Arte, y conoció a Mariano Fortuny en los últimos meses de su vida, siguiendo las directrices estilísticas de su compatriota. De vuelta a Barcelona, en 1884 realizó una exposición personal que fue muy bien acogida; Narciso Oller elogió su gran naturalismo, y lo mostró como ejemplo frente a la pintura de historia. Cuatro años más tarde, en una nueva exposición individual, esta vez en Madrid, una de sus obras fue adquirida por la Reina Regente. En 1903, en una sala especial del Museo de Barcelona, Galofre presentó una importante exposición de su obra. Desarrolló un estilo luminoso y detallista, y pintó paisajes y escenas populares en la órbita de Fortuny. También fue un extraordinario dibujante. Actualmente está representado en el MACBA y en el Museo de Arte e Historia de Reus, entre otras colecciones públicas y privadas.

Valorac. 24 000 - 26 000 EUR

mar 25 jun

VICENTE CASTELLO (Active in the Kingdom of Valencia c. 1586 - c. 1636) "Expulsion of the merchants from the Temple" - Oil on canvas. Reference bibliography: - Marco, V., Baroque Painting in Valencia (1600 - 1737), CEEH, Madrid, 2021, pp. 166-173. This imposing work, completely unpublished, is a magnificent example of the production of Vicente Castello, brother-in-law of Juan Ribalta and son-in-law of the famous Francisco Ribalta. His production, until the eighties of the last century, had been included within that of Francisco Ribalta, as is the case with this painting that, until this moment, had been attributed to this artist. When contemplating this canvas, the first thing that catches your attention are the obvious Bassanesque rooms that Vicente Castello met in Valencia with the painter Pedro Orrente, known as “The Spanish Bassano”. In his production, these types of works were very abundant in which biblical themes were treated as genre works. Castello fused the Ribaltesque technique with that Orrenteesque language in this Expulsion of the Temple merchants; a work endowed with great dynamism in which a multitude of characters appear accompanied by animals and objects in a setting with an everyday tone. The execution of this painting, therefore, must be placed in the last stage of his career in which, after the Ribalta family died in 1628, the painter was the head of his important workshop. The careful technique that Castello achieves in this canvas, both in the detailed characterizations of the characters' physiognomic features and their complicated and daring foreshortening, as well as in the representation of the animals (bovids and bovines) allow it to be related to an important part of his production, especially, with the pair of paintings that belonged to the former collection of the Count of Parcent and that are today in the Museum of Fine Arts of Bilbao representing the Adoration of the Shepherds and the Martyrdom of Saint Catherine of Alexandria. The three works share a masterful execution in all their details, both in the human figures and in the animals or even in the material qualities of the objects and fabrics. In all of them their typical twilight lighting environments are present, executing a type of emphatic composition and full of figures in daring foreshortenings and at different scales to suggest the depth of the scene. This composition must have enjoyed considerable success in its time since different versions are known, all of them of poorer quality, such as, for example, the one that recently appeared in the Madrid trade (Fernando Duran, auction of December 29, 2022, lot 645 ). Measurements: 140 x 180 cm.

Valorac. 27 000 - 36 000 EUR