Null MALFRAY Charles (1887-1940)
La douleur d'Orphée dit " le Chant du Poète "
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Descripción

MALFRAY Charles (1887-1940) La douleur d'Orphée dit " le Chant du Poète " Modèle de 1914 Épreuve en bronze, n° 2/8. Fonte au sable Marius Hohwiller (1887- 1966), porte la marque " MARIUS HOHWILLER FONDEUR PARIS ". Signé " Ch. MALFRAY ". Haut. : 117 cm ; Larg. : 40 ; Prof. : 40 cm Provenance : - Collection particulière - Galerie Malaquais, Paris ; - Collection particulière, Paris. Littérature en rapport : - Jacques de Laprade, Charles Malfray, dessins et sculptures, Mourlot, Paris, 1945. - Hommage à Charles Malfray (1887-1940), sculpteur orléanais, catalogue de l'exposition tenue du 2 septembre au 9 octobre 1967 à Orléans, Musée des Beaux-Arts, préface de Olga Fradisse, pp. 5-7 ; - Françoise Galle, Catalogue raisonné des sculptures de Charles Malfray, Mémoire de maîtrise sous la direction de René Jullian, Paris, 1971, oeuvre en rapport n° 13 p. 37 ; - Jean-Baptiste Auffret et Eve Turbat, Charles Malfray (1887-1940), sculpteur, catalogue de l'exposition tenue du 5 avril au 30 juin 2007, Paris, galerie Malaquais, 2007. p. 22 et notice de l'oeuvre p. 82-83. Ce bronze aux dimensions exceptionnelles, connu sous le nom de La douleur d'Orphée dit " le Chant du Poète ", est issu d'un modèle de 250 cm réalisé précocement dans la carrière de l'artiste orléanais Charles Malfray. La fonte, d'une admirable nervosité, présente une belle patine nuancée. Elle a été exécutée par la méthode de la fonte au sable par Marius Hohwiller, actif entre 1930 et 1963/66, l'un des rares fondeurs à obtenir une commande pour l'Exposition Internationale de 1937. L'oeuvre s'inspire d'un thème mythologique fort apprécié des artistes français à la fin du XIXe siècle, choisi comme sujet du Grand Prix de Rome de 1874 : la Descente d'Orphée aux enfers, d'après les Géorgiques de Virgile. La majorité des artistes représente le poète mythique de Thrace sur le chemin de retour alors qu'il s'apprête à se retourner vers Eur

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MALFRAY Charles (1887-1940) La douleur d'Orphée dit " le Chant du Poète " Modèle de 1914 Épreuve en bronze, n° 2/8. Fonte au sable Marius Hohwiller (1887- 1966), porte la marque " MARIUS HOHWILLER FONDEUR PARIS ". Signé " Ch. MALFRAY ". Haut. : 117 cm ; Larg. : 40 ; Prof. : 40 cm Provenance : - Collection particulière - Galerie Malaquais, Paris ; - Collection particulière, Paris. Littérature en rapport : - Jacques de Laprade, Charles Malfray, dessins et sculptures, Mourlot, Paris, 1945. - Hommage à Charles Malfray (1887-1940), sculpteur orléanais, catalogue de l'exposition tenue du 2 septembre au 9 octobre 1967 à Orléans, Musée des Beaux-Arts, préface de Olga Fradisse, pp. 5-7 ; - Françoise Galle, Catalogue raisonné des sculptures de Charles Malfray, Mémoire de maîtrise sous la direction de René Jullian, Paris, 1971, oeuvre en rapport n° 13 p. 37 ; - Jean-Baptiste Auffret et Eve Turbat, Charles Malfray (1887-1940), sculpteur, catalogue de l'exposition tenue du 5 avril au 30 juin 2007, Paris, galerie Malaquais, 2007. p. 22 et notice de l'oeuvre p. 82-83. Ce bronze aux dimensions exceptionnelles, connu sous le nom de La douleur d'Orphée dit " le Chant du Poète ", est issu d'un modèle de 250 cm réalisé précocement dans la carrière de l'artiste orléanais Charles Malfray. La fonte, d'une admirable nervosité, présente une belle patine nuancée. Elle a été exécutée par la méthode de la fonte au sable par Marius Hohwiller, actif entre 1930 et 1963/66, l'un des rares fondeurs à obtenir une commande pour l'Exposition Internationale de 1937. L'oeuvre s'inspire d'un thème mythologique fort apprécié des artistes français à la fin du XIXe siècle, choisi comme sujet du Grand Prix de Rome de 1874 : la Descente d'Orphée aux enfers, d'après les Géorgiques de Virgile. La majorité des artistes représente le poète mythique de Thrace sur le chemin de retour alors qu'il s'apprête à se retourner vers Eur

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CHARLES MALFRAY (Orleans, 1887-Dijon, 1940). "Le Silence". 1916. Bronce. Ejemplar 6/8. Firmada y numerada en la parte inferior. Sello del fundador. Medidas: 32 cm. de alto. Este cuerpo replegado sobre sí mismo intenta protegerse de un exterior agresivo. La figura, cuyo volumen redondeado está constreñido por el bloque de bronce, pretendía ser un homenaje a los combatientes de la Primera Guerra Mundial. Con "El silencio", Charles Malfray alegorizó la soledad y la impotencia que se sienten ante la violencia de la guerra. Drama humano y estilo vanguardista se unen en esta obra subyugante. Charles Malfray fue un escultor francés. Hijo de un cantero de Orleans, estudió en la École des Beaux-Arts de Orleans. A los diecisiete años asistió a la École des Arts Décoratifs de París y a la École nationale supérieure des Beaux-Arts. Sin embargo, rechazó la enseñanza académica de la escuela y se sintió atraído por el arte de Auguste Rodin y Antoine Bourdelle, afincados en Montmartre. Malfray sobrevivió a la Primera Guerra Mundial tras ser gaseado y participar en la batalla de Verdún, pero quedó profundamente afectado por sus experiencias. Junto con su hermano, creó los monumentos de guerra a los caídos de Pithiviers (1920) y Orleans (1924), cuyo modernismo fue muy discutido. En 1920 obtuvo el Prix Blumenthal, pero debido a su enfermedad como consecuencia de la guerra, estuvo a punto de abandonar la escultura. Sin embargo, en 1931, su amigo Aristide Maillol le nombró su sucesor como profesor de la Académie Ranson de París. Durante los años siguientes, Malfray tuvo muchos alumnos en su taller, entre ellos Étienne Martin, François Stahly, Nessa Cohen y Jean Le Moal. Una calle de Orleans lleva el nombre de Rue Charles Malfray.