Null 60 Jean HÉLION (1904-1987)
Les 4 pinasses, Belle-Île, 1961
Huile sur toile
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Description

60 Jean HÉLION (1904-1987) Les 4 pinasses, Belle-Île, 1961 Huile sur toile Signée du monogramme et datée en haute à droite Au dos titrée, située, contresignée et datée 73 x 92 cm L’œuvre est répertoriée dans le Catalogue raisonné numérique de l’œuvre de Jean Hélion. Madame Jacqueline Hélion a confirmé l’authenticité de cette œuvre. Provenance : Galerie Saint Germain, Paris. Peintre et intellectuel, Jean Hélion est l’un des acteurs majeurs de l’abstraction des années 1930. Jusqu’à l’aube de la Seconde Guerre mondiale, son œuvre évolue vers une série des Équilibres qui donne naissance à des formes circulaires et obliques mises en tension. En 1942, Hélion s’évade d’un camp des prisonniers et réussit à s’embarquer à Marseille pour New York où il retrouve Mondrian, Ernst, Calder, Léger et Paul Rosenberg. Dans les années 1950, Hélion cherche obstinément le réel et subit un véritable boycott de la part des musées, des galeries, dû à son refus de l’extrémisme dans l’art abstrait. Ses recherches le poussent à représenter des formes figuratives, l’artiste se pliant à son désir de peindre « ce qu’il voit ». Le Musée d’Art moderne de Paris propose actuellement une rétrospective de l’œuvre de Jean Hélion (jusqu’au 18 août 2024). Jean Hélion © DR

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60 Jean HÉLION (1904-1987) Les 4 pinasses, Belle-Île, 1961 Huile sur toile Signée du monogramme et datée en haute à droite Au dos titrée, située, contresignée et datée 73 x 92 cm L’œuvre est répertoriée dans le Catalogue raisonné numérique de l’œuvre de Jean Hélion. Madame Jacqueline Hélion a confirmé l’authenticité de cette œuvre. Provenance : Galerie Saint Germain, Paris. Peintre et intellectuel, Jean Hélion est l’un des acteurs majeurs de l’abstraction des années 1930. Jusqu’à l’aube de la Seconde Guerre mondiale, son œuvre évolue vers une série des Équilibres qui donne naissance à des formes circulaires et obliques mises en tension. En 1942, Hélion s’évade d’un camp des prisonniers et réussit à s’embarquer à Marseille pour New York où il retrouve Mondrian, Ernst, Calder, Léger et Paul Rosenberg. Dans les années 1950, Hélion cherche obstinément le réel et subit un véritable boycott de la part des musées, des galeries, dû à son refus de l’extrémisme dans l’art abstrait. Ses recherches le poussent à représenter des formes figuratives, l’artiste se pliant à son désir de peindre « ce qu’il voit ». Le Musée d’Art moderne de Paris propose actuellement une rétrospective de l’œuvre de Jean Hélion (jusqu’au 18 août 2024). Jean Hélion © DR

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