FREDERICK STEVENS ROCKWELL FREDERICK STEVENS ROCKWELL
Mécanicien automobile, Cit…
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FREDERICK STEVENS ROCKWELL

FREDERICK STEVENS ROCKWELL Mécanicien automobile, Citroën type C4 Campagne publicitaire non identifiée Sur papier épais, 22.5 x 16.5 cm, Numéro de négatif au verso : 75

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1914 LE ZEBRE TYPE A CHASSIS 1321 Carte Grise Française de collection Histoire intéressante Marque liée à Citroën Cette voiture légère est ce que le zèbre est au cheval, c’est-à-dire, une voiture robuste, quoique de proportions « réduites » ! Parmi les voitures françaises d’avant 1914, une des plus célèbres marques est la firme de Jules Salomon, « Le Zèbre ». Le cahier des charges est bien défini : simplicité, qualité, fiabilité, robustesse, économie. La voiturette Le Zèbre correspond bien à tout cela, elle a la juste réputation d’une voiture sans soucis. « Un mécanisme tellement simple qu’une panne est presque impossible et que n’importe qui peut l’entretenir en bon état. ». En ces débuts du XXème siècle, rouler en voiture reste réservé à une clientèle aisée, et les automobiles ne sont alors que de luxe ou de sport. Les clients fortunés achètent un châssis accompagné de son moteur, et le font habiller sur mesure par des grands noms de la carrosserie française, ou étrangère. L’ambition de Jules Salomon est alors de proposer une voiture accessible à tous ; il faut mettre sur le marché une petite automobile populaire et bon marché. À l’heure où tous les constructeurs ne juraient que par la surenchère, et où tous les superlatifs étaient de mise, le pari est risqué. En 1909, le Zèbre Type A est lancé et le succès est au rendez-vous. Avec ses deux petites places, ses 50 km/h en pointe, son mono cylindre de 650 cm3 et ses deux vitesses, on ne fait pas plus simple. La « Le Zèbre » Type A, à carrosserie rotonde deux places, monocylindrique, de la catégorie des 5cv, est l’une des premières automobiles populaires de l’Histoire, aussi bien par son coût d’achat, moins de 3000 francs, que son coût à l’usage : 4 centimes au kilomètre en essence, huile et pneus ! L’automobile a été restaurée intégralement en 1990, au sein des ateliers de Touraine, alors qu’elle appartenait à un négociant en vins de Bercy. Celui-ci la conservera une dizaine d’années, avant de la céder à un autre amateur qui l’entretiendra régulièrement. En 2020, l’automobile entre dans la collection muséale et restera à l’état statique. Une remise en route est à prévoir. 1914 THE ZEBRE TYPE A CHASSIS 1321 French collector's registration document Interesting history Make linked to Citroën This light car is what the zebra is to the horse, in other words, a robust car, albeit of ‘reduced’ proportions! One of the most famous brands of pre-1914 French cars was Jules Salomon's ‘Le Zèbre’. The specifications were well defined: simplicity, quality, reliability, robustness and economy. The Le Zèbre buggy was a perfect fit, with a reputation for being a carefree car. ‘A mechanism so simple that a breakdown is almost impossible and that anyone can maintain it in good condition’. At the beginning of the 20th century, driving a car was still the preserve of a wealthy clientele, and cars were only luxury or sports cars. Wealthy customers bought a chassis complete with engine, and had it custom-built by the great names in French or foreign bodywork. Jules Salomon's ambition was to offer a car that was accessible to everyone; he wanted to bring a small, popular and inexpensive car to the market. At a time when manufacturers were all about one-upmanship and superlatives were the order of the day, it was a risky gamble. In 1909, the Zebra Type A was launched, and it was a great success. With its two small seats, 50 km/h top speed, 650 cm3 single cylinder and two gears, it couldn't have been simpler. The ‘Le Zèbre’ Type A, with its two-seater, single-cylinder, round-bodied body in the 5hp category, was one of the first popular cars in history, both in terms of its purchase price, less than 3,000 francs, and its running costs: 4 centimes per kilometre for petrol, oil and tyres! The car was fully restored in 1990 in the Touraine workshops, when it belonged to a wine merchant in Bercy. He kept it for around ten years, before handing it over to another enthusiast who maintained it regularly. In 2020, the car will become part of our museum collection and will remain in a static state. It will need to be restarted.

1919 CITROËN TYPE A Numéro de série : 5427 Numéro de moteur : 12420 Carte grise française Rare Type A, première Citroën Seule Carrosserie Boulangère connue sur châssis court Restauration complète de haut niveau Au lendemain de la première guerre mondiale, André Citroën se lance dans l’industrie de l’automobile, avec une idée en tête : permettre à ce nouveau moyen de locomotion d’être accessible au plus grand nombre. Il veut démocratiser l’automobile ! Il se lancera donc dans la production grande série, pour pouvoir maitriser et négocier les coûts. La concrétisation de cette idée passe par la réalisation d’une petite voiture populaire. C’est l’ingénieur Jules Salomon qui en sera le concepteur, avec comme résultat une voiture simple à fabriquer, à utiliser et à entretenir, en réponse à la Ford T d’Henri Ford. La Type A en version Boulangère châssis court dégage une véritable élégance et, pierre angulaire du constructeur qui est en train de naître, elle est équipée d’un quatre-cylindres latéral de 1 327 cm3 développant 18 ch. Cette voiture va rencontrer un beau succès qui permettra à Citroën de la faire évoluer vers la B2 et les nombreux succès qu’on lui connait. La Citroën que nous vous présentons est la seule version Boulangère châssis court que nous connaissons. Il pourrait donc s’agir d’une voiture unique. Elle a bénéficié d’une restauration complète remarquable et est un pur plaisir pour les yeux. Son bleu électrique, sa capote beige et son intérieur noir dialogue parfaitement ensemble. Une chose est sûre, vous ne passerez pas inaperçu à son volant. Acquise par nos collectionneurs en 2021, la voiture a immédiatement intégré leur collection muséale. Restée à l’arrêt depuis de nombreuses années, elle sera à remettre en route. 1919 CITROËN TYPE A Serial number : 5427 Engine number: 12420 French registration Rare Type A, the first Citroën Only known Boulangère bodywork on a short chassis Fully restored to a high standard In the aftermath of the First World War, André Citroën launched the car industry with one idea in mind: to make this new means of locomotion accessible to as many people as possible. He wanted to democratise the car! He therefore launched into mass production, to be able to control and negotiate costs. To put this idea into practice, he had to produce a small, popular car. The engineer Jules Salomon designed it, resulting in a car that was simple to build, use and maintain, in response to Henri Ford's Ford T. The Boulangère short-chassis version of the Type A exuded elegance and, as the cornerstone of the new car manufacturer, was equipped with a 1,327 cm3 side-mounted four-cylinder engine developing 18 bhp. The car was a great success, and Citroën went on to develop it into the B2 and its many successes. The Citroën we are presenting here is the only short-chassis Boulangère version we know of. It could therefore be a unique car. It has benefited from a remarkable complete restoration and is a pure pleasure to behold. Its electric blue, beige soft top and black interior are a perfect match. One thing's for sure, you won't go unnoticed behind the wheel. Acquired by our collectors in 2021, the car immediately became part of their museum collection. Having been out of action for many years, it's time to get back on the road.

1952 Citroën 2CV Type A Châssis 29874 Carte Grise Française Rare Type A La deuche originelle Bon état général A remettre en route La Citroën 2CV aurait dû sortir en 1939 mais la seconde guerre mondiale obligera le constructeur français à différer la sortie de sa voiture très bon marché. Elle aura pour mission de mettre la France sur roues. Durant la guerre, Citroën continue le développement de son projet. Ce n’est qu’en 1948 que la 2CV est officiellement présentée au public et à la presse. Le public est dans un premier temps déboussolé. Rapidement la nouvelle petite populaire est surnommée « la boite à sardine ». Les caractéristiques sont simples : 4 portes,4 places, 60 km/h, 5 litres aux 100 km, 50 kg de bagages. Autre atout de la 2CV : son prix plancher de 185 000 francs alors que sa concurrente, la 4CV, est alors vendue 285 000 francs. La 2CV est si génialement conçue qu’elle en devient un succès commercial et fait désormais figure de mythe automobile. Cette 2 CV est une type A de 1952, châssis 29874. Nous avons pu retracer son histoire depuis 1953, année où elle est immatriculée dans l’Isère. Son propriétaire la conservera 46 ans, jusqu’à ce qu’elle soit vendue en 1998 au second propriétaire. Celui-ci la cèdera en 2017 à un amateur allemand. Ce dernier la restaurera (aucune facture) avant de la céder en 2020 à notre collectionneur. Il est rare de trouver une 2CV type A, avec un historique connu. Modèle Mythique, celle-ci attend un nouveau collectionneur pour reprendre la route. Acquise en 2020, la voiture a immédiatement intégré la collection muséale. Restée à l’arrêt depuis, elle sera à remettre en route. 1952 Citroën 2CV Type A Chassis number 29874 French registration document Rare Type A The original deuche Good condition To be put back on the road The Citroën 2CV should have been launched in 1939, but the Second World War forced the French manufacturer to postpone the launch of its very cheap car. Its mission was to put France on wheels. During the war, Citroën continued to develop its project. It was not until 1948 that the 2CV was officially presented to the public and the press. At first, the public was bewildered. The new popular little car was soon nicknamed the ‘sardine can’. The characteristics were simple: 4 doors, 4 seats, 60 km/h, 5 litres per 100 km, 50 kg of luggage. Another advantage of the 2CV was its low price of 185,000 francs, compared with 285,000 francs for its competitor, the 4CV. The 2CV was so ingeniously designed that it became a commercial success and is now a car legend. This 2CV is a 1952 type A, chassis 29874. We have been able to trace its history back to 1953, the year it was registered in Isère. This owner kept it for 46 years, until it was sold to the second owner in 1998. In 2017, he sold it to a German enthusiast. The latter restored it (no invoice) before selling it to our collector in 2020. It is rare to find a 2CV type A with a known history. A mythical model, this one is waiting for a new collector to get it back on the road. Acquired in 2020, the car immediately became part of the museum collection. Since then, it has remained at a standstill, and now needs to be put back on the road.

1969 CITROEN Type : Ami 6 N° série : 582651 Vendue avec photocopie de carte grise française 2 000 / 4 000€ La Citroën Ami 6 (populairement appelée la « 3 CV ») a été fabriquée de 1961 à 1969. L'objectif premier était de proposer à la clientèle un compromis entre deux modèles : la DS en haut de gamme, et la 2 CV en bas de gamme. Il en a dérivé une gamme de véhicules très populaires déclinée sous plusieurs formes. Les premières Citroën Ami construites sur la plateforme des 2 CV furent fabriquées provisoirement dans l'usine Panhard de l'avenue d'Ivry à Paris, puis très rapidement à Rennes-la-Janais (Ille-et-Vilaine) nouvellement créée et à Forest en Belgique. Elle est la voiture la plus vendue en France en 1966, prenant la première place à la Renault 4 (les versions 5 CV de celle-ci étant comptabilisées à part). L'Ami 6 innove sur le plan sociologique en se présentant sur les documents publicitaires comme la deuxième voiture idéale pour madame. Quant au nom « Ami », il serait né de l'association de l'appellation « AM », suite du projet M, du chiffre 6 correspondant à sa cylindrée et certains avancent l'hypothèse de la proximité avec le mot « amici » (« amis » en italien, langue natale de Flaminio Bertoni). En réalité, selon les archives Citroën, le « I » a été ajouté à l'appellation « AM » pour Automobile de Milieu de gamme. Mme Yvonne de Gaulle conduisait une berline Ami 6 de couleur blanc carrare. Le modèle présenté est une des toutes dernières fabriquées. Elle a appartenu de 1970 à 2005 à Madame Thérèse Blin, secrétaire médicale au Mans, avant d’être revendue aux enchères en 2020 à Monsieur Pottier pour compléter la collection. Un important dossier de factures sera remis à l’acquéreur. En 2020, l’automobile entre dans la collection muséale et restera à l’état statique. Une remise en route est à prévoir. 1969 CITROEN Type : Ami 6 Serial number : 582651 Sold with photocopy of French vehicle registration document The Citroën Ami 6 (popularly known as the ‘3 CV’) was produced from 1961 to 1969. The primary aim was to offer customers a compromise between two models: the top-of-the-range DS and the bottom-of-the-range 2 CV. The result was a range of very popular vehicles in a variety of forms. The first Citroën Ami cars, built on the 2CV platform, were produced temporarily at the Panhard plant on Avenue d'Ivry in Paris, then very quickly at the newly created Rennes-la-Janais plant (Ille-et-Vilaine) and at Forest in Belgium. It was the best-selling car in France in 1966, taking first place from the Renault 4 (the latter's 5 CV versions being counted separately). The Ami 6 broke new sociological ground by advertising itself as the ideal second car for women. As for the name ‘Ami’, it is thought to have come from the combination of the name ‘AM’, the continuation of the M project, and the number 6, which corresponds to its cubic capacity. Some people have suggested that it is close to the word ‘amici’ (‘friends’ in Italian, Flaminio Bertoni's native language). In fact, according to the Citroën archives, the ‘I’ was added to the name ‘AM’ for Automobile de Milieu de gamme. Mme Yvonne de Gaulle drove an Ami 6 saloon in carrara white. The model shown is one of the very last to be produced. From 1970 to 2005, it belonged to Madame Thérèse Blin, a medical secretary in Le Mans, before being sold at auction in 2020 to Mr Pottier to complete the collection. An extensive file of invoices will be given to the buyer. In 2020, the car will become part of the museum collection and will remain in a static state. A restart is planned.