1 / 14

Descrizione

Jean DUNAND (1877-1942) & François-Louis SCHMIED (1873-1941) « Caravelle dans les îles" Exceptionnel et rare panneau décoratif mural en bois à décor incisé sculpté façon Coromandel avec des rehauts de peinture polychrome et de laque. Il présente un décor d'une caravelle dans un entourage végétal composé de plantes aquatiques sur fond de mer bleue. Signé en bas à gauche du cachet « Jean Dunand » et en bas à droite « F-L Schmied » Cadre d'origine en laque brune arrachée. Vers 1930 140 x 138 cm Provenance : - Collection particulière, région bordelaise Bibliographie : - Vente aux enchères du 30 avril 1975, Maître Georges Pillias, page 12 du catalogue sous le numéro 1, une gouache à décor similaire titrée « Volez vers ces îles fortunées ». et page 27 sous le numéro 86 non illustré mais décrit, un panneau en laque de dimensions approchantes titré « Paysage » en laque de Coromandel exécuté en collaboration par Jean Dunand et François Louis Schmied. - Amélie et Felix Marcilhac, «Jean Dunand», Norma, Paris, 2020, pour des panneaux en laque de couleur gravés façon Coromandel par Jean Dunand et Schmied reproduits page 241 et page 242 et 243 sous le numéro 11 un panneau d'après un carton de Schmied. - Félix Marcilhac, « Jean Dunand, vie et œuvre », Thames & Hudson, Londres & Les Éditions de l'amateur, Paris, 1991, pour un paravent en laque à composition florale approchante référencé sous le n° 125 et reproduit p. 215

868 
Vai al lotto
<
>

Jean DUNAND (1877-1942) & François-Louis SCHMIED (1873-1941) « Caravelle dans les îles" Exceptionnel et rare panneau décoratif mural en bois à décor incisé sculpté façon Coromandel avec des rehauts de peinture polychrome et de laque. Il présente un décor d'une caravelle dans un entourage végétal composé de plantes aquatiques sur fond de mer bleue. Signé en bas à gauche du cachet « Jean Dunand » et en bas à droite « F-L Schmied » Cadre d'origine en laque brune arrachée. Vers 1930 140 x 138 cm Provenance : - Collection particulière, région bordelaise Bibliographie : - Vente aux enchères du 30 avril 1975, Maître Georges Pillias, page 12 du catalogue sous le numéro 1, une gouache à décor similaire titrée « Volez vers ces îles fortunées ». et page 27 sous le numéro 86 non illustré mais décrit, un panneau en laque de dimensions approchantes titré « Paysage » en laque de Coromandel exécuté en collaboration par Jean Dunand et François Louis Schmied. - Amélie et Felix Marcilhac, «Jean Dunand», Norma, Paris, 2020, pour des panneaux en laque de couleur gravés façon Coromandel par Jean Dunand et Schmied reproduits page 241 et page 242 et 243 sous le numéro 11 un panneau d'après un carton de Schmied. - Félix Marcilhac, « Jean Dunand, vie et œuvre », Thames & Hudson, Londres & Les Éditions de l'amateur, Paris, 1991, pour un paravent en laque à composition florale approchante référencé sous le n° 125 et reproduit p. 215

Stima 150 000 - 250 000 EUR

Escluse le commissioni di vendita.
Consulta le condizioni di vendita per calcolare l’importo delle spese.

Spese di vendita: 30.6 %
Fai un'offerta
Iscriversi all’asta

In vendita il domenica 11 ago : 15:30 (CEST)
biarritz, Francia
Biarritz Enchères
+33559242188
Visualizza il catalogo Consulta le CGV Informazioni sull’asta

Consegna a
Modifica dell'indirizzo
Transport Mauran
Maggiori informazioni
MBE BIARRITZ
Maggiori informazioni
Questa soluzione di spedizione è facoltativa..
Potete utilizzare un corriere di vostra scelta.
Il prezzo indicato non include il prezzo del lotto o le commissioni della casa d'aste.

Forse ti piacerebbe anche

Jean DUNAND (1877-1942) "Échassiers" dénommé aussi "Oiseaux" Rare paravent présentant quatre panneaux rectangulaires articulés en bois laqué à décor finement incisé rehaussé de polychromie sur fond doré à la feuille Signé en bas à droite "JEAN DUNAND" Modèle créé en 1933, pièce unique H : 180 L : 200 cm Provenance : Collection privée, sud de la France Bibliographie : "Jean Dunand", par Félix et Amélie Marcilhac, Norma Éditions, Paris, 2020, paravent documenté en noir et blanc page 212 sous le numéro 169. Exposition : Galerie Georges Petit à Paris, 1933, n7 Note : On connaît un projet de gouache sur papier de paravent à quatre feuilles à décor quasi identique au nôtre, titré La nichée et datant de 1933-1935. Celui-ci avait été réalisé pour un projet de paravent commandé par Valentine Brun et non réalisé semble t'il. Jean DUNAND Né en 1877 en Suisse, celui qui deviendra Jean Dunand, en francisant son prénom, se spécialise dans le travail du métal à l'École des Arts Industriels de Genève dès l'âge de 14 ans. Diplôme en poche, il s'installe à Paris en 1897, travaillant comme ouvrier ciseleur tout en étudiant à l'École Nationale des Arts Décoratifs dans l'atelier du sculpteur Jean Dampt. Son initiation aux subtilités de la dinanderie auprès d'un artisan chaudronnier genevois lors de ses vacances en Suisse, ainsi que son engagement pour l'Association des Artistes Suisses à Paris qu'il fonde en 1899, témoignent de son lien profond avec son pays natal. En 1900, Dunand reçoit une médaille d'or à l'Exposition Universelle de Paris pour une sculpture. Sa première exposition de dinanderies au Salon de la Société nationale des Beaux-Arts en 1904 le pousse à s'orienter définitivement vers les arts décoratifs. Résolu à produire des pièces uniques, il délaisse les procédés de tournage et d'estampage au profit du martelage et de la ciselure manuelle, intégrant des incrustations d'or ou d'argent, des patines, des laques ou des émaux. Après un premier succès international à l'Exposition internationale de Milan en 1906, Dunand découvre les bronzes chinois et japonais, influençant son style vers une ornementation plus réaliste. En 1912, il approfondit sa connaissance de la laque auprès du maître japonais Seizo Sugawara, technique qui deviendra centrale dans son oeuvre. Bien que la Grande Guerre interrompe son activité, il reste en France, s'engageant comme conducteur d'ambulance et imaginant un casque de combat pour les soldats français. Après la guerre, Dunand se consacre intensément à la laque, technique qui le fascine, et réalise des oeuvres qui intègrent métal et laque. Son travail attire l'attention lors de l'Exposition internationale des Arts Décoratifs et industriels modernes de 1925 où il est consacré comme un maître de la laque et du métal. Dans les années 1930, il réalise des commandes prestigieuses, notamment pour les paquebots l'Atlantique et le Normandie. Collaborant avec son fils Bernard, Jean Dunand continue de perfectionner son art jusqu'à sa mort en 1942. Son travail, alliant technicité et créativité, fait de lui une icône des Arts Décoratifs, symbolisant l'esprit des Années Folles.