ALEXANDRE TRAUNER (1906-1993) La Boucherie Cossonnet (premiers repérages dans Pa…
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ALEXANDRE TRAUNER (1906-1993)

La Boucherie Cossonnet (premiers repérages dans Paris), vers 1932 4 épreuves argentiques d'époque sur papier épais (cartoline), 13x18cm, annotations au crayon et tampons sur 3 versos. (4) Après ses études à l'université des Beaux-Arts de Budapest, Trauner fonde avec ses amis un groupe de jeunes peintres d'avant garde, mais devant la montée du régime fasciste de Horty, il décide de s'installer à Paris en 1929, il a vingt-trois ans. Il est rapidement embauché par le studio Tobis comme peintre de décors, achète son premier Leica et part en repérage pour A nous la liberté et Ciboulette de Claude Autant-Lara. Il devient le collaborateur du grand décorateur Lazare Meerson qui conçoit les décors des films de René Clair. C'est aussi l'époque de sa première rencontre avec les frères Prévert qui fréquentent les mêmes studios, le début de leur amitié et de leur collaboration autour des films de Marcel Carné. A Montparnasse, il fréquente des artistes Hongrois et en particulier des photographes dont André Kertesz et Brassaï qui travaille comme journaliste et qui commence la photographie. Il entretiendra avec Brassaï des relations d'amitié et des collaborations professionnelles pour le cinéma. Il en sera de même avec Pierre Verger qui rapportera de Chine de nombreux tirages pour le film Mollenard. Trauner croise de nombreux photographes devenus célèbres, Henri Cartier-Bresson, Jacques Henri Lartigue, Martin Munkácsi et Inge Morath. Robert Doisneau, ami également de Jacques Prévert, participe aux premières expositions de ses photographies en 1986. Trauner est en repérage permanent, pour ses projets de décors mais aussi pour lui-même. A la fin du tournage d'une longue rétrospective de son travail, la réalisatrice Tery Wehn-Damisch lui demande quelques mots en conclusion de sa carrière internationale de décorateur, il répond: «Vive la photographie !» "Les photographies d'Alexandre Trauner sont dépouillées de toutes astuces roublardes. I

ALEXANDRE TRAUNER (1906-1993)

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Alfred Boucher (1850-1934) La giovinezza 1900 circa Marmo di Carrara Firmato "A. BOUCHER" sulla spalla destra H. 64,6 cm Realizzato intorno al 1900, questo busto intitolato La Jeunesse (La Giovinezza) fa parte di una serie di graziosi soggetti femminili di Alfred Boucher, tra cui Volubilis, La Baigneuse (La Bagnante) e Le rêve (Il Sogno). Boucher acquisisce molto presto la padronanza tecnica di Joseph Marius Ramus, che riconosce le predisposizioni artistiche del giovane e lo presenta allo scultore Paul Dubois. Con Dubois e all'École des Beaux-Arts, Alfred Boucher sviluppa il gusto per l'idealizzazione del corpo femminile. Mentre Dubois, capofila dei "fiorentini", trovò nel Quattrocento un punto di partenza per la creazione delle sue figure, Boucher si affrancò dal suo maestro traendo dal manierismo un'esaltazione più potente del corpo femminile. Boucher risponde così al gusto ottocentesco per le figure idealizzate, voluttuose, delicate, di sensuale innocenza, e allo stesso tempo rinnova quest'arte ispirandosi al Rinascimento italiano e al manierismo bellifontano. La nostra opera è la versione nuda dei due marmi elencati per questo modello; l'altro, conservato nel museo di Nogent-sur-Seine, è ornato da un drappo che cade dalla spalla sinistra, nascondendo il petto, e da un piedistallo quadrato. Opere correlate : Alfred Boucher, La Jeunesse, 1900 circa, marmo, H. 65 x L. 35 x P. 23 cm, firmato "A. Boucher" sotto la spalla destra, Nogent-sur-Seine, Musée Paul Dubois-Alfred Boucher, inv. 1993.3. Letteratura correlata : Jacques Piette, Alfred Boucher 1850-1934, l'œuvre sculpté, catalogue raisonné, Paris, Mare & Martin, 2014, modello indicato con il n. PB73, p. 325.