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Description

EMILIO FERRER CABRERA (Cullera, Valence, 1888 - 1962). "Maja madrileña", 1940 Huile sur panneau doré. Elle présente des défauts sur la surface picturale. Signée et datée en bas à droite. Dimensions : 207 x 114 cm. Ce portrait s'inscrit dans le régionalisme de l'héritage romantique développé en Espagne, et en particulier dans l'école de Madrid, durant la seconde moitié du XIXe siècle et le début du XXe siècle. Ainsi, si la composition et l'attention portée à la captation psychologique sont typiques d'un portrait, le peintre porte une attention particulière aux détails vestimentaires, typiquement régionalistes. Peintre spécialisé dans les scènes de genre valenciennes, Emilio Ferrer Cabrera s'est également attaqué avec maestria à la peinture de paysage. Formé à l'Académie des beaux-arts de San Carlos à Valence, il complète sa formation en travaillant avec José Mongrell. En 1913, il obtient une bourse pour poursuivre ses études à Paris et à Rome. Au cours des années suivantes, Ferrer expose ses œuvres à Valence, Madrid et Barcelone, et participe en 1920 et 1922 à l'Exposition nationale des beaux-arts. Entre la fin de 1927 et le début de 1928, il se rend à Buenos Aires, où il expose également sa peinture. Il publie ses œuvres dans des revues de l'époque, comme "La Esfera", et en 1931, il organise une importante exposition à la Societat Musical Santa Cecilia de Cullera, où plusieurs de ses œuvres sont vendues à des collectionneurs britanniques et américains. Il réalise également plusieurs illustrations éditoriales, comme celles des traductions espagnoles des contes de l'écrivaine catalane Caterina Albert i Paradís, sous le pseudonyme de Víctor Català, publiées entre 1928 et 1929. En 1935, il s'installe à Ceuta, où il occupe un poste d'enseignant à l'Institut hispano-marocain, où il est surpris par la guerre civile. Il se consacre d'abord au portrait, puis à la photographie, bien qu'après la guerre il revienne progressivement à la peinture. En 1988, à l'occasion du centenaire de sa naissance, plusieurs célébrations lui ont été consacrées à Cullera. Il est actuellement représenté au musée des beaux-arts de Valence.

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EMILIO FERRER CABRERA (Cullera, Valence, 1888 - 1962). "Maja madrileña", 1940 Huile sur panneau doré. Elle présente des défauts sur la surface picturale. Signée et datée en bas à droite. Dimensions : 207 x 114 cm. Ce portrait s'inscrit dans le régionalisme de l'héritage romantique développé en Espagne, et en particulier dans l'école de Madrid, durant la seconde moitié du XIXe siècle et le début du XXe siècle. Ainsi, si la composition et l'attention portée à la captation psychologique sont typiques d'un portrait, le peintre porte une attention particulière aux détails vestimentaires, typiquement régionalistes. Peintre spécialisé dans les scènes de genre valenciennes, Emilio Ferrer Cabrera s'est également attaqué avec maestria à la peinture de paysage. Formé à l'Académie des beaux-arts de San Carlos à Valence, il complète sa formation en travaillant avec José Mongrell. En 1913, il obtient une bourse pour poursuivre ses études à Paris et à Rome. Au cours des années suivantes, Ferrer expose ses œuvres à Valence, Madrid et Barcelone, et participe en 1920 et 1922 à l'Exposition nationale des beaux-arts. Entre la fin de 1927 et le début de 1928, il se rend à Buenos Aires, où il expose également sa peinture. Il publie ses œuvres dans des revues de l'époque, comme "La Esfera", et en 1931, il organise une importante exposition à la Societat Musical Santa Cecilia de Cullera, où plusieurs de ses œuvres sont vendues à des collectionneurs britanniques et américains. Il réalise également plusieurs illustrations éditoriales, comme celles des traductions espagnoles des contes de l'écrivaine catalane Caterina Albert i Paradís, sous le pseudonyme de Víctor Català, publiées entre 1928 et 1929. En 1935, il s'installe à Ceuta, où il occupe un poste d'enseignant à l'Institut hispano-marocain, où il est surpris par la guerre civile. Il se consacre d'abord au portrait, puis à la photographie, bien qu'après la guerre il revienne progressivement à la peinture. En 1988, à l'occasion du centenaire de sa naissance, plusieurs célébrations lui ont été consacrées à Cullera. Il est actuellement représenté au musée des beaux-arts de Valence.

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