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Descripción

Livre de prières pour le voyage Bouclier spirituel contre les dangers spirituels et corporels à porter toujours avec soi, contenant des bénédictions et des prières très pertinentes [...], Mayence 1647, non paginé, relié "Ein schöne und wol approbirter H. Segen zu Wasser und Land wider alle seinen Feinde so begegnen ihm auf allen seinen Wege und Stegen", o.J., Prague, en outre "Geistliche Schild-Wacht, darinnen einer alle Stunnd besonderern Patron erwehlen kann", Custoilia Angeli avec de belles figures imprimées, format 12°, reliure en cuir de l'époque avec de fines couvertures en bois, dans le texte plusieurs illustrations gravées sur bois, dos avec manques, bloc d'ouvrage desserré, traces d'âge et d'étude.

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Livre de prières pour le voyage Bouclier spirituel contre les dangers spirituels et corporels à porter toujours avec soi, contenant des bénédictions et des prières très pertinentes [...], Mayence 1647, non paginé, relié "Ein schöne und wol approbirter H. Segen zu Wasser und Land wider alle seinen Feinde so begegnen ihm auf allen seinen Wege und Stegen", o.J., Prague, en outre "Geistliche Schild-Wacht, darinnen einer alle Stunnd besonderern Patron erwehlen kann", Custoilia Angeli avec de belles figures imprimées, format 12°, reliure en cuir de l'époque avec de fines couvertures en bois, dans le texte plusieurs illustrations gravées sur bois, dos avec manques, bloc d'ouvrage desserré, traces d'âge et d'étude.

Valoración 80 - 120 EUR
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JUAN ANTONIO FRÍAS Y ESCALANTE Cordoue, 1633 - Madrid, 1669). "Saint-Michel l'archange terrassant le diable". Huile sur toile. Relié. Nous remercions le Dr. Alvaro Pascual Chenel, pour son aide à confirmer la paternité du maître. Cadre du début du vingtième siècle. Dimensions : 82 x 56 cm ; 95 x 69 cm (cadre). Álvaro Pascual Chenel est titulaire d'un doctorat en histoire de l'art de l'université de Bologne et d'un doctorat en histoire de l'université d'Alcalá de Henares. Ses recherches portent principalement sur l'image du pouvoir dans l'art espagnol de l'époque moderne. Il a publié de nombreuses études, comme l'article sur Juan Antonio Frías y Escalante. Cette toile représente saint Michel terrassant le diable, debout sur son corps, l'épée à la main, dans un scénario peu défini, mais que l'on devine terrestre grâce aux nuages entrevus et à l'orographie de la zone inférieure. La composition est dynamique et scénographique, et suit un modèle très fréquent dans le baroque, avec le saint en tenue de soldat romain, le corps entier, occupant la majeure partie de la surface picturale. Selon la tradition, saint Michel est le chef de la milice céleste et le défenseur de l'Église. C'est précisément pour cette raison qu'il lutte contre les anges rebelles et le dragon de l'Apocalypse. Il est également psychopompe, c'est-à-dire qu'il conduit les morts et pèse les âmes le jour du Jugement dernier. Les spécialistes ont rapproché son culte de celui de plusieurs dieux de l'Antiquité : Anubis dans la mythologie égyptienne, Hermès et Mercure dans la mythologie classique, et Wotan dans la mythologie nordique. En Occident, le culte de saint Michel s'est développé à partir des Ve et VIe siècles, d'abord en Italie et en France, puis en Allemagne et dans le reste de la chrétienté. Les églises et chapelles qui lui sont dédiées sont innombrables autour de l'an 1000, en lien avec la croyance que l'Apocalypse arriverait à cette date. Ses temples sont souvent situés sur des lieux élevés, puisqu'il s'agit d'un saint céleste. Les rois de France lui ont accordé une vénération particulière à partir du XIVe siècle, et la Contre-Réforme a fait de lui le chef de l'Église contre l'hérésie protestante, donnant un nouvel élan à son culte. Saint Michel Archange est un saint militaire, donc patron des chevaliers et de tous les métiers liés aux armes, ainsi que de la balance, pour son rôle de juge apocalyptique. Son iconographie est d'une richesse considérable, mais relativement stable. En règle générale, il apparaît en tenue de soldat ou de chevalier, tenant une lance ou une épée et un bouclier, généralement orné d'une croix, bien qu'ici il porte la légende "QVDOS". Lorsqu'il combat le dragon, il le fait à pied ou dans les airs, ce qui le distingue de Saint-Georges, qui est presque toujours à cheval. Cependant, la grande différence entre les deux saints réside dans les ailes de saint Michel. Membre de ce que l'on appelle la "génération tronquée", Antonio Frías y Escalante était un disciple de Francisco Rizzi, avec qui il a travaillé dès son plus jeune âge. La brièveté de sa vie l'a empêché de développer une maturité artistique laissant présager de grandes réalisations, comme l'attendaient ses contemporains, mais dès le début, ses œuvres témoignent de son admiration pour Venise, en particulier pour Tintoret et Véronèse. Ainsi, ses disciples retiendront de lui sa gamme chromatique caractéristique et personnelle, centrée sur les couleurs froides, une palette très raffinée de roses, de bleus, de gris et de mauves, que l'on retrouve en partie dans cette toile, notamment dans les tissus et les fleurs qui entourent la composition, bien qu'ici les tons froids soient contrebalancés par la chaleur des ors et des carmins. La touche légère, délicate, presque transparente, dans laquelle se manifeste l'exemple du Titien, est également typique d'Escalante.

Coutellerie Renoux Le Nautilys Pièce entièrement réalisée à la main. Couteau fermant à languette bloquante (liner lock). Dimension du manche : 11,3 cm / Dimension de la lame : 9 cm Manche en Buis Charentais stabilisé finement poli à la main et monté sur fibre. Platine en acier inoxydable trempé X 20 C 13 / Lame satinée en 12C27 Sandvik cryogénisé ; dureté de la lame : 59 / 60 HRC (ce qui confère une coupe hors du commun au couteau). Le parcours de Pascal RENOUX est unique et mêle compétences multiples, rigueur et excellence. Son savoir-faire se retrouve dans chacune de ses œuvres. Chaque monde qu’il a exploré, armurerie, joaillerie, forge et coutellerie, lui permet de transposer à l’infini et de donner vie à des créations hors du commun. Pascal RENOUX aime que chacune de ses créations soit en accord avec ses exigences : précision, délié mécanique et pureté des lignes. Chaque détail est minutieusement contrôlé, observé, pour atteindre l’excellence. Une intention est portée dans chaque création croyant à l’alchimie des matières et à celle qui existe entre vous et les objets. Ce passionné a été sacré meilleur ouvrier de France en 2018 pour son savoir-faire d’exception. Le Nautilys : Reflet de l’histoire Royale des deux Charentes. Ce modèle a été créé par Pascal RENOUX en 2009 en hommage à la route des tonneaux et des canons. Son manche évoque par sa silhouette les gabarres traditionnelles qui convoyaient sur le fleuve Charente les canons d’Angoulême (16) à Rochefort / Mer (17). Sa lame aux lignes épurées et tendues rappelle le design des bateaux d’exception. Le guillochage fait à la lime sur le dos de la lame reflète les variations et les ondes miroirs à la surface de l’eau. Les vis de montage du manche sont guillochées en éclat de brillant. Sa qualité mécanique par sa fluidité et sa précision vous séduira au 1er « clic » de fonctionnement. Le montage sur entretoises permet l’ajouré total du corps de couteau facilitant son entretien et son nettoyage. La fluidité mécanique est garantie par des rondelles de bronze ajustées et une bille de rappel anti-friction. La lame marquée du «R» couronnée dans son écu garantit un authentique couteau RENOUX. Ce couteau est une pièce d’excellence créée par Pascal RENOUX, Meilleur Ouvrier de France.

Ludwig van Beethoven Lettre autographe signée au beau-frère de la pianiste Marie Pachler Rare ALS en allemand, signée "Beethoven", 4,5 x 7,75, 22 avril 1816. Lettre manuscrite à Anton Pachler, en partie (traduite) : "Vous pouvez me rendre un grand service aujourd'hui en m'accompagnant dans l'après-midi à l'Alsergasse, où aura lieu l'évaluation de la maison. Je vous prie de bien vouloir m'indiquer par écrit où je pourrai venir vous chercher vers 14 heures 30 cet après-midi. Je ne me sens pas encore très bien, sinon je vous aurais déjà rendu visite depuis longtemps". En très bon état, avec des plis et deux zones de perte de papier sur le feuillet d'adresse intégral qui n'ont pas d'effet sur la lettre elle-même. Accompagnée d'un portrait de type carte de visite du compositeur, d'un bordereau d'identification contemporain et d'un certificat d'exportation du ministère français de la Culture. Le destinataire de la lettre, le juriste Anton Pachler, était le frère aîné de l'avocat de Graz, le Dr Carl Pachler. L'épouse de ce dernier, Marie Leopoldine Pachler (1794-1855), née Koschat, sera particulièrement appréciée par Beethoven comme interprète de ses compositions pour piano [cf. Theodor v. Frimmel, Beethoven-Handbuch, Vol. II, Leipzig 1926]. Marie Pachler était notamment une amie proche de Franz Schubert ; Schubert lui a dédié sa chanson "An Sylvia" et elle s'est produite avec Schubert lors d'un concert de charité organisé en 1827 par l'Association musicale de Graz. En avril 1816, Beethoven a habité "Auf der Seilerstädt" C. No. 1055/56 dans la maison du comte Lambert. La résidence a été documentée pour la première fois le 15 mai 1816 par Charles Neate [Rudolf Klein, Beethovenstätten in Österreich, Vienne 1970, p. 89] ; selon Smolle [Kurt Smolle, Wohnstätten Ludwig van Beethovens von 1792 bis zu seinem Tode, Munich/Duisburg 1970, p. 50], Beethoven s'y est installé après le 21 mars 1815, mais n'y a peut-être vécu qu'à partir de l'automne 1815 [Klein, Beethovenstätten, p. 90]. En dehors des séjours d'été à Baden, le maître y est resté jusqu'à la fin avril 1817. Le 4 avril, il écrivit le canon à deux voix 'Ars longa, vita brevis' (WoO 170) pour le départ de Johann Nepomuk Hummel, et au cours du même mois, il acheva le cycle de chants 'An die ferne Geliebte' op. 98. Beethoven était en mauvaise santé à cette époque, un fait qu'il reconnaît dans cette lettre et dans d'autres. J'étais souffrant depuis un certain temps", écrit-il à Ferdinand Ries le 28 février, "la mort de mon frère [le 15 novembre 1815] a affecté mon esprit et mes œuvres" [KK, p. 350]. Le 2 février, en tant que tuteur de son neveu Karl, il le place dans l'institution éducative Giannatasio del Rio. Dans les semaines qui suivent, il est en proie à de violentes coliques, mais sa santé semble s'améliorer à nouveau en mai. On ne sait pas pourquoi Beethoven s'est particulièrement intéressé à l'évaluation de la maison d'Alservorstadt le 16 avril, où il avait trouvé sa première résidence viennoise en novembre 1792, au numéro 45 de l'Alsergasse (alors appelée Alstergasse). D'après une note de son journal, il semblait envisager à l'époque d'acheter une maison dans la banlieue : "Pour vivre et subvenir à ses besoins, une maison dans la banlieue, rien ne va avec Karl à la campagne" [Ludwig van Beethoven, Bericht der Zeitgenossen, édité par Albert Leitzmann, Leipzig 1921, Vol. II, p. 258, n° 98]. Cependant, Beethoven ne déménagea qu'environ un an plus tard, de la Sailerstätte à la Gärnergasse dans la banlieue de Landstrasse [Smolle, Wohnstätten, p. 50].