1 / 5

Beschreibung

W. GREBNER (*1784) after BREE (*1786), Duke of Brunswick-Oels on his deathbed, around 1815, Crayon m Willem Grebner (1784 Vreeland (Utrecht) - 1866 Amsterdam) d'après Philippe Jacques van Bree (1786 - 1871 ibid.) : Le duc Friedrich Wilhelm de Brunswick-Oels sur son lit de mort, vers 1815, manière Crayon Technique : Crayon sur papier Inscription : Inscrit et signé en bas : "M. J. van Brée Pinxt. Wm. Grebner. Sculpt." et inscrit : "Friedrich Wilhelm, Regierender Herzog von Braunschweig-Lüneburg und Oels ; bleibt auf den Höhen von Genappe am 16ten Junius 1815. an der Spitze seiner Braunschweiger, im 42ste. Année de son âge". Date : c. 1815 Description : Le village de Genappe se trouve sur la route directe des Quatre-Bras au champ de bataille de Waterloo. Un violent combat d'arrière-garde s'y déroula entre les Alliés en retraite vers Wellington et les troupes napoléoniennes victorieuses à Quatre-Bras, au cours duquel Frédéric-Guillaume fut mortellement blessé. Depuis 1809, le duc mettait sur pied le Corps noir, qui devait lui rendre son héritage de Brunswick, perdu au profit de l'État modèle de Westphalie de Jérôme Napoléon. L'impressionnante gravure au crayon de Willem Grebner reproduit un tableau perdu du peintre d'histoire anversois van Bree, qui fut mandaté par l'Empire napoléonien à partir de 1801, mais qui, à partir de 1814, se consacra à la glorification de la Maison d'Orange. Le blanc lumineux des yeux encore ouverts du mort est frappant. L'utilisation par Grebner de la technique du crayon, qui permet des nuances soyeuses ainsi qu'un fort clair-obscur, confère à la composition classique une certaine intimité. La composition et le motif rappellent la Mort de Marat de David, mais au service d'un culte du héros réparateur, l'iconographie du Christ mort est ici encore plus fortement invoquée par le biais de la blessure latérale visible. Mots-clés : Allemagne, Waterloo, noblesse, mort, mourant, Waterloo, Napoléon, Wellington, imprimerie, militaire, guerre, 19e siècle, romantisme, peuple, Taille : Papier : 47,6 cm x 44,8 cm (18,7 x 17,6 in), Plaque : 38,6 cm x 37,6 cm (15,2 x 14,8 in), Représentation : 31,0 cm x 37,5 cm (12,2 x 14,8 in)

130 
Online
läuft
Los anzeigen
<
>

W. GREBNER (*1784) after BREE (*1786), Duke of Brunswick-Oels on his deathbed, around 1815, Crayon m Willem Grebner (1784 Vreeland (Utrecht) - 1866 Amsterdam) d'après Philippe Jacques van Bree (1786 - 1871 ibid.) : Le duc Friedrich Wilhelm de Brunswick-Oels sur son lit de mort, vers 1815, manière Crayon Technique : Crayon sur papier Inscription : Inscrit et signé en bas : "M. J. van Brée Pinxt. Wm. Grebner. Sculpt." et inscrit : "Friedrich Wilhelm, Regierender Herzog von Braunschweig-Lüneburg und Oels ; bleibt auf den Höhen von Genappe am 16ten Junius 1815. an der Spitze seiner Braunschweiger, im 42ste. Année de son âge". Date : c. 1815 Description : Le village de Genappe se trouve sur la route directe des Quatre-Bras au champ de bataille de Waterloo. Un violent combat d'arrière-garde s'y déroula entre les Alliés en retraite vers Wellington et les troupes napoléoniennes victorieuses à Quatre-Bras, au cours duquel Frédéric-Guillaume fut mortellement blessé. Depuis 1809, le duc mettait sur pied le Corps noir, qui devait lui rendre son héritage de Brunswick, perdu au profit de l'État modèle de Westphalie de Jérôme Napoléon. L'impressionnante gravure au crayon de Willem Grebner reproduit un tableau perdu du peintre d'histoire anversois van Bree, qui fut mandaté par l'Empire napoléonien à partir de 1801, mais qui, à partir de 1814, se consacra à la glorification de la Maison d'Orange. Le blanc lumineux des yeux encore ouverts du mort est frappant. L'utilisation par Grebner de la technique du crayon, qui permet des nuances soyeuses ainsi qu'un fort clair-obscur, confère à la composition classique une certaine intimité. La composition et le motif rappellent la Mort de Marat de David, mais au service d'un culte du héros réparateur, l'iconographie du Christ mort est ici encore plus fortement invoquée par le biais de la blessure latérale visible. Mots-clés : Allemagne, Waterloo, noblesse, mort, mourant, Waterloo, Napoléon, Wellington, imprimerie, militaire, guerre, 19e siècle, romantisme, peuple, Taille : Papier : 47,6 cm x 44,8 cm (18,7 x 17,6 in), Plaque : 38,6 cm x 37,6 cm (15,2 x 14,8 in), Représentation : 31,0 cm x 37,5 cm (12,2 x 14,8 in)

Tiempo restante
Valoración 1 200 - 1 600 EUR
Precio de salida  800 EUR

* Gastos de venta no incluidos.
Consulte las condiciones de venta para calcular el precio de los gastos.

Gastos de venta: 25 %
Pujar

Cierre de la subasta el
samedi 20 juil. - 13:00 (CEST)
frankfurt, Alemania
H. W. Fichter Kunsthandel
+496974389030
Ver el catálogo Consultar las CGV Información sobre la subasta

Entrega en
Cambiar dirección
H.W.Fichter Kunsthandel
Más información
Esta solución de entrega es opcional..
Puede recurrir al transportista de su elección.
El precio indicado no incluye el precio del lote ni los gastos de la subasta.

Podría interesarle

H. AUBRY-LECOMTE (*1787) after HERSENT (*1777), The children of the Duke of Berry, 1822, Lithograph Hyacinthe-Louis-Victor-Jean-Baptiste Aubry-Lecomte (1787 Nice - 1858 Paris) d'après Louis Hersent (1777 Paris - 1860 ibid.) : Les enfants du duc de Berry, 1822, lithographie Technique : Lithographie sur papier de Chine, roulée sur Papier Inscription : Dans la partie inférieure, signée dans la plaque d'impression : "Hersent pinx. - Bonnemaison direxit - Aubry-Lecomte delineavit 1822". Dans la partie inférieure, une autre inscription : "S. A. R. Mgr le Duc de Bordeaux - S. A. R. Mademoiselle - Imp. lith. de Villain". Date : 1822 1822 Description : Louise Marie Thérèse Louise Marie Thérèse est debout sur une petite chaise et tient la main de son frère Henri d'Artois, Duc de Bordeaux. L'importance politique du tableau en tant que portrait d'un souverain est due à l'absence du véritable régent. Le père des deux enfants, Charles-Ferdinand d'Artois, duc de Berry, a été assassiné sept mois avant la naissance d'Henri par Pierre Louis Louvel, sellier des écuries royales, le 13 février 1820 devant l'Opéra de Paris. Par cet assassinat, Louvel voulait mettre fin à la domination des Bourbons en France, mais il a créé un martyr qui symbolise désormais la Restauration en France. Son successeur posthume, Henri d'Artois, l'enfant du miracle, devint le successeur de Charles X après son abdication à la suite de la révolution de juillet, bien qu'il n'ait pas pu rester en France. Après la mort de Charles X, Henri fut à nouveau proclamé roi légitime de France par les loyalistes des Bourbons et, après 1848 et 1870, il devait remonter sur le trône sous le nom d'Henri V, mais ce fut un échec. La représentation graphique magistrale de l'Infante présentée ici est donc particulièrement intéressante parce qu'elle célèbre la poursuite du règne après l'assassinat du duc de Berry. La comparaison avec l'enfant Jésus dans l'étable s'impose d'elle-même et le regard fixe préfigure une prétention au pouvoir qui doit être honorée. Le peintre Louise Hersent (1777 Paris - 1860 ibid.) a étudié avec Jean-Baptiste Regnault et est devenu un célèbre portraitiste et peintre d'histoire. Membre de l'Institut de France, il est nommé professeur à l'École des Beaux-Arts. Mots-clés : Enfants, Genre, Bourdeaux, Bourbon, France, Intérieur, Famille, Révolution, XIXe siècle, Biedermeier, Portraits, France, Taille : Papier : 43,1 cm x 31,7 cm (17 x 12,5 in), Plaque : 32,8 cm x 26,7 cm (12,9 x 10,5 in)