1 / 4

Descripción

Sibylle Cumia - Venise, École italienne de la fin du XVIIe siècle Avec cadre en corne d'abondance de l'époque. Huile sur toile : 76 x 55 cm, dimensions du cadre extérieur : 90 x 66 cm

Traducido automáticamente por DeepL.
Para ver la versión original, haga clic aquí.

747 
Ir al lote
<
>

Sibylle Cumia - Venise, École italienne de la fin du XVIIe siècle Avec cadre en corne d'abondance de l'époque. Huile sur toile : 76 x 55 cm, dimensions du cadre extérieur : 90 x 66 cm

Valoración 5 000 - 6 000 EUR
Precio de salida 1 900 EUR

* Gastos de venta no incluidos.
Consulte las condiciones de venta para calcular el precio de los gastos.

Gastos de venta: 26.62 %
Dejar una orden
Inscribirse en la subasta

Subasta el jeudi 18 juil. : 16:30 (CEST)
barcelona, España
Templum Fine art Auction
+34935643445
Ver el catálogo Consultar las CGV Información sobre la subasta

Entrega en
Cambiar dirección
Esta solución de entrega es opcional..
Puede recurrir al transportista de su elección.
El precio indicado no incluye el precio del lote ni los gastos de la subasta.

Podría interesarle

École italienne ; XVIIe siècle. "Sibylle". Huile sur toile. Relié. Dimensions : 61 x 47 cm ; 79 x 65 cm (cadre). Au sein de l'école italienne, il était courant, dès la Renaissance, de représenter les sibylles dans des compositions similaires à celles du portrait contemporain, sous la forme de dames richement vêtues selon la mode de l'époque. En fait, on connaît des exemples d'œuvres dans lesquelles d'importantes aristocrates sont représentées comme des sibylles, tant en Italie que dans d'autres pays. Dans cette peinture de l'époque baroque, il convient d'accorder une attention particulière à la représentation de la somptueuse tenue vestimentaire avec des broches en or et en perles. Les yeux en amande traduisent la mélancolie. Le rouge des joues s'harmonise avec le carmin des lèvres joliment dessinées. Dans la mythologie grecque antique, la sibylle était une prophétesse, parfois inspirée par Apollon, dont les pouvoirs étaient d'origine divine. Cependant, le nombre de ces femmes est rapidement passé de trois à douze, dans tous les cas sans connaître leurs noms, mais en les connaissant seulement par le nom du lieu où elles vivaient. C'est la Renaissance qui a relancé cette figure, les considérant comme des annonciatrices du Christ dans la tradition païenne afin de la valoriser et de la "christianiser". De toutes les œuvres où ils apparaissent, la plus connue est sans doute la voûte de la chapelle Sixtine de Michel-Ange, qui montre les cinq plus représentatives de l'époque (Érythrée, Perse, Libyque, Cumes et Delphes).