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Beschreibung

4 correspondances à Amélie Ledure ou sa mère, notamment à Mondorff (Luxembourg, frontière avec la France). Signées Elisa Gilquin, Bertrand, Josephine Reulinger et Antoinette de B. 1842-1850. Amélie Ledure était la fille du notaire de Mondorff. Son père est à l'origine des cures de Mondorf les Bains et Amélie en fut la première curiste.

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4 correspondances à Amélie Ledure ou sa mère, notamment à Mondorff (Luxembourg, frontière avec la France). Signées Elisa Gilquin, Bertrand, Josephine Reulinger et Antoinette de B. 1842-1850. Amélie Ledure était la fille du notaire de Mondorff. Son père est à l'origine des cures de Mondorf les Bains et Amélie en fut la première curiste.

Schätzwert 10 - 20 EUR

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In der Auktion am mercredi 11 sept. : 10:00 (MESZ)
joue-les-tours, Frankreich
Hôtel des ventes Giraudeau
+33247377171
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OISE – Vineuil-Saint-Firmin – JEAN-BERNARD (Jean-Bernard Passerieu dit, 1857-1936, écrivain et journaliste républicain et dreyfusard, ami de Zola et Rodin, il forma avec son épouse la journaliste féministe Marie-Louise Néron un couple très en vue et influent dans le Milieu parisien) / Importante correspondance de 36 lettres autographes signées, 3 cartes autographes signées, et une carte de visite autographe signée, totalisant 14 p in-4, 30 p in-8 et 4 p in-12, très nombreuses en-têtes («La Presse Associée», «l’Indépendance belge», «Comité républicain radical socialiste», «Journal de Dimanche», «La Presse associée de Paris», «Syndicat des journaux de langue française», «La Correspondance de la Presse», «Le Souvenir républicain»), Années 1900-1910, au journaliste Georges MONTORGUEUIL (1857-1933), une dizaine de lettres ou cartes sont écrites de Vineuil-Saint-Firmin dans l’Oise (certaines avec en-têtes illustrées), de L’Ermitage, propriété héritée de son épouse, où vécut Chateaubriand: amicale correspondance confraternelle, Jean-Bernard remercie pour des articles sur ses publications, évoque des faits d’actualité dans la presse, associe souvent son épouse (il demande à Montorgueil de lui placer des articles lorsqu’elle quitte le célèbre journal féministe «La Fronde»), critique certains confrères, parle de la grande vedette de caf-conc’ Theresa etc. / Joint: 1 lettre autographe signée de Léon Roger-Milès et 2 faire-parts de décès (son père et sa belle-mère)