Null Giovanni Battista PIRANESI (1720-1778)
Altra Veduta del Tempio della Sibill…
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Giovanni Battista PIRANESI (1720-1778) Altra Veduta del Tempio della Sibilla in Tivoli - Veduta del Pantheon d'Aggripa Deux eaux-fortes Epreuves en tirage tardif courant XIXe Jaunies Encadrées Two etchings, late 19th-century proofs, yellowed, framed 44 x 66 CM ; 47 x 67 CM

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Giovanni Battista PIRANESI (1720-1778) Altra Veduta del Tempio della Sibilla in Tivoli - Veduta del Pantheon d'Aggripa Deux eaux-fortes Epreuves en tirage tardif courant XIXe Jaunies Encadrées Two etchings, late 19th-century proofs, yellowed, framed 44 x 66 CM ; 47 x 67 CM

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Réfutation de deux ouvrages de Paolo Sarpi sur le pouvoir temporel du Pape: 1 BELLARMINO (Roberto): Risposta del Card. Bellarmino a due libretti, uno de quali s'intitola Risposta di un Dottore in teologia, ad una lettera serittagli da un Rever. suo amico, sopra il Brevz si Censure dalla Santita di Paolo V publicate contra li Signori Venetiani. Et l'altro trattato, & revolutione sopra la validità delle Scommuniche di Gio. Gersone teologo, & Cancelliere Parisino ; tradotto dalla lingua latina nella volgare con ogni sedeltà, in opusculi due. Roma, Appresso Guglielmo Faciotto, 1606, et restampata in Ferrara, nella Stampa Camerale, 95 pp. suivi de 2 BOVIO (Giovanni Antonio): Risposta del P. Maestro Gio. Antonio Bovio da Novara carmelitano alle considerationi del Padre Maestro Paolo da Venetia, sopra le Censure della Santità di Papa Paolo Quinto contra la Republica di Venetia. Roma, Appresso Guglielmo Facciotto, et in Bologna, 1606, 158 pages. Soit 2 ouvrages en 1 volume, 10 par 15,3 cm. Couverture muette du 19ème . Petite mouillure dans la marge inf. des 10 premiers ff. du 1er ouvrage, sinon très bon état. Intéressante réunion de deux ouvrages qui réfutent les positions de la République de Venise, laquelle contestait le pouvoir temporel du Pape. 1) Impression de Ferrare, parue la même année que l'originale. Rare. IT \ICCU \UBOE\ 117769. La République de Venise chargea Paolo Sarpi et divers théologiens dont Marsili, de défendre sa politique. Ils publient alors deux brûlots, que Bellarmin réfute dans cet ouvrage, publié pour la première fois à Rome en 1606 et réimprimé la même année dans les principales villes des Etats pontificaux. Cette édition de Ferrare est rare : l'ICCU n'en localise que 3 exemplaires. 2) Edition parue la même année que l'originale in-4. IT \ICCU \UBOE\021629. Sarpi fit également paraître ses considérations sur la censure de Paul V pour la dénoncer. Le père Bovio, provincial de l'ordre des carmélites, lui répondit par cet ouvrage dans lequel il justifie l'excommunication de Venise.

D'après ANDREA DEL VERROCCHIO (Florence, 1435 - Venise, 1488). "Le Condottiero Bartolomeo Colleoni". Bronze. Ferdinand Barbedienne Fondeur. Dimensions : 16 x 43 x 17 cm. Réplique en moyen format du monument équestre en bronze dédié au Condottiero Bartolomeo Colleoni, d'une hauteur de 395 cm sans le piédestal, réalisé par Andrea del Verrocchio entre 1480 et 1488 et situé à Venise, sur la place des Saints Jean et Paul. Il s'agit de la deuxième statue équestre de la Renaissance, après le monument à Gattamelata de Donatello à Padoue, 1446-53. Son histoire remonte à 1479, lorsque la République de Venise décréta la réalisation d'un monument équestre dédié à ce Condottiero, mort trois ans plus tôt, à placer sur la Piazza dei Santi Giovanni e Paolo. En 1480, Verrocchio fut chargé de l'exécuter et commença le travail dans son atelier de Florence. En 1481, le modèle en cire est envoyé à Venise, où l'artiste se rend en 1486 pour diriger personnellement la fonte du modèle définitif, en bronze à la cire perdue. Andrea Verrocchio meurt en 1488 en laissant l'œuvre inachevée, bien que la maquette en cire soit conservée. Dans son testament, il charge Lorenzo di Credi de poursuivre le projet. Cependant, la Seigneurie de Venise préféra l'artiste local Alessandro Leopardi, peintre et sculpteur, pluridisciplinaire à la moderne, comme l'avait été Verrocchio lui-même. L'artiste florentin a basé la création du monument sur la statue équestre de la Gattamelata de Donatello, les statues antiques de Marc Aurèle et des chevaux de Saint-Marc (XIIIe siècle) et de la Regisole (une œuvre de l'antiquité tardive à Pavie, perdue au XVIIIe siècle). Il y avait également des fresques de Giovanni Acuto, Paolo Ucello et Andrea del Castagno. Il y avait, d'autre part, l'important problème technique de représenter le cheval avec une patte avant levée, dans une position majestueuse en avant, que Donatello avait prudemment résolu en plaçant une sphère sous la patte levée. Verrocchio sera le premier à réussir à ériger une statue équestre reposant uniquement sur trois jambes.