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Descrizione

QUIMPER (29) - Monseigneur Pierre-Vincent DOMBIDAU de CROUSEILHES(1751-1823,Evêque de Quimper de 1805 à 1823) / Pièce signée de sa main, à son en-tête avec Armes gravées : Dispense de bansen faveur du Sieur René-Germain Petit et Demoiselle Alexandrine-Françoise-Antoinette Jossier de Chanchardon, donnée à Quimper le 27 novembre1816, le desservant de Saint-Mathieu à Quimper est donc autorisé à leur donner la bénédiction nuptiale - Le document porte au dos une correspondance et une adresse

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QUIMPER (29) - Monseigneur Pierre-Vincent DOMBIDAU de CROUSEILHES(1751-1823,Evêque de Quimper de 1805 à 1823) / Pièce signée de sa main, à son en-tête avec Armes gravées : Dispense de bansen faveur du Sieur René-Germain Petit et Demoiselle Alexandrine-Françoise-Antoinette Jossier de Chanchardon, donnée à Quimper le 27 novembre1816, le desservant de Saint-Mathieu à Quimper est donc autorisé à leur donner la bénédiction nuptiale - Le document porte au dos une correspondance et une adresse

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[Macon] [manuscrit] LAPLATTE (Abbé François) : Mémoires pour servir à l'histoire sacrée et profane de Macon - Turpe est Atheniensem preregrinum esse - 1766. Un volume. 19 par 25,5 cm. (12)-564 pages, suivies d'une centaine de feuillets vierges. Cartonnage d'époque relié en papier marbré d'attente. Texte manuscrit sur papier bleuté, très lisible, avec quelques ratures, et des notes additionnelles en marge. Il est en parfait état. On joint une lettre manuscrite adressée à l'Abbé LAPLATTE, contenant une précision sur une note érudite de la terre de Leyne en 1363. Lettre adressée à Monsieur La Platte, ancien curé de l'hesne, près de l'église Saint-Pierre à Mâcon. Un manuscrit du même ouvrage se trouve à la Bibliothèque municipale de MACON, et a été transcrit dans le Hors-série N°2 des Etudes Mâconnaises en septembre 2017. Mais le manuscrit que nous présentons n'est pas une copie identique à celui transcrit. On peut supposer qu'il s'agit d'une première version du texte, repris et augmenté plus tard. Pour indice, le manuscrit détenu par la ville de MACON est daté de 1768, le nôtre de 1766. Notre manuscrit s'arrête vers la date de 1702, par un trait en bas de page le cloturant, pour les éléments qui y sont relatés, alors que le manuscrit transcrit va jusqu'aux débuts de la Révolution. Dans la préface, notre exemplaire cite Grégoire de Tours, et le Livre enchainé des archives de Saint-Vincent. Deux sources ignorées par le manuscrit de Macon, qui y ajoute, lui, Guillaume Paradin. Notre exemplaire est souvent moins détaillé que le texte retranscrit, et cela semble confirmer l'hypothèse d'une première version du texte. En voici un exemple : « Un des curés du diocèse qui remplit le mieux les pieuses vues de Mr Leveque fut Mr de Boisfranc curé de Bussières: voyez brochure ». dit notre exemplaire (page 456) « Un des curés qui remplit fort bien les saintes vues de Mr l'évêque fut monsieur de Bois Franc, curé de Bussières, qui ayant été luy même calviniste connoissoit mieux les erreurs du party. Son application à l'étude luy fit connoitre qu'il étoit dans un égarement déplorable ; il bénit Dieu de luy avoir dessillé les yeux, abjura généreusement ses erreurs et voulut comme un autre Paul défendre des vérités qu'il avoit si honteusement combattus. Il entra dans le clergé. On connut ses talents, et Bussières luy ayant été confié, il fit rentrer dans le sein de l'église un grand nombre de calvinistes. » est la version du manuscrit de 1768 (page 196 de sa transcription). Puis le texte se poursuit par un paragraphe, lui identique dans les deux manuscrits. On joint le Hors-Série N°2 des Etudes Mâconnaises où l'exemplaire de 1768 de l'Abbé LAPLATTE a été retranscrit. Un document unique et exceptionnel.

Miracle de GONESSE (95) de 1785 – Rappel historique: le 30 juin 1785, la jeune Geneviève Baffart, boiteuse de naissance et paralytique depuis 3 ans, se trainant en béquilles pour aller à la messe, tombe en prières sur le parvis de l’Eglise Saint-Pierre-Saint-Paul de Gonesse, devant la statue de Saint-Pierre ornant le portail, elle implore la grâce du saint de sortir guérie de l’office, elle quitte l’église en marchant sans ses béquilles, subitement le miracle s’était opéré; 2 médecins attestent la guérison, la ferveur populaire se déclenche et Gonesse devient un lieu de culte privilégié; le curé s’empresse de relater l’évènement à l’Archevêque de Paris, sa réponse est évasive; tous les paroissiens jusqu’aux notables s’émeuvent qu’une reconnaissance officielle de miracle ne soit lancée; Jean-François VAUVILLIERS, professeur au Collège de France et membre de l’Institut Royal, écrit de son côté à l’Archevêque pour appuyer la véracité des faits et peser de sa respectabilité, Monseigneur reste très mesuré, peu enclin à déclencher la longue procédure à Rome; la Révolution balayera tout cela, la statue de Saint-Pierre sera cachée et sauvegardée, Geneviève se mariera et aura un fils qui deviendra prêtre et vicaire de Gonesse / Le document présenté est un cahier entièrement autographe et de la main de Jean-François VAUVILLIER, intitulé «Miracle de Gonesse», qui y a conservé les copies de sa lettre à l’Archevêque de Paris du 29 août 1785, de la réponse de Monseigneur du 1er septembre et de la seconde lettre du curé de Gonesse – cahier de 16 pages petit in-4 sur papier vergé lié par ruban de soie – Jean-François VAUVILLIER (1737-1801), helléniste membre de l’Institut, adoptera les idées nouvelles et sera à la Révolution un personnage-clé pour Paris, puisque Président de la Commune, il préservera Paris de la famine par sa juste gestion des approvisionnements (une rue de Paris porte son nom)