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Description

Mathilde VAILLANT, née en 1995 Marie-Pierrette, Brest et Rennes - 2020 Plastique tissé 110 x 600 cm La technique utilisée, le macramé, est une pratique populaire d’ornementation de l’intérieur domestique qu’on retrouve également dans le patrimoine vestimentaire de Basse Bretagne du Nord. Ici, le motif a été transmis par Marie-Pierrette, qui donne son nom à l’oeuvre, brodeuse du cercle celtique de Peros-Guirrec. Developpé avec un matériau de seconde main, des filets issus du milieu agricole, ce tissage explore les propriétés plastiques des savoirs minutieux de l’héritage traditionnel local tout en réactivant des liens avec la ruralité. --- Mathilde VAILLANT, née en 1995 Initié en 2018 lors de ses études en arts plastique, le travail de Mathilde Vaillant découle de sa pratique des traditions bretonnes. Elle découvre le projet social et culturel des Seiz Breur lors de l’écriture de son mémoire de recherche intitulé Deskin, trein ha gwiadin, un regard breton sur la création contemporaine en arts plastiques, sou tenu en septembre 2020 avec les félicitations du jury à la galerie Art et Essai à l’université de Rennes 2. Le mouvement de Jeanne Malivel, du couple Creston et de Georges Robin a résonné très vite avec ce qui la portait dans sa création. Si la folklorisation de la Bretagne a aujourd’hui évolué vers un usage marketing des symboles (dessins celtiques, ciré jaune et coiffe bigoudène), la diversité des pratiques et savoirs, notamment dans les ouvrages textiles, offre un potentiel de création gigantesque. Danseuse au cercle celtique de la fédération Kenleur dans le pays Rennais, Mathilde Vaillant alterne la fabrication de coiffe traditionnelle avec un travail de recherche plastique par la broderie qui, nourri du savoir-faire de brodeurs et brodeuses, propose un renouvellement des formes et des formats. Elle puise son inspiration dans la culture bretonne et diversifie son approche par le choix de matériaux de seconde main et des techniques. Ainsi le grand tissage en macramé renouvelle des motifs traditionnels du Trégor et propose un gros plan sur les techniques de broderie, et l’aspect plastique, coloré et la douce odeur de foin viennent du médium, des filets de ballots de paille, collectés, nettoyés et démêlés par ses soins.

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Mathilde VAILLANT, née en 1995 Marie-Pierrette, Brest et Rennes - 2020 Plastique tissé 110 x 600 cm La technique utilisée, le macramé, est une pratique populaire d’ornementation de l’intérieur domestique qu’on retrouve également dans le patrimoine vestimentaire de Basse Bretagne du Nord. Ici, le motif a été transmis par Marie-Pierrette, qui donne son nom à l’oeuvre, brodeuse du cercle celtique de Peros-Guirrec. Developpé avec un matériau de seconde main, des filets issus du milieu agricole, ce tissage explore les propriétés plastiques des savoirs minutieux de l’héritage traditionnel local tout en réactivant des liens avec la ruralité. --- Mathilde VAILLANT, née en 1995 Initié en 2018 lors de ses études en arts plastique, le travail de Mathilde Vaillant découle de sa pratique des traditions bretonnes. Elle découvre le projet social et culturel des Seiz Breur lors de l’écriture de son mémoire de recherche intitulé Deskin, trein ha gwiadin, un regard breton sur la création contemporaine en arts plastiques, sou tenu en septembre 2020 avec les félicitations du jury à la galerie Art et Essai à l’université de Rennes 2. Le mouvement de Jeanne Malivel, du couple Creston et de Georges Robin a résonné très vite avec ce qui la portait dans sa création. Si la folklorisation de la Bretagne a aujourd’hui évolué vers un usage marketing des symboles (dessins celtiques, ciré jaune et coiffe bigoudène), la diversité des pratiques et savoirs, notamment dans les ouvrages textiles, offre un potentiel de création gigantesque. Danseuse au cercle celtique de la fédération Kenleur dans le pays Rennais, Mathilde Vaillant alterne la fabrication de coiffe traditionnelle avec un travail de recherche plastique par la broderie qui, nourri du savoir-faire de brodeurs et brodeuses, propose un renouvellement des formes et des formats. Elle puise son inspiration dans la culture bretonne et diversifie son approche par le choix de matériaux de seconde main et des techniques. Ainsi le grand tissage en macramé renouvelle des motifs traditionnels du Trégor et propose un gros plan sur les techniques de broderie, et l’aspect plastique, coloré et la douce odeur de foin viennent du médium, des filets de ballots de paille, collectés, nettoyés et démêlés par ses soins.

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