Null CENEK VOSMIK (Austria, 1860-1944)
Sainte Ludmila de Bohême éduquant son pet…
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CENEK VOSMIK (Austria, 1860-1944) Sainte Ludmila de Bohême éduquant son petit-fils le prince Venceslas . Sculpture . Sculpture en bronze bleuté, signée. Avec le cachet de la fonderie "Fec. Anyz" (Franta Anyz). Dimensions : 32 x 16 x 20 cm

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CENEK VOSMIK (Austria, 1860-1944) Sainte Ludmila de Bohême éduquant son petit-fils le prince Venceslas . Sculpture . Sculpture en bronze bleuté, signée. Avec le cachet de la fonderie "Fec. Anyz" (Franta Anyz). Dimensions : 32 x 16 x 20 cm

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RARE PENDULE EN BRONZE XIXème Pendule en bronze patiné et doré représentant Napoléon Bonaparte à la bataille de Montereau avec son canon. Le cadran indique les heures en chiffres romains. À décor frontal, aux attributs militaires, avec l’aigle impérial, entouré d’une couronne de laurier. Époque premier quart du XIXe siècle. Mouvement à fil Dim : 50 x 40 x 16 cm vendu en l'état, le mouvement est en état de marche, prévoir une petite révision du mouvement. Vendu sur désignation HISTORIQUE: La 6e coalition contre Napoléon Entre décembre 1813 et avril 1814, la 6e coalition - formée par la Grande-Bretagne, la Russie, la Prusse, des états allemands de la Confédération du Rhin et de l'Autriche - mène une campagne en France contre l'Empire napoléonien. Le plan de la coalition est le suivant : l’armée de Bohême, dirigée par le prince Charles-Philippe de Schwarzenberg, marche contre Napoléon pour permettre à l’armée de Silésie, dirigée par le prince Gebhard Leberecht von Blücher, de prendre Paris. Jusqu'au 8 février 1814, les armées alliées progressent à l'est et au sud en direction de Paris. Les troupes napoléoniennes battent alors en retraite. Toutefois, la 6e coalition commet une erreur stratégique en dirigeant l’armée de Silésie au nord de la Marne et l’armée de Bohême au sud de la Seine. Une succession de victoires françaises se déroule alors sur le territoire de la Marne (10-14 février 1814) puis de la Seine-et-Marne et de l'Aube (15-26 février 1814).

École espagnole ou novo-hispanique ; seconde moitié du XVIIIe siècle. "Saint Antoine de Padoue et Saint Christophe". Huile sur toile. Relié. Cadre du XIXe siècle, vers 1860. Dimensions : 66 x 59 cm ; 83 x 73 cm (cadre). À l'époque baroque et de façon plus consolidée par la suite, on a popularisé des scènes où plusieurs saints étaient représentés dans des images à des fins didactiques, puisqu'ils représentaient des concepts analogues. Dans ce cas particulier, il s'agit de la représentation de Saint Antoine de Padoue tenant Jésus dans ses mains et à côté de lui, on reconnaît la légende de Saint Christophe, ce géant qui porta sur ses épaules un enfant qu'il ne connaissait pas, uniquement par bonté, pour l'aider à traverser une rivière. Cet enfant s'est avéré être le Christ, ce qui a fait de lui le saint patron des voyageurs. Les deux figures monumentales et placées couvrent toute la scène qui se développe dans un paysage ouvert, au loin duquel on peut apprécier une autre figure religieuse, située dans la zone droite de la composition. Il convient de mentionner que, pendant la domination coloniale espagnole, une peinture principalement religieuse a été développée, visant à christianiser les peuples indigènes. Les peintres locaux s'inspiraient des œuvres espagnoles, qu'ils suivaient littéralement en termes de types et d'iconographie. Les modèles les plus fréquents étaient les anges arquebusiers et les vierges triangulaires, mais ce n'est que dans les premières années du XIXe siècle, à l'époque de l'indépendance et de l'ouverture politique de certaines colonies, que plusieurs artistes ont commencé à représenter un nouveau modèle de peinture doté d'une identité propre.