Null Karvel Anbert Eriksen (1870-1930) Norway
Karvel Anbert Eriksen (1870-1930) …
Description

Karvel Anbert Eriksen (1870-1930) Norway Karvel Anbert Eriksen (1870-1930) ; scène de fjord norvégien ; fin XIXe - début XXe siècle ; huile sur toile / non encadrée ; dimensions 66 x 100 cm (26 x 39 1/3 in.) ; signée en bas à droite ; Expédition aux États-Unis - DHL 550 $ , Poste nationale avec service de suivi 350 $ / Expédition à l'UE, Asie centrale - DHL 420 $ , Poste nationale avec service de suivi 280 $ / Expédition à l'UE, Asie centrale - DHL 420 $ , Poste nationale avec service de suivi 280

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Karvel Anbert Eriksen (1870-1930) Norway Karvel Anbert Eriksen (1870-1930) ; scène de fjord norvégien ; fin XIXe - début XXe siècle ; huile sur toile / non encadrée ; dimensions 66 x 100 cm (26 x 39 1/3 in.) ; signée en bas à droite ; Expédition aux États-Unis - DHL 550 $ , Poste nationale avec service de suivi 350 $ / Expédition à l'UE, Asie centrale - DHL 420 $ , Poste nationale avec service de suivi 280 $ / Expédition à l'UE, Asie centrale - DHL 420 $ , Poste nationale avec service de suivi 280

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ANDRÉ-LÉON VIVREL (1886-1976) Réunion de deux tableaux Bords de rivières Huile sur toile Le premier signé avec le timbre de la signature [non Lugt] en bas à gauche et daté 'juin 1930' au dos, le second signé en bas à gauche A set of two paintings, oil on canvas, the first one stamped with the signature's mark lower left and dated 'juin 1930' on the reverse, the second one signed lower left 46 x 55 cm - 18 1/8 x 21 5/8 in. 46 x 55 cm - 18 1/8 x 21 5/8 in. Provenance Collection particulière, France André-Léon Vivrel est né en 1886 à Paris. À seulement 15 ans, il décide de devenir peintre. Il est soutenu dans cette voie par sa mère, qu'il décrit comme son premier maître, et son père, négociant en vin et Premier prix de dessin en 1870. Élève au lycée Louis-le-Grand, André-Léon Vivrel rentre à l'Académie Julian en 1910. Il y suit les enseignements de Paul Albert Laurens puis fréquente l'atelier de Marcel Baschet et d'Henri Royer à l'École des Beaux-Arts. Il loue un atelier à Montmartre, au 65 rue Caulaincourt, à seulement huit numéros de celui d'Auguste Renoir. Sa première participation au Salon des artistes français date de 1913. Mobilisé en 1914, il reçoit la Croix de guerre pour conduite héroïque en 1917. Après la guerre, il retrouve son atelier montmartrois. Il se voit décerner une mention honorable au Salon de 1920 et l'État lui achète les deux natures-mortes qu'il expose au Salon des indépendants. Il y présente également deux portraits de Bretonne peints au retour d'un séjour à Ploumanac'h (Côtesss d'Armor). En 1922, Vivrel apparaît pour la première fois au Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts. Après avoir reçu le prix Deldebat de Gonzalva en 1932, il obtient, l'année suivante, une médaille d'argent au Salon des artistes français avec « Le Temps des cerises ». En 1934, Vivrel présente des baigneuses, premier tableau d'une série de grands nus envoyés au Salon jusqu'en 1943. Aboutissement de sa recherche sur le nu féminin, ses « Baigneuses » de 1939 sont gratifiées d'une médaille d'or au Salon des artistes français. Cette ultime récompense couronne une médaille d'argent obtenue par Vivrel en 1937, lors de l'Exposition internationale des Arts et Techniques de Paris. La critique salue unanimement son talent et, en 1940, Louis Paillard n'hésite pas à écrire à la une du « Petit journal » du 6 mai 1940 : « André Vivrel, apparaît je le proclame, comme l'un des meilleurs en ce Salon [des artistes français] ». L'exposition « Vivrel - peintures récentes », organisée par la Galerie de Berri en mai 1942, illustre, en 31 tableaux, la diversité des genres abordés par Vivrel mais c'est celui du paysage qu'il explore avec le plus de passion. Sa terre d'élection est le Loiret, où son frère aîné Marcel possède une résidence secondaire à Châtillon-sur-Loire, non loin de Champtoceaux. Aux lendemains de la Grande Guerre, désargenté, il s'y réfugie pour peindre sur le motif à moindres frais. Au printemps 1926, Vivrel est de nouveau en Bretagne, d'où il rapporte le « Port de Camaret » exposé au Salon des Tuileries de 1926. Quelques années plus tard, en 1934, il retourne en Côtes d'Armor, où il compose des marines qui sont autant d'études de ciel. Vivrel passe l'été 1926 en Corse. Il y réalise des aquarelles qui sont présentées, dès l'automne, à la Galerie Georges Petit puis à New York. À chaque fois, une critique unanime vante leurs qualités : « L'exposition d'André Vivrel est d'un artiste sensible, fin, tout en restant larggge dans ses conceptions. Ses vues de Corse, de Bretagne et de Paris sont comme ses fleurs délicatement harmonieuses » (« La Semaine à Paris », 12 novembre 1926, p. 63). En 1928, il se rend de nouveau dans le Midi. Restituant la chaude et vibrante lumière de Provence, il peint « Le port de Saint-Tropez » exposé, la même année, au Salon des Indépendants. Le thème de la Méditerranée s'impose également au Salon des Tuileries, où Vivrel présente des vues de port et des paquebots, témoins d'une industrie touristique florissante. Quand Vivrel n'est pas sur les routes de France, il prend Paris pour modèle. Il peint les ruelles de la butte Montmartre et les monuments de la capitale, comme la cathédrale Notre-Dame, qu'il décline en série à l'instar de Monet. Il aime à s'attarder sur les quais de la Seine, qui lui offrent de nombreux points de vue insolites sur la ville et lui inspirent des peintures qui ne sont pas sans rappeler les paysages parisiens d'Albert Lebourg. Peignant jusqu'à son dernier souffle, André-Léon Vivrel s'éteint à Bonneville-sur-Touques, le 7 juin 1976.

[Balzac et ses amis] Lot de 8 ouvrages : A Augustin-Thierry, La princesse Belgiojoso. Paris, Plon, 1926. État moyen. Mme Surville, Le compagnon du foyer. Stuttgart, Hallberger, 1855. Demi-basane, mors fendus. Ruxton, La dilecta de Balzac. Paris, Plon, 1909. Demi-chagrin. Boschot, La jeunesse d'Hector Berlioz. Paris, Plon, 1906. Demi-maroquin à coins, tête dorée. Pizzagalli, L'Amica Clara Maffei e il suo salotto nel Risorgimento. Milan, BUR, 2004. Hommage à George Sand, revue de l'Académie du Centre, 1975. Echinard et Jessula, Léon Gozlan. Collection IMMAJ, 2003. Arrigon, Balzac et la "contessa". Paris, Les portiques, sd. [Balzac et ses amis] Lot de 4 ouvrages : Bondy, une femme d'esprit en 1830 - madame de Girardin. Lafitte, 1928. EO un des 17 hollande, second papier. Turquan, La duchesse d'Abrantès. Montgredien, 1901. Séché, Delphine Gay. Mercure, 1910. Longhi, L'educazione esemplare - Zulma Carraud un'amica di Balzac scrive per l'infanzia. Schena, 1984. On joint 6 ouvrages. A Hertor Berge, Le commis banquier. Bordeaux, 1856. Rare curiosité. Biré, Houvelles causeries historiques et littéraires, 1927. Extrait du volume, uniquement l'article sur Lovenjoul. Dore Ashton, A fable of Modern Art. Thames and Hudson, 1980. L'auteur cite Balzac autant que Picasso ou Cézanne. Salaires et coût de l'existence à diverses époque jusqu'en 1910. Copie photocopiée de l'édition de 1911. Guide du voyageur du cheminde fer de Paris à Tours. Copie photocopiée de l'édition de 1846. Considérations sur l'histoire médicale et statistique du Choléra-Morbus. Copie photocopiée del'édition de 1832. Balzac et son temps, Lot de 12 volumes : Burnand, La vie quotidienne en France en 1830. Hachette, 1947. Broché. Pelletan, De 1815 à nos jours. Charavay-Mantoux-Martin, 1891. Cartonnage éditeur. La Gorce, Louis Philippe 1830-1848. Plon, 1931. broché, un des 30 exemplaires sur pur fil lafuma. Charassin, Dictionnaire des racines et dérivés de la langue française. Héois, 1842. Demi-basane, manque sur le dos. Toledano, La vie de famille sous la restauration et la monarchie de juillet. Albin-Michel, 1943. Broché. Henriot, Les romantiques. Albin-Michel, 1953. Linda Kelly, The young romantics Paris 1827-1837. London, Sidney, Toronto, The Bodley Head, 1976. d'Ariste, La vie et le monde du Boulevard. 1830 - 1870. Un dandy: Nestor Roqueplan. Tallandier, 1930. Bory, La Révolution de juillet - 29 juillet 1830. Gallimard, 1972. Broché. Anquetil, Histoire de France. Jubin, 1829-1831. Tomes 12 à 15 soit 4 volumes. A.-F. Teulet et Urbain Loiseau, Les Codes. Précédé du Memento de l'étudiant en Droit. Paris, Videcocq, 1840 - In -12 de XXXVI + 815 p. , impression sur 2 colonnes. Ex-libris de la bibliothèque de H. Hottinguer. Demi-reliure veau vert, dos lisse orné de - fleurons dorés. Bon exemplaire F. Raymond, Dictionnaire Français augmenté d'environ 15000 mots relatifs aux sciences, aux arts, aux métiers, a la médecine, a la chirurgie, pharmacie, chimie etc.. de plus qu'aucun dictionnaire de ce format. Paris, Ladrange, 1837. In-16 de 438 p, impression sur 2 colonnes. Ex-libris armorié de Louis François Bertrand du Pont d'Aubevoye, comte de Lauberdière, avec sa devise: «Virtute et Labore». Pleine reliure basane havane, dos lisse à 5 faux-nerfs à froid, épidermures sur le premier plat.