Super Future Kid - Billy Big Ears Super Future Kid - Billy Big Ears 

Giclée and…
Description

Super Future Kid - Billy Big Ears

Super Future Kid - Billy Big Ears Giclée and screenprint Hybrid featuring a high gloss coating and a layer of hidden detail revealed when the work is viewed under black light. The edition is printed on Hahnemühle Photo Rag 308 gsm paper with hand deckled edges. Hand signed, dated and numbered by the artist 116 x 106 cm Good condition Giclée et sérigraphie Hybride avec un revêtement à haute brillance et une couche de détails cachés révélés lorsque l'œuvre est vue sous la lumière noire. L'édition est imprimée sur papier Hahnemühle Photo Rag 308 gsm avec bords frangés à la main. Signée, datée et numérotée à la main par l'artiste 116 x 106 cm Bon état

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Super Future Kid - Billy Big Ears

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1963 CHEVROLET CORVETTE C2 « STINGRAY » SPLIT WINDOW Série : 30837S110367 Sportive mythique Projet Passionnant Restauration à finir Vendue sans Contrôle Technique Carte grise française de collection D’un dessin signé Larry Shinoda, la Corvette C2 sera surnommée « Sting Ray » en raison de son arrière en forme de raie à éperon. Elle reprend la place de la désormais mythique C1 à partir de 1963. Produite jusqu’en 1967, la C2 est alors une sportive en carrosserie coupé ou cabriolet. D’ailleurs, la rare version « Split Window » de 1963 fait fureur chez les amateurs d’américaines, car elle fut très vite abandonnée dès 1964 pour répondre au besoin de visibilité arrière. Sous le capot, un small block 5.4L est de série avec des puissances variant de 250 à 375 cv. En 1965, un big block 6.5L sera introduit, proposant alors une puissance de 425 cv. Produites aux environs de 118 000 exemplaires (toutes carrosseries confondues), les C2 ont le vent en poupe chez les amateurs d’américaines. Présentée dans la rare version Split Windows, produite uniquement en 1963 cette corvette est un projet de restauration à finir. Acquise en Californie en 2019 par son propriétaire actuel, celui-ci l’a importé et immatriculé en France l’année qui a suivi. Il a alors entrepris un chantier de restauration au cours duquel fut déposé la mécanique. Les trains roulants (freins, suspension, trains avant et arrière, …) ainsi que le boite de vitesse, ont été refaits. Le châssis lui, fut repeint et reçu une nouvelle couche d’anti-gravillon. Pour ce qui est du moteur, celui d’origine (n°3110367) cassé, fut démonté et partiellement refait. Devant l’ampleur du chantier, un nouveau moteur GM 5.7 fut commandé. Jamais installé, le futur propriétaire pourra au choix, installer ce nouveau moteur, ou poursuivre la réfection du moteur d’origine afin d’obtenir une voiture Matching Numbers. Un lot important de pièces détachées est fourni avec cette corvette, n’hésitez pas à contacter nos équipes pour obtenir plus d’informations sur ce projet passionnant. ERRATUM: Nous tenons à rappeler aux acheteurs qu'il ne s'agit par d'une version fuel injection, mais d'une version V8 250cv. Le moteur en photo est le nouveau bloc 5.7. 1963 CHEVROLET CORVETTE C2 ‘STINGRAY’ SPLIT WINDOW Series : 30837S110367 Legendary sports car Exciting project Restoration to be finished Sold without MOT French collector's registration Designed by Larry Shinoda, the C2 Corvette was nicknamed the ‘Sting Ray’ because of its spur-stripe rear end. It replaced the now legendary C1 from 1963. Produced until 1967, the C2 was a sports car with coupé or cabriolet bodywork. The rare ‘Split Window’ version from 1963 was a big hit with American car enthusiasts, but was quickly abandoned in 1964 to meet the need for better rear visibility. Under the bonnet, a 5.4-litre small block came as standard, with power ratings ranging from 250 to 375 bhp. In 1965, a 6.5-litre big block was introduced, delivering 425bhp. Produced in the region of 118,000 examples (all body styles combined), the C2s were very popular with American car enthusiasts. Presented in the rare Split Windows version, produced only in 1963, this Corvette is a restoration project waiting to be finished. Acquired in California in 2019 by its current owner, it was imported and registered in France the following year. He then undertook a restoration project during which the mechanical parts were removed. The running gear (brakes, suspension, front and rear axles, etc.) and gearbox were rebuilt. The chassis was repainted and given a new coat of anti-gravel. As for the engine, the original one (no. 3110367) was broken, dismantled and partially rebuilt. Given the scale of the job, a new GM 5.7 engine was ordered. Never installed, the future owner will have the choice of installing this new engine, or continuing to rebuild the original engine in order to obtain a Matching Numbers car. A large number of spare parts are supplied with this Corvette, so don't hesitate to contact our teams for more information on this exciting project.

[Ernest HEBERT, peintre] - Oleg TRIPET SKRYPITZINE (1848-1935, artiste peintre, conservateur et mécène du Musée Fragonard à Grasse) / Ensemble de correspondances, photographies et notes gardées par Oleg TS au sujet du portrait que fit de son épouse Esméralda (née Alexandrine Hélène Basily, qu’il avait épousée en 1879) le peintre Ernest Hébert, portrait d’autant plus précieux qu’il n’était pas achevé à sa mort subite en août 1882: 1°) Gabrielle HEBERT (née Uckermann, 1853-1934, photographe, épouse du peintre Hébert) s’adresse le 24 juillet 1882 à Esméralda: son mari a reçu sa lettre mais est bouleversé par la mort subite de Madame Marie Caune, dont elle raconte les derniers instants (maladie de cœur subite), «mon mari a fait un super dessin d’après Marie, qui était morte aussi belle que vivante, ayant l’air de dormir, toute couverte de fleurs!, aujourd’hui on l’a enterrée à Enghien selon son désir, elle a laissé sa villa et son portrait à son père», ils ont caché cette mort à sa belle-mère et elle reste avec elle, sans plus aller à l’atelier; «Mon mari me charge de bien des compliments pour son modèle favori et lui recommande de bien arranger tout pour les mille et une séances futures» - 2°) La Baronne Double (salonnière, née Marie Biart, 1840-1897, pseudo en littérature Etincelle), dans une lettre du 30 juillet 1882 adressée à Esméralda qui se trouve à Vichy, parle des rencontres qu’on peut y faire, notamment Monsieur de Montbel, qui «aurait fait naître chez Sarah Bernhardt une folle passion, elle venait le relancer jusque chez luijusqu’au jour où elle tomba entre les bras de la mère!», elle-même est à Plombière et parle des Rothschild, elle demande si elle a eu des détails sur la mort de Madame Caune (amie et modèle de Hébert) et précise «votre portrait est-il du genre du sien?» (Oleg précise que Madame Caune était la fille de son ami le Docteur Robody de Marseille), la baronne continue sur des papotages – 3°) La Baronne Double, dans une lettre à Oleg du 8 septembre 1882 vient essayer d’adoucir la peine de Oleg qui a perdu sa femme le 12 août, elle commère sur certains faits que Oleg éclaire en notes (suicide à Marseille de Valentine A, dont Hébert avait fait le portrait) – 4°) La Baronne Double le 29 septembre s’enquière de sa santé de son ami Oleg et évoque la disparue, «Comme ces visites chez Hébert ont dû vous être douloureuses! Je comprends que vous ne puissiez pas influencer ce grand artiste et cependant il est bien fâcheux qu’il ne finisse pas son œuvre. Lui seul pouvait rendre la vie à celle que la mort nous a prise» (Oleg précise qu’il était à Paris pour assister aux séances d’achèvement du portrait d’Esmée et en donne des détails - 5°) Oleg conserve 2 photographies originale d’Esméralda, sous celle par Brion, il précise «de toutes les photos d’Esmée, celle que le portrait rappelle le plus, Hébert l’a eu entre les mains et s’en est inspirée» - 6°) Fin 1882, on comprends que le portrait est terminé et que Oleg s’empresse de le faire admirer, il a conservé 2 cartes de la Duchesse de Luynes et 2 autres de Valentine Autran à ce sujet – 7°) Son annexés à cet ensemble: une grande photographie représentant la maison à Vichy où est morte Esmeralda et un portrait gravé de Hébert paru dans «l’Artiste»