Null TAPISSERIE D’AUBUSSON, DERNIERS TIERS DU XVIIIe SIÈCLE

La Diseuse de bonne…
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TAPISSERIE D’AUBUSSON, DERNIERS TIERS DU XVIIIe SIÈCLE La Diseuse de bonne aventure Tissée en laine et soie ; au premier plan, une bergère, accompagnée d’un enfant et de son troupeau, est interpellée par une diseuse de bonne aventure ; la bordure à l’imitation de cadre agrémentée de guirlandes de fleurs ; usures, anciennes restaurations, diminuée en hauteur et probablement en largeur Dimensions : 228 x 411 cm (89 ¾ x 161 ¾ in.) Bibliographie: P.F. Bertrand, Aubusson tapisseries des Lumières. Splendeurs de la manufacture royale, fournisseur des Lumières, Ed. Snoeck Gent, 2013, p.183-191. An Aubusson tapestry, depicting the fortune’s teller, last third of the 18th century La colonne et les chapiteaux brisés au pied du palais témoignent du séjour romain de Julliard et du goût pour l’esthétique des ruines qui se généralise dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. À l’influence antique, s’ajoute celle des peintres nordiques, découverts par Julliard dans l’atelier de son maître François Boucher. La présence du jeune berger allongé au premier plan interpelle par sa proximité avec certaines figures d’Abraham Bloemaert. Plusieurs tissages connus dont un conservé au musée de l’Ermitage, un conservé au Museum für Angewandte Kunst (Cologne), un exposé à la mairie de Charlieu, un fragment conservé au musée Magnin (Dijon).

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TAPISSERIE D’AUBUSSON, DERNIERS TIERS DU XVIIIe SIÈCLE La Diseuse de bonne aventure Tissée en laine et soie ; au premier plan, une bergère, accompagnée d’un enfant et de son troupeau, est interpellée par une diseuse de bonne aventure ; la bordure à l’imitation de cadre agrémentée de guirlandes de fleurs ; usures, anciennes restaurations, diminuée en hauteur et probablement en largeur Dimensions : 228 x 411 cm (89 ¾ x 161 ¾ in.) Bibliographie: P.F. Bertrand, Aubusson tapisseries des Lumières. Splendeurs de la manufacture royale, fournisseur des Lumières, Ed. Snoeck Gent, 2013, p.183-191. An Aubusson tapestry, depicting the fortune’s teller, last third of the 18th century La colonne et les chapiteaux brisés au pied du palais témoignent du séjour romain de Julliard et du goût pour l’esthétique des ruines qui se généralise dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. À l’influence antique, s’ajoute celle des peintres nordiques, découverts par Julliard dans l’atelier de son maître François Boucher. La présence du jeune berger allongé au premier plan interpelle par sa proximité avec certaines figures d’Abraham Bloemaert. Plusieurs tissages connus dont un conservé au musée de l’Ermitage, un conservé au Museum für Angewandte Kunst (Cologne), un exposé à la mairie de Charlieu, un fragment conservé au musée Magnin (Dijon).

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