Null Albert Ernest CARRIER-BELLEUSE (1824-1887), d'après
Diane victorieuse 
Épre…
Description

Albert Ernest CARRIER-BELLEUSE (1824-1887), d'après Diane victorieuse Épreuve en bronze à patine brune rougeâtre Signée sur la terrasse Hauteur : 66,5 cm (Rayures d'usage, arc mobile probablement rapporté) Rapport de condition disponible sur demande : [email protected] Oeuvres comparatives : - Vente Sotheby's Collection Jacques Ginepro - Une vie de sculpture Partie II, Paris, 8 juin au 14 juin 2023 - Vente Rennes Enchères du 19 février 2024, lot 90 NOTICE Formé parmi les orfèvres et ciseleurs, Carrier-Belleuse commence sa carrière en Angleterre comme sculpteur pour la Manufacture Minton en produisant des petites statuettes. Exposant pour la première fois au Salon de 1857, sa carrière explose. Il obtient de nombreuses commandes publiques et participe à la décoration des grands monuments parisiens tels que le Louvre, la Banque de France ou bien le palais Garnier. Inspiré par Jean Goujon et le maniérisme bellifontain et les grands sculpteurs du XVIIIe siècle, il est alors surnommé "le Clodion français". Collaborant avec les grands orfèvres et industriels du XIXe siècle tels Christofle et Froment-Meurice et mettant à profit leurs innovations notamment en matière de galvanoplastie, on lui doit une importante production de statuettes d'édition dont la plus connue reste à ce jour sa célèbre statuette chryséléphantine de "la liseuse".

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Albert Ernest CARRIER-BELLEUSE (1824-1887), d'après Diane victorieuse Épreuve en bronze à patine brune rougeâtre Signée sur la terrasse Hauteur : 66,5 cm (Rayures d'usage, arc mobile probablement rapporté) Rapport de condition disponible sur demande : [email protected] Oeuvres comparatives : - Vente Sotheby's Collection Jacques Ginepro - Une vie de sculpture Partie II, Paris, 8 juin au 14 juin 2023 - Vente Rennes Enchères du 19 février 2024, lot 90 NOTICE Formé parmi les orfèvres et ciseleurs, Carrier-Belleuse commence sa carrière en Angleterre comme sculpteur pour la Manufacture Minton en produisant des petites statuettes. Exposant pour la première fois au Salon de 1857, sa carrière explose. Il obtient de nombreuses commandes publiques et participe à la décoration des grands monuments parisiens tels que le Louvre, la Banque de France ou bien le palais Garnier. Inspiré par Jean Goujon et le maniérisme bellifontain et les grands sculpteurs du XVIIIe siècle, il est alors surnommé "le Clodion français". Collaborant avec les grands orfèvres et industriels du XIXe siècle tels Christofle et Froment-Meurice et mettant à profit leurs innovations notamment en matière de galvanoplastie, on lui doit une importante production de statuettes d'édition dont la plus connue reste à ce jour sa célèbre statuette chryséléphantine de "la liseuse".

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