Null École espagnole ou italienne ; XVIIe siècle. 

Saint François réconforté pa…
Description

École espagnole ou italienne ; XVIIe siècle. Saint François réconforté par les anges. Huile sur ardoise. Elle a été restaurée. Cadre du XVIIIe siècle. Dimensions : 24 x 30 cm ; 34 x 40 cm (cadre). Cette œuvre représente une scène qui suit l'épisode miraculeux de la vie de saint François d'Assise, survenu en 1224 lors de la fête de l'Exaltation de la Sainte Croix. À cette époque, le saint, pendant un moment où il se retirait pour prier, reçut d'un séraphin les stigmates, les mêmes blessures que celles subies par le Christ sur la Croix. C'est pour cette raison que l'œuvre actuelle montre le saint retenu par deux anges pour éviter que son corps en extase ne s'effondre. Il est intéressant de mentionner à nouveau le support de cette œuvre, car à partir du XVIe siècle, l'utilisation de la pierre comme support pour la peinture a commencé à devenir populaire, comme en témoigne l'exposition organisée au Museo del Prado en 2018, "In lapide depictum", qui a rassemblé un ensemble de neuf œuvres sur pierre monochrome, ardoise et marbre d'artistes tels que Piombo, Titien, Daniele da Volterra et Leandro Bassano.

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École espagnole ou italienne ; XVIIe siècle. Saint François réconforté par les anges. Huile sur ardoise. Elle a été restaurée. Cadre du XVIIIe siècle. Dimensions : 24 x 30 cm ; 34 x 40 cm (cadre). Cette œuvre représente une scène qui suit l'épisode miraculeux de la vie de saint François d'Assise, survenu en 1224 lors de la fête de l'Exaltation de la Sainte Croix. À cette époque, le saint, pendant un moment où il se retirait pour prier, reçut d'un séraphin les stigmates, les mêmes blessures que celles subies par le Christ sur la Croix. C'est pour cette raison que l'œuvre actuelle montre le saint retenu par deux anges pour éviter que son corps en extase ne s'effondre. Il est intéressant de mentionner à nouveau le support de cette œuvre, car à partir du XVIe siècle, l'utilisation de la pierre comme support pour la peinture a commencé à devenir populaire, comme en témoigne l'exposition organisée au Museo del Prado en 2018, "In lapide depictum", qui a rassemblé un ensemble de neuf œuvres sur pierre monochrome, ardoise et marbre d'artistes tels que Piombo, Titien, Daniele da Volterra et Leandro Bassano.

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