Null 1773-1800 ca. MANUSCRIT : (LITIGE POUR UN HÉRITAGE). PROCÈS INTENTÉ PAR MAT…
Description

1773-1800 ca. MANUSCRIT : (LITIGE POUR UN HÉRITAGE). PROCÈS INTENTÉ PAR MATEO JUNQUITO DE GUEVARA, VOISIN DE CÓRDOBA, ET SECRÉTAIRE DE LA STA. CONTRE SON BEAU-PÈRE JUSTO MAÑOSO, VOISIN DE MARTOS (JAÉN). Folio d'environ 80 folios manuscrits au format folio et présenté dans une capsule doublée de pâte espagnole, frottée et avec quelques traces d'humidité. Ce Matheo Junquito épouse la fille de Justo Mañoso, Maria Joseph Mañoso y Escobeda, de la ville de Martos (Jaén). Elle reçoit une dot de mariage avec un trousseau détaillé et une propriété foncière dans le même quartier de Martos. Deux filles naissent de ce mariage et, à la mort de leur mère, elles sont confiées à leurs grands-parents, Justo Mañoso et Cathalina Escobedo, tandis que le veuf Matheo Junquito retourne à Cordoue. La mort des filles et de la grand-mère survient, et c'est là l'origine du procès qui est le fil conducteur de tous ces documents et qui commence en 1773. Du vivant des filles et de la belle-mère, les biens de la dot sont administrés par le beau-père, Justo Mañoso. Le deuxième document contient la livraison de la dot, avec tous les biens et leur valeur. Outre la liste du trousseau reçu par les époux, il est fait mention de la possession d'un verger avec une maison en tuiles, à trois sections, irrigué, avec des fruits, et situé dans la même zone de la ville de Martos, à l'endroit de la Sierra Grande qu'ils appellent La Mezquita (mentionnée exactement ainsi dans le texte à plusieurs reprises), qui borde les terres de D. Fernando de Sotomaior, est également mentionnée. Le reste des documents tourne autour du même procès, il s'agit de transferts de différents points de vue sur le même conflit et la première feuille de documents porte la signature du notaire qui remet cette feuille d'originaux à Matheo Junquito de Cordoba pour qu'il en dispose comme il l'entend, signée le 8 novembre 1775.

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1773-1800 ca. MANUSCRIT : (LITIGE POUR UN HÉRITAGE). PROCÈS INTENTÉ PAR MATEO JUNQUITO DE GUEVARA, VOISIN DE CÓRDOBA, ET SECRÉTAIRE DE LA STA. CONTRE SON BEAU-PÈRE JUSTO MAÑOSO, VOISIN DE MARTOS (JAÉN). Folio d'environ 80 folios manuscrits au format folio et présenté dans une capsule doublée de pâte espagnole, frottée et avec quelques traces d'humidité. Ce Matheo Junquito épouse la fille de Justo Mañoso, Maria Joseph Mañoso y Escobeda, de la ville de Martos (Jaén). Elle reçoit une dot de mariage avec un trousseau détaillé et une propriété foncière dans le même quartier de Martos. Deux filles naissent de ce mariage et, à la mort de leur mère, elles sont confiées à leurs grands-parents, Justo Mañoso et Cathalina Escobedo, tandis que le veuf Matheo Junquito retourne à Cordoue. La mort des filles et de la grand-mère survient, et c'est là l'origine du procès qui est le fil conducteur de tous ces documents et qui commence en 1773. Du vivant des filles et de la belle-mère, les biens de la dot sont administrés par le beau-père, Justo Mañoso. Le deuxième document contient la livraison de la dot, avec tous les biens et leur valeur. Outre la liste du trousseau reçu par les époux, il est fait mention de la possession d'un verger avec une maison en tuiles, à trois sections, irrigué, avec des fruits, et situé dans la même zone de la ville de Martos, à l'endroit de la Sierra Grande qu'ils appellent La Mezquita (mentionnée exactement ainsi dans le texte à plusieurs reprises), qui borde les terres de D. Fernando de Sotomaior, est également mentionnée. Le reste des documents tourne autour du même procès, il s'agit de transferts de différents points de vue sur le même conflit et la première feuille de documents porte la signature du notaire qui remet cette feuille d'originaux à Matheo Junquito de Cordoba pour qu'il en dispose comme il l'entend, signée le 8 novembre 1775.

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