Description
1776. LIVRE : (CALLIGRAPHIE). SANTIAGO PALOMARES, FRANCISCO JAVIER DE : ARTE NUEVA DE ESCRIBIR, INVENTADA POR EL INSIGNE MAESTRO PEDRO DIAZ MORANTE, E ILUSTRADA CON MUESTRAS NUEVAS, Y VARIOS DISCURSOS CONDUCENTES AL VERDADERO MAGISTERIO DE PRIMERAS LETRAS. Madrid : Imp. Antonio Sancha, 1776. Folio mineur. Page de titre + XVIII p. + 1 h. errata + 136 p. + page de titre en creux pour les planches + 40 planches toutes gravées par Asensio Mejorada. Excellent papier, très propre, quelques très légères ombres de rouille. Enc. en parchemin d'époque. Santiago Palomares était un excellent calligraphe, mais il reconnaît le travail et l'importance de ses prédécesseurs, tels que Iciar, Madariaga, Lucas, Díaz Morante, etc. Il revendique la beauté de l'écriture et déplore que la nécessité d'écrire vite ait corrompu "les plus beaux caractères". Toutes les planches ont été gravées par Asensio Mejorada, probablement le plus grand graveur calligraphique du XVIIIe siècle. Palau 210612. Salvá 2371. Rodríguez Moñino 115, n'indique pas le feuillet d'errata, qui manque souvent dans de nombreux exemplaires.
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1776. LIVRE : (CALLIGRAPHIE). SANTIAGO PALOMARES, FRANCISCO JAVIER DE : ARTE NUEVA DE ESCRIBIR, INVENTADA POR EL INSIGNE MAESTRO PEDRO DIAZ MORANTE, E ILUSTRADA CON MUESTRAS NUEVAS, Y VARIOS DISCURSOS CONDUCENTES AL VERDADERO MAGISTERIO DE PRIMERAS LETRAS. Madrid : Imp. Antonio Sancha, 1776. Folio mineur. Page de titre + XVIII p. + 1 h. errata + 136 p. + page de titre en creux pour les planches + 40 planches toutes gravées par Asensio Mejorada. Excellent papier, très propre, quelques très légères ombres de rouille. Enc. en parchemin d'époque. Santiago Palomares était un excellent calligraphe, mais il reconnaît le travail et l'importance de ses prédécesseurs, tels que Iciar, Madariaga, Lucas, Díaz Morante, etc. Il revendique la beauté de l'écriture et déplore que la nécessité d'écrire vite ait corrompu "les plus beaux caractères". Toutes les planches ont été gravées par Asensio Mejorada, probablement le plus grand graveur calligraphique du XVIIIe siècle. Palau 210612. Salvá 2371. Rodríguez Moñino 115, n'indique pas le feuillet d'errata, qui manque souvent dans de nombreux exemplaires.
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