(1543). PONTIFICALE ROMANUM. Secundum ritum.
Venise, Lucantonio de Giunta, mai 1…
Description

(1543). PONTIFICALE ROMANUM. Secundum ritum. Venise, Lucantonio de Giunta, mai 1543. 3 parties en 1 vol. in-folio gothique de [6]- 259 (sur 261) feuillets, veau granité, dos à nerfs orné (reliure du XIX). L'ouvrage contient l'ordre de service, avec musique, pour les sacrements administrés exclusivement par les papes ou les évêques. La première partie couvre l'ordination, la consécration et la bénédiction de personnes telles que les diacres, les abbés et les abbesses. La seconde traite de la consécration et de la bénédiction des biens y compris les bâtiments religieux, les autels, les objets liturgiques tels que les cloches, les calices et les croix, et la bénédiction de l'huile sainte, Enfin la dernière contient les règles régissant les cérémonies des synodes et autres événements pontificaux. Edition remarquablement imprimée en rouge et noir avec musique notée, ornée de 3 grands titres, d'imposantes initiales historiées et près de 160 BELLES GRAVURES SUR BOIS provenant des écoles de Venise et Padoue. Il manque 2 feuillets (50 et 51). (USTC 820303). Ex-libris armorié avec la devise «Terres atque rotundus».

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(1543). PONTIFICALE ROMANUM. Secundum ritum. Venise, Lucantonio de Giunta, mai 1543. 3 parties en 1 vol. in-folio gothique de [6]- 259 (sur 261) feuillets, veau granité, dos à nerfs orné (reliure du XIX). L'ouvrage contient l'ordre de service, avec musique, pour les sacrements administrés exclusivement par les papes ou les évêques. La première partie couvre l'ordination, la consécration et la bénédiction de personnes telles que les diacres, les abbés et les abbesses. La seconde traite de la consécration et de la bénédiction des biens y compris les bâtiments religieux, les autels, les objets liturgiques tels que les cloches, les calices et les croix, et la bénédiction de l'huile sainte, Enfin la dernière contient les règles régissant les cérémonies des synodes et autres événements pontificaux. Edition remarquablement imprimée en rouge et noir avec musique notée, ornée de 3 grands titres, d'imposantes initiales historiées et près de 160 BELLES GRAVURES SUR BOIS provenant des écoles de Venise et Padoue. Il manque 2 feuillets (50 et 51). (USTC 820303). Ex-libris armorié avec la devise «Terres atque rotundus».

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Réfutation de deux ouvrages de Paolo Sarpi sur le pouvoir temporel du Pape: 1 BELLARMINO (Roberto): Risposta del Card. Bellarmino a due libretti, uno de quali s'intitola Risposta di un Dottore in teologia, ad una lettera serittagli da un Rever. suo amico, sopra il Brevz si Censure dalla Santita di Paolo V publicate contra li Signori Venetiani. Et l'altro trattato, & revolutione sopra la validità delle Scommuniche di Gio. Gersone teologo, & Cancelliere Parisino ; tradotto dalla lingua latina nella volgare con ogni sedeltà, in opusculi due. Roma, Appresso Guglielmo Faciotto, 1606, et restampata in Ferrara, nella Stampa Camerale, 95 pp. suivi de 2 BOVIO (Giovanni Antonio): Risposta del P. Maestro Gio. Antonio Bovio da Novara carmelitano alle considerationi del Padre Maestro Paolo da Venetia, sopra le Censure della Santità di Papa Paolo Quinto contra la Republica di Venetia. Roma, Appresso Guglielmo Facciotto, et in Bologna, 1606, 158 pages. Soit 2 ouvrages en 1 volume, 10 par 15,3 cm. Couverture muette du 19ème . Petite mouillure dans la marge inf. des 10 premiers ff. du 1er ouvrage, sinon très bon état. Intéressante réunion de deux ouvrages qui réfutent les positions de la République de Venise, laquelle contestait le pouvoir temporel du Pape. 1) Impression de Ferrare, parue la même année que l'originale. Rare. IT \ICCU \UBOE\ 117769. La République de Venise chargea Paolo Sarpi et divers théologiens dont Marsili, de défendre sa politique. Ils publient alors deux brûlots, que Bellarmin réfute dans cet ouvrage, publié pour la première fois à Rome en 1606 et réimprimé la même année dans les principales villes des Etats pontificaux. Cette édition de Ferrare est rare : l'ICCU n'en localise que 3 exemplaires. 2) Edition parue la même année que l'originale in-4. IT \ICCU \UBOE\021629. Sarpi fit également paraître ses considérations sur la censure de Paul V pour la dénoncer. Le père Bovio, provincial de l'ordre des carmélites, lui répondit par cet ouvrage dans lequel il justifie l'excommunication de Venise.

SENEQUE. Senecae Tragoediae. Venise, Filippo Giunta, 1506. In-8 (167 x 98 mm) de 224 ff. (coll. a-z⁸ &⁸ A-D⁸ (D8 blanc)). Lettrines rubriquées en rouge et bleu. Veau brun, dos à nerfs orné à froid, étiquette de titre manuscrite, plats ornés d’un large décor de roulettes à froid, tranches ciselées (reliure de l’époque ). Frottés, manque de cuir en queue du dos, coins émoussés, fermoirs manquants. Légères mouillures marginales. Marginalia manuscrits (fin XVIe siècle). Petits travaux de vers sur les gardes. Belle édition en caractères italiques renfermant pour la première fois un commentaire de la vie de Sénèque et les argumenta de Benedetto Riccardini. ""Après l’édition parisienne de C. Fernandus, celle de Benedetto Riccardini, dit ‘Philologus’ est à nouveau éditée en Italie, mais à Florence, chez le célèbre imprimeur F. Giunta. Elle témoigne de recherches typographiques et d’organisation de la page nouvelle, en insérant un colophon en cul-de-lampe et en pratiquant les italiques. Le texte est bien plus serré, sans doute destiné à une lecture plus assidue, par un public plus nombreux, d’autant que l’exemplaire adopte un format réduit. On y retrouve des arguments, mais dans une nouvelle version : ils sont en prose et assez développés (si bien que la seconde édition Juntine, de 1513, en proposera une version abrégée)."" Pascale Rey, ""Les éditions des tragédies de Sénèque conservées à la Bibliothèque nationale de France (XVe-XIXe s.)"", in L’Antiquité à la BnF, 17/01/2018, https://antiquitebnf.hypotheses.org/1643). Ex-libris (congrégations religieuses) et notes manuscrites au titre et en haut de la première page (dont une citation de Sénèque).

JACOPO MARIESCHI (Venise, 1711-1794). "Saint François de Paola" et "Saint Antoine Abbé". Huile sur toile. Châssis et cadres postérieurs. Dimensions : 38 x 29,5 cm ; 50 x 41 cm (cadre). Peintre parfois confondu avec le vedutiste contemporain Michele Marieschi, Jacopo Marieschi s'est spécialisé dans la peinture d'histoire, bien qu'il ait également travaillé sur des thèmes religieux. L'une des toiles représente Francisco de Paula, identifié par la légende "Charitas", la devise du saint, qui apparaît dans la marge inférieure. Antoine de Padoue ou de Lisbonne (Lisbonne, ca. 1191 à 1195 - Padoue, 1231) était un frère franciscain, prédicateur et théologien, vénéré pour ses miracles, en tant que saint et docteur de l'Église, d'abord membre de l'ordre des chanoines réguliers de Saint Augustin, jusqu'à ce qu'il devienne franciscain en 1220. Saint Antoine de Padoue est, après saint François d'Assise, le plus populaire des saints franciscains. Il est représenté comme un jeune homme imberbe portant une large tonsure monastique, vêtu d'un habit, et apparaît généralement avec l'Enfant Jésus, qu'il tient dans ses bras, en référence à une apparition qu'il a eue dans sa cellule. Il est devenu l'attribut le plus populaire de ce saint à partir du XVIe siècle, en particulier dans l'art baroque de la Contre-Réforme. Saint François de Paola (1416-1507) était un ermite italien, fondateur de l'ordre des Minimes. Très jeune, il commença sa vie d'ermite dans les environs de sa ville natale de Paula. Peu à peu, il acquiert une renommée pour ses prodiges et, vers 1450, il y a déjà un groupe d'adeptes autour de sa figure. Sa communauté s'agrandit et, en 1470, la Congrégation des ermites (le futur Ordre des Minimes) reçoit l'approbation diocésaine de l'archevêque de Consenza. Quatre ans plus tard, le pape Sixte IV leur accorde l'approbation pontificale. En 1483, François de Paule se rendit en France sur ordre du pape et à la demande du roi Louis XI. Il y développa un travail diplomatique en faveur du Saint-Siège, tout en essayant d'obtenir l'approbation d'une règle pour sa congrégation, ce qu'il obtint finalement en 1493.