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Description

¤ PABLO PICASSO (1881-1973) PENDENTIF 'TÊTE DE FEMME' en terre de faïence rouge modelée, décor aux engobes Bélière en métal Non signé Exemplaire unique Terre de faïence, modelled and painted, metal suspension ring; unsigned; this work is unique 4,2 CM - 1 5/8 IN. Un certificat de Monsieur Claude Picasso, en date du 10 novembre 2020, sera remis à l'acquéreur. "Pendant toute sa vie, se plaisant à faire des cadeaux, Picasso aima offrir des bijoux. Aujourd'hui, les destinataires de ces présents, ou leurs descendants les plus proches, les ont toujours en leur possession. Ce ne sont que quelques-unes de ces pièces que l'on a déjà pu voir dans des expositions et, malgré la somme de connaissances que l'on a sur Picasso, sa vie et son œuvre, rares sont les références faites à ces bijoux. [...] À Vallauris, par exemple, il réalisa un certain nombre de petits objets en argile : des figurines, des têtes ou des mains. Certains étaient faits à partir de petits morceaux de céramique, des débris ramassés sur le sol de l'atelier de la poterie. [...] Si l'on pouvait les porter, Picasso ne les voyait pas comme des bijoux. Ils étaient liés à sa fascination pour la Méditerranée et évoquaient un passé remontant à l'Antiquité ; il les voyait comme des ex-voto, de minuscules dieux du foyer, des sceaux, des talismans, 'des objets pour [que] la main' joue avec." Clare Finn, "Picasso et les bijoux", in Picasso, Peintre d'objets, Objets de peintre, cat. expo., Musée d'art moderne de Céret, 12 juin-19 septembre 2004, La Piscine-Musée d'art et d'industrie André Diligent de Roubaix, 9 octobre 2004-9 janvier 2005, Gallimard, Paris : 2004, pp. 79 et 84.

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¤ PABLO PICASSO (1881-1973) PENDENTIF 'TÊTE DE FEMME' en terre de faïence rouge modelée, décor aux engobes Bélière en métal Non signé Exemplaire unique Terre de faïence, modelled and painted, metal suspension ring; unsigned; this work is unique 4,2 CM - 1 5/8 IN. Un certificat de Monsieur Claude Picasso, en date du 10 novembre 2020, sera remis à l'acquéreur. "Pendant toute sa vie, se plaisant à faire des cadeaux, Picasso aima offrir des bijoux. Aujourd'hui, les destinataires de ces présents, ou leurs descendants les plus proches, les ont toujours en leur possession. Ce ne sont que quelques-unes de ces pièces que l'on a déjà pu voir dans des expositions et, malgré la somme de connaissances que l'on a sur Picasso, sa vie et son œuvre, rares sont les références faites à ces bijoux. [...] À Vallauris, par exemple, il réalisa un certain nombre de petits objets en argile : des figurines, des têtes ou des mains. Certains étaient faits à partir de petits morceaux de céramique, des débris ramassés sur le sol de l'atelier de la poterie. [...] Si l'on pouvait les porter, Picasso ne les voyait pas comme des bijoux. Ils étaient liés à sa fascination pour la Méditerranée et évoquaient un passé remontant à l'Antiquité ; il les voyait comme des ex-voto, de minuscules dieux du foyer, des sceaux, des talismans, 'des objets pour [que] la main' joue avec." Clare Finn, "Picasso et les bijoux", in Picasso, Peintre d'objets, Objets de peintre, cat. expo., Musée d'art moderne de Céret, 12 juin-19 septembre 2004, La Piscine-Musée d'art et d'industrie André Diligent de Roubaix, 9 octobre 2004-9 janvier 2005, Gallimard, Paris : 2004, pp. 79 et 84.

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