A SET OF SANCAI-GLAZED POTTERY FURNITURE AND OFFERINGS, MING DYNASTY ENSEMBLE DE…
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A SET OF SANCAI-GLAZED POTTERY FURNITURE AND OFFERINGS, MING DYNASTY

ENSEMBLE DE MEUBLES ET D'OFFRES EN POTERIE GLAÇÉE SANCAÏ, DYNASTIE MING Chine, 1368-1644. Comprenant deux fauteuils pliants à dossier en fer à cheval (jiao yi) et une table d'autel avec six plateaux d'offrandes séparés comprenant une tête de cochon, un poulet, des pêches et des noix, tous diversement émaillés en vert, ambre et crème, et certaines pièces avec un pigment rouge foncé supplémentaire. (9) Provenance : Un collectionneur privé notable de Kensington, Londres, Royaume-Uni. Condition : Usure ancienne et défauts de cuisson, tels que des grains de four, des fissures de cuisson et des creux de glaçure. Petites pertes. Les chaises avec des réparations et des retouches mineures anciennes. Dans l'ensemble, comme prévu, proportionnel à l'âge et se présentant très bien. Poids : 2 157 g (la table), 501,8 g et 535,2 g (les chaises), 757 g (les offrandes) Dimensions : Dimensions : 28,2 x 17 x 13,4 cm (la table), hauteur 17,2 cm et 17,4 cm (les chaises) Note de l'expert: Selon Jessica Harrison-Hall, chef de la section Chine, conservatrice de la céramique et des arts décoratifs chinois au British Museum, des " modèles apparentés de fauteuils pliants en métal, en pierre et en bois ont été exhumés de tombes du milieu et de la fin des Ming ". De tels fauteuils semblent avoir été fréquemment placés dans ces tombes, appartenant à des membres de l'aristocratie et de l'élite érudite. "Deux modèles de fauteuils pliants, l'un en bronze et l'autre en étain, ont été mis au jour dans le Ding Ling, la tombe de l'empereur Wanli (1573-1619). Un autre modèle similaire de fauteuil pliant avec un revêtement textile, taillé dans la pierre, a été excavé dans une tombe du comté de Tongliang, dans le Sichuan." Ce fauteuil a été découvert près d'une petite table rectangulaire chargée d'un assortiment de modèles de plats alimentaires, ce qui suggère que les fauteuils pliants étaient utilisés pour les repas. Comparaison avec la littérature : Comparez un fauteuil pliant à dossier en fer à cheval très proche, daté d'environ 1550-1600, dans la collection du British Museum, numéro de musée 1937,0716.135. Comparaison des résultats de vente aux enchères : Comparez un groupe apparenté, également à glaçure Sancai et daté de la dynastie Ming, chez Christie's New York dans la catégorie Céramiques, peintures et objets d'art chinois de qualité, le 21 septembre 2000, lot 305, vendu pour 4 465 USD. Une TVA de 5% ou 13% sera ajoutée au prix d'adjudication en plus de la prime de l'acheteur - uniquement pour les acheteurs de l'UE. 明代一組三彩祭祀用品 中國,1368-1644年。兩把馬蹄形折疊扶手椅(交椅)和一張祭桌,六個獨立的供品托盤,托盤中有一個豬頭、一隻雞、桃子和堅果,所有這些都用綠色、黃色和白色釉,還有一些深紅色。 (9) 來源:英國倫敦知名私人收藏 品相:舊時磨損和燒製缺陷,如窯灰、裂紋、釉面凹陷和小缺損。椅子有輕微維修和修飾。總體符合預期,與年齡相符。 重量:桌子2,157克,椅子分別為501.8克與535.2克,祭品757 克 尺寸:桌子28.2 x 17 x 13.4 厘米,椅子分別高 17.2 厘米與17.4 厘米 專家注釋:據大英博物館中國部負責人、中國陶瓷與裝飾藝術館館長JessicaHarrison-Hall介紹, "明中後期墓葬中出土了金屬、石頭和木材製成的折疊扶手椅模型"。這些椅子似乎經常被放置在這些墓中,屬於貴族和文人的專用。"在萬曆皇帝(1573-1619)陵墓中出土了兩種折疊扶手椅,一種是青銅,一種是錫。另一種類似的折疊扶手椅模型,由石頭雕刻而成,帶有紡織覆蓋物,是從四川銅梁縣的一座墓葬中出土的。" 這把椅子是在一個小長方形桌子附近發現的,桌子上放著各種各樣的食物模型,這表明折疊扶手椅是用來吃飯時使用的。 拍賣結果比較:比較一件相近明代三彩組,見紐約佳士得Céramique chinoise fine, Tableaux et objets d'art 2000年9月21日 lot 305, 售價USD 4,465。

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JEAN BAPTISTE CORNEILLE (PARIS, 1649-1695) ALEXANDRE FAISANT BOIRE SES SOLDATS Toile Restaurations anciennes Alexander making his soldiers drink, canvas, with restorations 301 x 431 CM - 118 x 169,6 IN. Provenance Très probablement collection de Jean-Baptiste Colbert (1619-1683), un tableau de ce sujet est mentionné dans la grande salle du château de Sceaux, dans son inventaire après décès rédigé par Charles Le Brun après septembre 1683 (voir Bibliographie, J.-C. Boyer, op. supra., 2014) ; Probablement collection de Louis-Philippe Ier ; vente en 1848 au marquis de Courtilloles (acheté 1 000 francs-or), selon une tradition familiale ; Collection du marquis de Courtilloles, château de Courtilloles, Sarthes ; Vente de l'entier mobilier du château de Courtilloles, L'Isle-Adam (Me Elkaïm), 20 juin 1993, n° 172 (Attribué à Charles Le Brun, 2 millions de francs) ; Galerie Jean Pierre Gros, Paris, Carré Rive Gauche en 2014. Bibliographie F. de P. et A.S., Découvert - Un tableau de Le Brun reste en France, dans Le Figaro, 22 juin 1993 ; C. Lebrun-Jouve, Deux têtes pour un seul Corneille : Jean-Baptiste, dans Album amicorum. Œuvres choisies pour Arnauld Bréjon de Lavergnée, Trouville, 2012, cité p. 114-115, reproduction d'un détail fig. 2 (Jean-Baptiste Corneille) ; E. Coquery, Charles Errard ca.1601-1689. La noblesse du décor, Paris, 2013, n° PcE. 3, cité p. 192, reproduit en couleur p. 194 (Jean Baptiste Corneille sous la direction de Charles Errard) ; J. C. Boyer, Some identifications of paintings in the collection of 'le grand Colbert dans The Burlington Magazine, avril 2014, cité p. 214, reproduit fig. 6. Cette somptueuse composition s'insère bien dans les séries de grandes peintures d'histoire réalisées sous le règne de Louis XIV, dans la lignée des cartons de tapisserie de La Vie d'Alexandre le Grand de Charles Le Brun (musée du Louvre) destinés à la manufacture des Gobelins. Notre toile a été découverte lors d'une vente en 1993, proposée alors sous le nom de Charles Le Brun, ensuite rendue à Jean-Baptiste Corneille par Jean-Claude Boyer dès 1994, puis par Jean-Pierre Cuzin, et mise en rapport avec un dessin préparatoire par Claudine Lebrun-Jouve. Emmanuel Coquery a proposé qu'elle ait été réalisée durant le séjour de l'artiste à Rome, sous la direction du Charles Errard, mais aucun document d'archives n'ai venu accréditer cette hypothèse basée sur des considérations stylistiques. Un autre grand format, son pendant possible, Dinocrate présente à Alexandre son projet pour le mont Athos (collection Louis-Phiippe), a été vendu dans nos salles en 2008 (vente Tajan du 26 juin 2008, n° 60. Les deux œuvres auraient appartenu à la collection de Louis Philippe puis auraient été séparées en 1848. Elles sont réunies par le marquis de Courtilloles et sont de nouveau séparées en 1993). Pour se démarquer de Le Brun, Jean-Baptiste Corneille choisit un épisode peu représenté, tiré de l'Histoire d'Alexandre le Grand de Quinte-Curce (Livre VII). Après avoir passé onze jours à chevaucher à la poursuite de Bessos, le satrape de Bactriane sous le règne de Darius III, l'eau vient à manquer pour Alexandre et ses hommes. Sur leur chemin, ils rencontrent deux courtisans venus en apporter à leurs fils engagés dans l'armée macédonienne. Voyant le souverain accablé par la soif, ils lui offrent leur eau. Ne pouvant se résoudre à la boire seul et sachant qu'une si petite quantité ne suffirait pas pour tous, il refuse. Frappés par sa grandeur d'âme, les soldats retrouvèrent leur courage et jurèrent de le suivre où il irait. Le sujet met en valeur l'abnégation et le sacrifice du chef de guerre. D'un geste symbolique, il repousse la coupe remplie et désigne de l'autre main son armée, au nom de laquelle il se doit se sacrifier. Jean-Baptiste Corneille appartient à une dynastie d'artistes. Comme son frère aîné Michel II (1642-1708), il se forme auprès de son père Michel I Corneille (1602-1664) qui fut, un temps, un collaborateur de Simon Vouet. En 1665, il complète sa formation à Rome, devenant ainsi l'un des premiers pensionnaires de l'Académie en Italie. Durant son long séjour, de 1665 à 1671, Charles Errard le charge de copier les fresques de la Galerie Farnèse, pour le décor de la Galerie des Ambassadeurs du Palais des Tuileries. Quelques années après son retour en France, en 1675, il donne son morceau de réception La Punition de Busiris par Hercule, aujourd'hui conservé aux Beaux-Arts de Paris. En 1679, il réalise pour le May de Notre-Dame La Libération de Saint-Pierre. La fin de sa courte vie est marquée par une importante activité et une évolution de sa manière, plus libre et tourmentée. Il est nommé professeur-adjoint en 1684, année où il termine un Saint Roch pour le Grand Commun de Versailles, aujourd'hui conservé à l'église de Mouriès. Il devient professeur en 1692. Influencé par Le Brun et Giulio Roma