Null Joseph Antoine Bernard (1866-1931) 

Danseuse nue

Bronze à patine brune

S…
Description

Joseph Antoine Bernard (1866-1931) Danseuse nue Bronze à patine brune Signé " J Bernard " sur la terrasse Porte le cachet du fondeur " CIRE PERDUE A.A. HEBRARD " et le n° " (6) " H. 31,5 cm Cette gracieuse figure féminine, sur la pointe des pieds, le dos cambré, le bras gauche élégamment levé, synthétise tout le style si personnel de Joseph Bernard prenant sa source dans l’ode au corps féminin en mouvement, libéré des canons aca- démiques. Alors que Joseph Bernard explore intensément le thème de la danse avant la première Guerre mondiale, il aime travailler sur l’association de petites figures en groupe, jouant sur la pluralité des gestes et l’unité du groupe. Notre petite figure à la silhouette longiligne correspond au modèle créé en 1905 qu’il a utilisé trois fois, déclinant trois mouvements consécutifs, pour réaliser les trois danseuses de son célèbre groupe intitulé Danse des roses. Tout comme ce groupe, la figure isolée a été éditée par le célèbre marchand d’art et collectionneur, Adrien-Aurélien Hébrard qui passe un contrat avec l’artiste dès 1908 pour s’occuper de la commercialisation d’un ensemble de sculptures de petites dimensions. Alors que le premier bronze de La Danse des Roses est présenté au Salon d’Automne de 1912, il semble que la fonte de la figure isolée soit envisagée postérieurement, en 1914. Le nombre d’exemplaires tirés par Hébrard est inconnu, mais l’auteur du catalogue raisonné datant de 1989 indiquait « qu’à sa connaissance » il en existait au moins trois épreuves. Notre exemplaire porte le n°6. Littérature en rapport : R. Jullian, J Bernard, L. Stoenesco, P. G. Gervaise, Joseph Bernard, Fondation de Coubertin, 1989, cat. n°76, p.281.

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Joseph Antoine Bernard (1866-1931) Danseuse nue Bronze à patine brune Signé " J Bernard " sur la terrasse Porte le cachet du fondeur " CIRE PERDUE A.A. HEBRARD " et le n° " (6) " H. 31,5 cm Cette gracieuse figure féminine, sur la pointe des pieds, le dos cambré, le bras gauche élégamment levé, synthétise tout le style si personnel de Joseph Bernard prenant sa source dans l’ode au corps féminin en mouvement, libéré des canons aca- démiques. Alors que Joseph Bernard explore intensément le thème de la danse avant la première Guerre mondiale, il aime travailler sur l’association de petites figures en groupe, jouant sur la pluralité des gestes et l’unité du groupe. Notre petite figure à la silhouette longiligne correspond au modèle créé en 1905 qu’il a utilisé trois fois, déclinant trois mouvements consécutifs, pour réaliser les trois danseuses de son célèbre groupe intitulé Danse des roses. Tout comme ce groupe, la figure isolée a été éditée par le célèbre marchand d’art et collectionneur, Adrien-Aurélien Hébrard qui passe un contrat avec l’artiste dès 1908 pour s’occuper de la commercialisation d’un ensemble de sculptures de petites dimensions. Alors que le premier bronze de La Danse des Roses est présenté au Salon d’Automne de 1912, il semble que la fonte de la figure isolée soit envisagée postérieurement, en 1914. Le nombre d’exemplaires tirés par Hébrard est inconnu, mais l’auteur du catalogue raisonné datant de 1989 indiquait « qu’à sa connaissance » il en existait au moins trois épreuves. Notre exemplaire porte le n°6. Littérature en rapport : R. Jullian, J Bernard, L. Stoenesco, P. G. Gervaise, Joseph Bernard, Fondation de Coubertin, 1989, cat. n°76, p.281.

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