Null Jean-Baptiste André Gautier-Dagoty (1738/39-1786) 
Françoise d’Issembourg d…
Description

Jean-Baptiste André Gautier-Dagoty (1738/39-1786) Françoise d’Issembourg d’Appencourt [d’Happoncourt], dame de Graffigny. (Pl. de la Galerie françoise, ou Portraits des hommes et des femmes célèbres qui ont paru en France, 1770). Manière noire d’après J.-B. Garand. 207 x 255. Singer 76 ; I.F.F. 80. Belle épreuve sur vergé, d’un état non décrit par Singer, avant la lettre. Larges rousseurs claires éparses. Petite auréole d’humidité au bord droit. Petite tache d’encre bleu foncé sur le coup de planche au centre à droite. Petit manque dans l’angle inférieur gauche du feuillet. Belles marges. Françoise d’Issembourg du Buisson d’Happoncourt, épouse de Graffigny, née en 1695 à Nancy et morte en 1758 à Paris, est une femme de lettres lorraine. Elle était l’arrière-petite-nièce de Jacques Callot. Entourée de philosophes et de poètes, elle tenait un salon très fréquenté sur la rue Neuve-des-Capucins, à Paris, qui réunissait des gens de lettres tels que Voltaire, madame du Châtelet, Diderot, Fontenelle, Montesquieu et le président Hénault. Elle devint célèbre en publiant ses Lettres d’une Péruvienne en 1747, qui connurent 42 réimpressions jusqu’à la fin du siècle.

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Jean-Baptiste André Gautier-Dagoty (1738/39-1786) Françoise d’Issembourg d’Appencourt [d’Happoncourt], dame de Graffigny. (Pl. de la Galerie françoise, ou Portraits des hommes et des femmes célèbres qui ont paru en France, 1770). Manière noire d’après J.-B. Garand. 207 x 255. Singer 76 ; I.F.F. 80. Belle épreuve sur vergé, d’un état non décrit par Singer, avant la lettre. Larges rousseurs claires éparses. Petite auréole d’humidité au bord droit. Petite tache d’encre bleu foncé sur le coup de planche au centre à droite. Petit manque dans l’angle inférieur gauche du feuillet. Belles marges. Françoise d’Issembourg du Buisson d’Happoncourt, épouse de Graffigny, née en 1695 à Nancy et morte en 1758 à Paris, est une femme de lettres lorraine. Elle était l’arrière-petite-nièce de Jacques Callot. Entourée de philosophes et de poètes, elle tenait un salon très fréquenté sur la rue Neuve-des-Capucins, à Paris, qui réunissait des gens de lettres tels que Voltaire, madame du Châtelet, Diderot, Fontenelle, Montesquieu et le président Hénault. Elle devint célèbre en publiant ses Lettres d’une Péruvienne en 1747, qui connurent 42 réimpressions jusqu’à la fin du siècle.

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