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Description

Jean COCTEAU. 3 autographes manuscrits dont un signé. [1941-1946] 4 pages 4to. 270x210 mm. Écriture en cursive facile à lire, encre brune. Sur la première page, il présente son travail de costumier et de décorateur pour "La Main Passe" de Georges Feydeau, jouée au Théâtre des Mathurins en février 1941. Sur les deux autres pages, il parle de l'actrice Eileen Herlie qui jouera L'Aigle à deux têtes à Londres en 1948, et du ballet Le Jeune Homme et la Mort : "Désirant pour Le Jeune Homme et la Mort une grande musique de fond et refusant le sacrilège de traduire Bach en chorégraphie, j'ai fait répéter mes artistes sur des rythmes modernes. C'est sur ces rythmes dont j'ai supprimé la musique (et que le public ne doit pas connaître), que se déploie la sublime musique de Bach... "Le dernier autographe, qui commence par "Mesdames Messieurs" contient un éloge de Colette, grande amie de Cocteau. Il s'agit de la première version du discours qu'il prononça lorsqu'il devint membre de la Société des Gens de Lettres, sur la recommandation d'Anatole France et de Jules Lemaitre, expressément cités comme "mes premiers parrains". Trois autographes manuscrits, dont un signé [1941-1946]. 4 pages in 4to. 270x210mm. Écriture en cursive facile à lire, encre brune. Deux courts textes, en trois pagesLa première page présente son travail de costumier et de décorateur pour "La Main Passe" de Georges Feydeau, jouée au théâtre des Mathurins en février 1941. Sur les deux autres pages, il parle de l'actrice Eileen Herlie qui jouera L'Aigle à deux têtes à Londres en 1948, et du ballet Le Jeune Homme et la Mort : "Voulant une grande musique de fond pour Le Jeune Homme et la Mort et refusant le sacrilège de traduire Bach en chorégraphie, j'ai fait répéter mes artistes sur des rythmes modernes. C'est sur ces rythmes dont j'ai supprimé la musique (et que le public ne doit pas connaître), que se déploie la sublime musique de Bach..." Le dernier autographe, qui commence par "Mesdames Messieurs" contient un éloge de Colette, grande amie de Cocteau. Il s'agit de la première version du discours qu'il prononça lorsqu'il devint membre de la Société des Gens de Lettres, sur la recommandation d'Anatole France et de Jules Lemaitre, expressément appelés " mes premiers parrains ".

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Jean COCTEAU. 3 autographes manuscrits dont un signé. [1941-1946] 4 pages 4to. 270x210 mm. Écriture en cursive facile à lire, encre brune. Sur la première page, il présente son travail de costumier et de décorateur pour "La Main Passe" de Georges Feydeau, jouée au Théâtre des Mathurins en février 1941. Sur les deux autres pages, il parle de l'actrice Eileen Herlie qui jouera L'Aigle à deux têtes à Londres en 1948, et du ballet Le Jeune Homme et la Mort : "Désirant pour Le Jeune Homme et la Mort une grande musique de fond et refusant le sacrilège de traduire Bach en chorégraphie, j'ai fait répéter mes artistes sur des rythmes modernes. C'est sur ces rythmes dont j'ai supprimé la musique (et que le public ne doit pas connaître), que se déploie la sublime musique de Bach... "Le dernier autographe, qui commence par "Mesdames Messieurs" contient un éloge de Colette, grande amie de Cocteau. Il s'agit de la première version du discours qu'il prononça lorsqu'il devint membre de la Société des Gens de Lettres, sur la recommandation d'Anatole France et de Jules Lemaitre, expressément cités comme "mes premiers parrains". Trois autographes manuscrits, dont un signé [1941-1946]. 4 pages in 4to. 270x210mm. Écriture en cursive facile à lire, encre brune. Deux courts textes, en trois pagesLa première page présente son travail de costumier et de décorateur pour "La Main Passe" de Georges Feydeau, jouée au théâtre des Mathurins en février 1941. Sur les deux autres pages, il parle de l'actrice Eileen Herlie qui jouera L'Aigle à deux têtes à Londres en 1948, et du ballet Le Jeune Homme et la Mort : "Voulant une grande musique de fond pour Le Jeune Homme et la Mort et refusant le sacrilège de traduire Bach en chorégraphie, j'ai fait répéter mes artistes sur des rythmes modernes. C'est sur ces rythmes dont j'ai supprimé la musique (et que le public ne doit pas connaître), que se déploie la sublime musique de Bach..." Le dernier autographe, qui commence par "Mesdames Messieurs" contient un éloge de Colette, grande amie de Cocteau. Il s'agit de la première version du discours qu'il prononça lorsqu'il devint membre de la Société des Gens de Lettres, sur la recommandation d'Anatole France et de Jules Lemaitre, expressément appelés " mes premiers parrains ".

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