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Description

Pendentif A Baule, "srala Pendentif pour bijoux, "srala Baule, Côte d'Ivoire Sans base / without base Alliage d'or de faible titre avec une surface de titre supérieur. H 4 cm. Provenance : - Jean-Louis Rinsoz (1932-1971), Vevey. - Héritiers Jean-Louis Rinsoz, Suisse romande. Des éléments décoratifs plats et rectangulaires ("srala") représentent des miniatures de boucliers tressés ou de portes tressées. Porté sur la poitrine, ce précieux bijou protège ceux qui le portent ("shield bead") et symbolise le fait qu'ils peuvent s'ouvrir ou se fermer à l'autre selon la situation ("door bead"). ----------------------------------------------------- Pendant des siècles, le précieux métal précieux de l'ancienne "côte d'or" de l'Afrique a suscité l'intérêt et le désir des commerçants africains et européens. Le commerce a permis l'émergence d'États puissants dont la richesse et l'habileté dans le travail de l'or sont devenues légendaires. Les cours royales locales ont ainsi vu naître des bijoux de maître, souvent fabriqués selon le procédé de la cire perdue. Aujourd'hui encore, les bijoux en or sont le signe du rang et de l'appartenance des familles royales. La force d'expression de ces pièces uniques reflète la riche métaphore des Akan et se fonde sur la tradition de l'art oratoire très apprécié. Les motifs représentés font toujours référence à des personnes, des animaux ou des objets qui représentent de manière allégorique des qualités louables et des maximes. Littérature complémentaire : Ross, Doran et Eisner, Georg (2008). L'or des Akan. Musée Liaunig. Neuhaus : Museumsverwaltung GmbH. ----------------------------------------------------- Jean-Louis Rinsoz Jean-Louis Rinsoz est né en 1932 à Vevey. Après avoir terminé sa scolarité, il a étudié les sciences économiques à l'Université de Lausanne (Faculté d'économie d'entreprise, HEC) avant d'entrer dans l'entreprise familiale "Rinsoz et Ormond SA" à Vevey, qui fabriquait du tabac, des cigares et des cigarettes. Profondément attaché à sa région d'origine, il a toujours été fortement impliqué dans les activités sociales, culturelles et industrielles de Vevey. Afin de diversifier les sources d'approvisionnement en tabac et de répondre aux exigences croissantes d'un marché en pleine expansion, Jean-Louis Rinsoz a cherché de nouveaux espaces de production. Ses voyages l'ont d'abord conduit dans le Maryland (États-Unis) puis, au milieu des années 1960, en Côte d'Ivoire. Ce pays a été pour lui une révélation. Tout ce qui le passionnait était là : la nature, les gens et leur culture ! Outre le développement d'un important partenariat économique avec l'État ivoirien, à travers la création de plusieurs centres de production de tabac là-bas, Jean-Louis Rinsoz a financé l'ouverture d'une série de petites écoles pour permettre aux enfants de ce pays d'accéder à l'éducation. Il a été officiellement nommé par l'État ivoirien "Consul honoraire de Côte d'Ivoire en Suisse avec résidence à Vevey" et a même été intronisé chef de village dans la région du Baoulé. L'art traditionnel de ces régions le fascinait tout autant, dans sa dimension sociale, esthétique et religieuse. C'est dans ce contexte qu'il a rencontré l'ethnologue et historien de l'art Bohumil Holas, alors directeur du Musée des civilisations de Côte d'Ivoire à Abidjan. Les deux hommes sont devenus amis. De la confluence de tous ces facteurs est née l'exposition "Arts de la Côte d'Ivoire. Les trésors du Musée d'Abidjan", qui s'est tenue en 1969 au Musée des Beaux-Arts de Vevey. Jean-Louis Rinsoz en était le président du comité. L'émouvante préface qu'il a écrite pour le catalogue de cette manifestation témoigne de son profond attachement à ce pays. Jean-Louis Rinsoz avait demandé la nationalité ivoirienne. Il ne devait jamais voir ce jour, puisqu'il est décédé dans un tragique accident en 1971. Les objets africains de la collection personnelle de Jean-Louis Rinsoz étaient depuis lors en possession de la famille et ce "trésor de Vevey" sera proposé pour la première fois aux collectionneurs internationaux d'art traditionnel africain lors de notre vente aux enchères. CHF 400 / 800 Poids en grammes : 10 État L'état de ce lot (usure, traces d'utilisation, déchirures, autres détériorations éventuelles et les traces d'ancienneté, etc. ) est visible sur les photos que nous avons téléchargées pour votre documentation. N'hésitez pas à contacter Hammer Auctions pour toute question concernant ce lot ([email protected]). Les informations relatives à l'état des objets, fournies par souci de pertinence aux personnes intéressées, ne sont qu'une opinion et ne doivent pas être traitées comme des affirmations de fait. Hammer Auctions décline toute responsabilité en cas d'erreur ou d'omission. Dans le cas rare où l'article ne correspond pas à la description du catalogue, Hammer Auctions est là pour vous aider. Les acheteurs peuvent acheter le lot pour un prix entièrement

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Pendentif A Baule, "srala Pendentif pour bijoux, "srala Baule, Côte d'Ivoire Sans base / without base Alliage d'or de faible titre avec une surface de titre supérieur. H 4 cm. Provenance : - Jean-Louis Rinsoz (1932-1971), Vevey. - Héritiers Jean-Louis Rinsoz, Suisse romande. Des éléments décoratifs plats et rectangulaires ("srala") représentent des miniatures de boucliers tressés ou de portes tressées. Porté sur la poitrine, ce précieux bijou protège ceux qui le portent ("shield bead") et symbolise le fait qu'ils peuvent s'ouvrir ou se fermer à l'autre selon la situation ("door bead"). ----------------------------------------------------- Pendant des siècles, le précieux métal précieux de l'ancienne "côte d'or" de l'Afrique a suscité l'intérêt et le désir des commerçants africains et européens. Le commerce a permis l'émergence d'États puissants dont la richesse et l'habileté dans le travail de l'or sont devenues légendaires. Les cours royales locales ont ainsi vu naître des bijoux de maître, souvent fabriqués selon le procédé de la cire perdue. Aujourd'hui encore, les bijoux en or sont le signe du rang et de l'appartenance des familles royales. La force d'expression de ces pièces uniques reflète la riche métaphore des Akan et se fonde sur la tradition de l'art oratoire très apprécié. Les motifs représentés font toujours référence à des personnes, des animaux ou des objets qui représentent de manière allégorique des qualités louables et des maximes. Littérature complémentaire : Ross, Doran et Eisner, Georg (2008). L'or des Akan. Musée Liaunig. Neuhaus : Museumsverwaltung GmbH. ----------------------------------------------------- Jean-Louis Rinsoz Jean-Louis Rinsoz est né en 1932 à Vevey. Après avoir terminé sa scolarité, il a étudié les sciences économiques à l'Université de Lausanne (Faculté d'économie d'entreprise, HEC) avant d'entrer dans l'entreprise familiale "Rinsoz et Ormond SA" à Vevey, qui fabriquait du tabac, des cigares et des cigarettes. Profondément attaché à sa région d'origine, il a toujours été fortement impliqué dans les activités sociales, culturelles et industrielles de Vevey. Afin de diversifier les sources d'approvisionnement en tabac et de répondre aux exigences croissantes d'un marché en pleine expansion, Jean-Louis Rinsoz a cherché de nouveaux espaces de production. Ses voyages l'ont d'abord conduit dans le Maryland (États-Unis) puis, au milieu des années 1960, en Côte d'Ivoire. Ce pays a été pour lui une révélation. Tout ce qui le passionnait était là : la nature, les gens et leur culture ! Outre le développement d'un important partenariat économique avec l'État ivoirien, à travers la création de plusieurs centres de production de tabac là-bas, Jean-Louis Rinsoz a financé l'ouverture d'une série de petites écoles pour permettre aux enfants de ce pays d'accéder à l'éducation. Il a été officiellement nommé par l'État ivoirien "Consul honoraire de Côte d'Ivoire en Suisse avec résidence à Vevey" et a même été intronisé chef de village dans la région du Baoulé. L'art traditionnel de ces régions le fascinait tout autant, dans sa dimension sociale, esthétique et religieuse. C'est dans ce contexte qu'il a rencontré l'ethnologue et historien de l'art Bohumil Holas, alors directeur du Musée des civilisations de Côte d'Ivoire à Abidjan. Les deux hommes sont devenus amis. De la confluence de tous ces facteurs est née l'exposition "Arts de la Côte d'Ivoire. Les trésors du Musée d'Abidjan", qui s'est tenue en 1969 au Musée des Beaux-Arts de Vevey. Jean-Louis Rinsoz en était le président du comité. L'émouvante préface qu'il a écrite pour le catalogue de cette manifestation témoigne de son profond attachement à ce pays. Jean-Louis Rinsoz avait demandé la nationalité ivoirienne. Il ne devait jamais voir ce jour, puisqu'il est décédé dans un tragique accident en 1971. Les objets africains de la collection personnelle de Jean-Louis Rinsoz étaient depuis lors en possession de la famille et ce "trésor de Vevey" sera proposé pour la première fois aux collectionneurs internationaux d'art traditionnel africain lors de notre vente aux enchères. CHF 400 / 800 Poids en grammes : 10 État L'état de ce lot (usure, traces d'utilisation, déchirures, autres détériorations éventuelles et les traces d'ancienneté, etc. ) est visible sur les photos que nous avons téléchargées pour votre documentation. N'hésitez pas à contacter Hammer Auctions pour toute question concernant ce lot ([email protected]). Les informations relatives à l'état des objets, fournies par souci de pertinence aux personnes intéressées, ne sont qu'une opinion et ne doivent pas être traitées comme des affirmations de fait. Hammer Auctions décline toute responsabilité en cas d'erreur ou d'omission. Dans le cas rare où l'article ne correspond pas à la description du catalogue, Hammer Auctions est là pour vous aider. Les acheteurs peuvent acheter le lot pour un prix entièrement

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A Baule Seated Figure Baule, Côte d’Ivoire Ohne Sockel / without base Holz. H 49 cm. Provenienz: - Centre des Sciences Humaines, Abidjan. - 1969: Jean-Louis Rinsoz (1932-1971), Vevey. - Erben Jean-Louis Rinsoz, Westschweiz. Ausgestellt: Africa 69, Arts de la Côte-d'Ivoire et de l'Afrique occidentale. Vevey (1969). „Ohne schöne Dinge können wir nicht leben“ – dieses Bekenntnis eines Baule könnte auch aus dem Munde eines westlichen Kunstliebhabers stammen. Sich mit reizvollen Objekten zu umgeben war den Baule in der Côte d’Ivoire ein ähnlich grundlegendes Anliegen wie westlichen Sammlern afrikanischer Kunst. Diese Lebensauffassung der Baule äusserte sich in fein gearbeiteten Ritualfiguren ebenso wie in liebevoll verzierten Gebrauchsgegenständen. Die liebevollen blolo-bla- und blolo-bian-Figuren gründen auf der Vorstellung, dass jeder Baule im Jenseits (blolo = andere Welt) einen spirituellen Partner, d.h. eine Ehefrau (bla) oder einen Ehemann (bian), hat und bestrebt sein muss, mit diesem in bester Beziehung zu leben. Gelingt ihm dies nicht, macht ihm sein Jenseits-Partner das Leben schwer. Die eher beopferten „Wahrsage-Figuren“ werden asye-usu genannt und stehen in Verbindung zu sämtlichen ungezähmten Dingen der Natur. Sie wurden bei rituellen Handlungen zur Erlangung der Aufmerksamkeit der Buschgeister eingesetzt. Diese omnipräsenten Wesen galt es stets zu besänftigen, auch weil sie als äusserst launisch galten und gelegentlich Besitz von Unvorsichtigen ergreifen konnten. Weiterführende Literatur: Vogel, Susan M. (1997). Baule. Yale: University Press. ----------------------------------------------------- Jean-Louis Rinsoz Jean-Louis Rinsoz wurde 1932 in Vevey geboren. Nach Abschluss seiner Schulzeit studierte er Wirtschaftswissenschaften an der Universität Lausanne (Fakultät für Betriebswirtschaftslehre, HEC), bevor er in das Familienunternehmen "Rinsoz et Ormond SA" in Vevey eintrat, das Tabak, Zigarren und Zigaretten herstellte. Tief mit seiner Heimatregion verbunden, war er stets stark in die sozialen, kulturellen und industriellen Aktivitäten von Vevey eingebunden. Um die Tabaklieferquellen zu diversifizieren und die wachsenden Anforderungen eines expandierenden Marktes zu erfüllen, suchte Jean-Louis Rinsoz nach neuen Produktionsflächen. Seine Reisen führten ihn zunächst nach Maryland (USA) und dann, Mitte der 1960er Jahre, nach Côte d'Ivoire. Dieses Land war für ihn eine Offenbarung. Alles, wofür er sich begeisterte, war dort: die Natur, die Menschen und ihre Kultur! Neben der Entwicklung einer bedeutenden wirtschaftlichen Partnerschaft mit dem ivorischen Staat durch die Einrichtung mehrerer Tabakproduktionszentren dort finanzierte Jean-Louis Rinsoz die Eröffnung einer Reihe kleiner Schulen, um den Kindern dieses Landes den Zugang zur Bildung zu ermöglichen. Er wurde vom ivorischen Staat offiziell als "Honorarkonsul der Côte d'Ivoire in der Schweiz mit Sitz in Vevey" ernannt und sogar als Dorfchef in der Baoulé-Region eingeweiht. Die traditionelle Kunst dieser Regionen faszinierte ihn ebenso sehr, in ihrer sozialen, ästhetischen und religiösen Dimension. In diesem Kontext traf er den Ethnologen und Kunsthistoriker Bohumil Holas, der damals Direktor des Museums der Zivilisationen von Côte d'Ivoire in Abidjan war. Die beiden Männer wurden Freunde. Aus dem Zusammenfluss all dieser Faktoren entstand die Ausstellung "Arts de la Côte d'Ivoire. Die Schätze des Abidjan Museums", die 1969 im Museum der Schönen Künste in Vevey stattfand. Jean-Louis Rinsoz war der Vorsitzende des Komitees. Das bewegende Vorwort, das er für den Katalog zu dieser Veranstaltung schrieb, zeugt von seiner tiefen Verbundenheit mit diesem Land. Jean-Louis Rinsoz hatte die ivorische Staatsbürgerschaft beantragt. Er sollte diesen Tag nie erleben, da er 1971 bei einem tragischen Unfall ums Leben kam. CHF 20 000 / 30 000 Gewicht in Gramm: 2100 Zustand: Der Zustand (allfällige Abnutzung, Gebrauchsspuren, Risse, eventuelle andere Beeinträchtigungen und die Altersspuren usw.) dieses Lots ist auf den Fotos, die wir für Ihre Dokumentation hochgeladen haben, zu sehen. Für alle Fragen zu diesem Objekt steht Ihnen Hammer Auktionen gerne zur Verfügung ([email protected]). Die Angaben zum Zustand der Objekte, die aus Sachdienlichkeit gegenüber den Interessenten gemacht wurden, sind nur eine Meinung und sollten nicht als Tatsachenbehauptung behandelt werden. Hammer Auktionen übernimmt keine Verantwortung für etwaige Fehler oder Unterlassungen. Im seltenen Fall, dass der Artikel nicht mit der Beschreibung im Katalog übereinstimmt, ist Hammer Auktionen hier, um zu helfen. Käufer können das Lot gegen volle Rückerstattung zurückgeben, sofern sie Hammer Auktionen innerhalb von 5 Tagen nach Erhalt des Lots benachrichtigen.

A Baule Figure, "blolo bla" Baule, Côte d’Ivoire Mit Sockel / with base Holz. H 52 cm. Provenienz: - Centre des Sciences Humaines, Abidjan. - 1969: Jean-Louis Rinsoz (1932-1971), Vevey. - Erben Jean-Louis Rinsoz, Westschweiz. Ausgestellt: Africa 69, Arts de la Côte-d'Ivoire et de l'Afrique occidentale. Vevey (1969). „Ohne schöne Dinge können wir nicht leben“ – dieses Bekenntnis eines Baule könnte auch aus dem Munde eines westlichen Kunstliebhabers stammen. Sich mit reizvollen Objekten zu umgeben war den Baule in der Côte d’Ivoire ein ähnlich grundlegendes Anliegen wie westlichen Sammlern afrikanischer Kunst. Diese Lebensauffassung der Baule äusserte sich in fein gearbeiteten Ritualfiguren ebenso wie in liebevoll verzierten Gebrauchsgegenständen. Die liebevollen blolo-bla- und blolo-bian-Figuren gründen auf der Vorstellung, dass jeder Baule im Jenseits (blolo = andere Welt) einen spirituellen Partner, d.h. eine Ehefrau (bla) oder einen Ehemann (bian), hat und bestrebt sein muss, mit diesem in bester Beziehung zu leben. Gelingt ihm dies nicht, macht ihm sein Jenseits-Partner das Leben schwer. Die eher beopferten „Wahrsage-Figuren“ werden asye-usu genannt und stehen in Verbindung zu sämtlichen ungezähmten Dingen der Natur. Sie wurden bei rituellen Handlungen zur Erlangung der Aufmerksamkeit der Buschgeister eingesetzt. Diese omnipräsenten Wesen galt es stets zu besänftigen, auch weil sie als äusserst launisch galten und gelegentlich Besitz von Unvorsichtigen ergreifen konnten. Weiterführende Literatur: Vogel, Susan M. (1997). Baule. Yale: University Press. ----------------------------------------------------- Jean-Louis Rinsoz Jean-Louis Rinsoz wurde 1932 in Vevey geboren. Nach Abschluss seiner Schulzeit studierte er Wirtschaftswissenschaften an der Universität Lausanne (Fakultät für Betriebswirtschaftslehre, HEC), bevor er in das Familienunternehmen "Rinsoz et Ormond SA" in Vevey eintrat, das Tabak, Zigarren und Zigaretten herstellte. Tief mit seiner Heimatregion verbunden, war er stets stark in die sozialen, kulturellen und industriellen Aktivitäten von Vevey eingebunden. Um die Tabaklieferquellen zu diversifizieren und die wachsenden Anforderungen eines expandierenden Marktes zu erfüllen, suchte Jean-Louis Rinsoz nach neuen Produktionsflächen. Seine Reisen führten ihn zunächst nach Maryland (USA) und dann, Mitte der 1960er Jahre, nach Côte d'Ivoire. Dieses Land war für ihn eine Offenbarung. Alles, wofür er sich begeisterte, war dort: die Natur, die Menschen und ihre Kultur! Neben der Entwicklung einer bedeutenden wirtschaftlichen Partnerschaft mit dem ivorischen Staat durch die Einrichtung mehrerer Tabakproduktionszentren dort finanzierte Jean-Louis Rinsoz die Eröffnung einer Reihe kleiner Schulen, um den Kindern dieses Landes den Zugang zur Bildung zu ermöglichen. Er wurde vom ivorischen Staat offiziell als "Honorarkonsul der Côte d'Ivoire in der Schweiz mit Sitz in Vevey" ernannt und sogar als Dorfchef in der Baoulé-Region eingeweiht. Die traditionelle Kunst dieser Regionen faszinierte ihn ebenso sehr, in ihrer sozialen, ästhetischen und religiösen Dimension. In diesem Kontext traf er den Ethnologen und Kunsthistoriker Bohumil Holas, der damals Direktor des Museums der Zivilisationen von Côte d'Ivoire in Abidjan war. Die beiden Männer wurden Freunde. Aus dem Zusammenfluss all dieser Faktoren entstand die Ausstellung "Arts de la Côte d'Ivoire. Die Schätze des Abidjan Museums", die 1969 im Museum der Schönen Künste in Vevey stattfand. Jean-Louis Rinsoz war der Vorsitzende des Komitees. Das bewegende Vorwort, das er für den Katalog zu dieser Veranstaltung schrieb, zeugt von seiner tiefen Verbundenheit mit diesem Land. Jean-Louis Rinsoz hatte die ivorische Staatsbürgerschaft beantragt. Er sollte diesen Tag nie erleben, da er 1971 bei einem tragischen Unfall ums Leben kam. CHF 2 000 / 4 000 Gewicht in Gramm: 1900 Zustand: Der Zustand (allfällige Abnutzung, Gebrauchsspuren, Risse, eventuelle andere Beeinträchtigungen und die Altersspuren usw.) dieses Lots ist auf den Fotos, die wir für Ihre Dokumentation hochgeladen haben, zu sehen. Für alle Fragen zu diesem Objekt steht Ihnen Hammer Auktionen gerne zur Verfügung ([email protected]). Die Angaben zum Zustand der Objekte, die aus Sachdienlichkeit gegenüber den Interessenten gemacht wurden, sind nur eine Meinung und sollten nicht als Tatsachenbehauptung behandelt werden. Hammer Auktionen übernimmt keine Verantwortung für etwaige Fehler oder Unterlassungen. Im seltenen Fall, dass der Artikel nicht mit der Beschreibung im Katalog übereinstimmt, ist Hammer Auktionen hier, um zu helfen. Käufer können das Lot gegen volle Rückerstattung zurückgeben, sofern sie Hammer Auktionen innerhalb von 5 Tagen nach Erhalt des Lots benachrichtigen.

A Baule Figure, "blolo bla" Baule, Côte d’Ivoire Mit Sockel / with base Holz, Textil. H 35 cm. Provenienz: - Centre des Sciences Humaines, Abidjan. - 1969: Jean-Louis Rinsoz (1932-1971), Vevey. - Erben Jean-Louis Rinsoz, Westschweiz. Ausgestellt: Africa 69, Arts de la Côte-d'Ivoire et de l'Afrique occidentale. Vevey (1969). „Ohne schöne Dinge können wir nicht leben“ – dieses Bekenntnis eines Baule könnte auch aus dem Munde eines westlichen Kunstliebhabers stammen. Sich mit reizvollen Objekten zu umgeben war den Baule in der Côte d’Ivoire ein ähnlich grundlegendes Anliegen wie westlichen Sammlern afrikanischer Kunst. Diese Lebensauffassung der Baule äusserte sich in fein gearbeiteten Ritualfiguren ebenso wie in liebevoll verzierten Gebrauchsgegenständen. Die liebevollen blolo-bla- und blolo-bian-Figuren gründen auf der Vorstellung, dass jeder Baule im Jenseits (blolo = andere Welt) einen spirituellen Partner, d.h. eine Ehefrau (bla) oder einen Ehemann (bian), hat und bestrebt sein muss, mit diesem in bester Beziehung zu leben. Gelingt ihm dies nicht, macht ihm sein Jenseits-Partner das Leben schwer. Die eher beopferten „Wahrsage-Figuren“ werden asye-usu genannt und stehen in Verbindung zu sämtlichen ungezähmten Dingen der Natur. Sie wurden bei rituellen Handlungen zur Erlangung der Aufmerksamkeit der Buschgeister eingesetzt. Diese omnipräsenten Wesen galt es stets zu besänftigen, auch weil sie als äusserst launisch galten und gelegentlich Besitz von Unvorsichtigen ergreifen konnten. Weiterführende Literatur: Vogel, Susan M. (1997). Baule. Yale: University Press. ----------------------------------------------------- Jean-Louis Rinsoz Jean-Louis Rinsoz wurde 1932 in Vevey geboren. Nach Abschluss seiner Schulzeit studierte er Wirtschaftswissenschaften an der Universität Lausanne (Fakultät für Betriebswirtschaftslehre, HEC), bevor er in das Familienunternehmen "Rinsoz et Ormond SA" in Vevey eintrat, das Tabak, Zigarren und Zigaretten herstellte. Tief mit seiner Heimatregion verbunden, war er stets stark in die sozialen, kulturellen und industriellen Aktivitäten von Vevey eingebunden. Um die Tabaklieferquellen zu diversifizieren und die wachsenden Anforderungen eines expandierenden Marktes zu erfüllen, suchte Jean-Louis Rinsoz nach neuen Produktionsflächen. Seine Reisen führten ihn zunächst nach Maryland (USA) und dann, Mitte der 1960er Jahre, nach Côte d'Ivoire. Dieses Land war für ihn eine Offenbarung. Alles, wofür er sich begeisterte, war dort: die Natur, die Menschen und ihre Kultur! Neben der Entwicklung einer bedeutenden wirtschaftlichen Partnerschaft mit dem ivorischen Staat durch die Einrichtung mehrerer Tabakproduktionszentren dort finanzierte Jean-Louis Rinsoz die Eröffnung einer Reihe kleiner Schulen, um den Kindern dieses Landes den Zugang zur Bildung zu ermöglichen. Er wurde vom ivorischen Staat offiziell als "Honorarkonsul der Côte d'Ivoire in der Schweiz mit Sitz in Vevey" ernannt und sogar als Dorfchef in der Baoulé-Region eingeweiht. Die traditionelle Kunst dieser Regionen faszinierte ihn ebenso sehr, in ihrer sozialen, ästhetischen und religiösen Dimension. In diesem Kontext traf er den Ethnologen und Kunsthistoriker Bohumil Holas, der damals Direktor des Museums der Zivilisationen von Côte d'Ivoire in Abidjan war. Die beiden Männer wurden Freunde. Aus dem Zusammenfluss all dieser Faktoren entstand die Ausstellung "Arts de la Côte d'Ivoire. Die Schätze des Abidjan Museums", die 1969 im Museum der Schönen Künste in Vevey stattfand. Jean-Louis Rinsoz war der Vorsitzende des Komitees. Das bewegende Vorwort, das er für den Katalog zu dieser Veranstaltung schrieb, zeugt von seiner tiefen Verbundenheit mit diesem Land. Jean-Louis Rinsoz hatte die ivorische Staatsbürgerschaft beantragt. Er sollte diesen Tag nie erleben, da er 1971 bei einem tragischen Unfall ums Leben kam. CHF 2 000 / 4 000 Gewicht in Gramm: 535 Zustand: Der Zustand (allfällige Abnutzung, Gebrauchsspuren, Risse, eventuelle andere Beeinträchtigungen und die Altersspuren usw.) dieses Lots ist auf den Fotos, die wir für Ihre Dokumentation hochgeladen haben, zu sehen. Für alle Fragen zu diesem Objekt steht Ihnen Hammer Auktionen gerne zur Verfügung ([email protected]). Die Angaben zum Zustand der Objekte, die aus Sachdienlichkeit gegenüber den Interessenten gemacht wurden, sind nur eine Meinung und sollten nicht als Tatsachenbehauptung behandelt werden. Hammer Auktionen übernimmt keine Verantwortung für etwaige Fehler oder Unterlassungen. Im seltenen Fall, dass der Artikel nicht mit der Beschreibung im Katalog übereinstimmt, ist Hammer Auktionen hier, um zu helfen. Käufer können das Lot gegen volle Rückerstattung zurückgeben, sofern sie Hammer Auktionen innerhalb von 5 Tagen nach Erhalt des Lots benachrichtigen.