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Diego Velázquez (1599-1660), copie après, ''Infanta Margarita Teresa (1651-1673) in a Pink Dress'', copie anonyme d'environ 1900 après l'original au Kunsthistorisches Museum de Vienne, huile sur toile, non signée, 112 x 86 cm, encadrée 128 x 103 cm

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Diego Velázquez (1599-1660), copie après, ''Infanta Margarita Teresa (1651-1673) in a Pink Dress'', copie anonyme d'environ 1900 après l'original au Kunsthistorisches Museum de Vienne, huile sur toile, non signée, 112 x 86 cm, encadrée 128 x 103 cm

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KAREL SVOBODA (Plánice, 1824 - Vienne, 1870) "Ésope", copie de DIEGO VELÁZQUEZ (Séville, 1599-1660) Huile sur toile. Relié. Signée dans le coin inférieur gauche. Légers repeints. Quelques défauts dans le cadre doré. Taches au dos. Dimensions : 180 x 94 cm ; 194 x 109 cm (cadre). Excellente copie de l'"Ésope" de Vélasquez (Museo del Prado), Karel Svoboda était un peintre renommé qui s'est fait connaître par sa virtuosité. Sa capacité à plonger dans le génie de Vélasquez est la preuve de sa valeur. L'"Ésope" de Velázquez a attiré l'attention dès son époque parce qu'il a renoncé aux costumes d'époque, l'habillant de haillons et de chaussures que porterait n'importe quel mendiant d'une ville espagnole de l'époque. En outre, la caractérisation réaliste de l'expression est subjuguante. Velázquez dépeint Ésope non seulement comme un conteur, mais aussi comme un philosophe et un penseur. L'austérité de ses vêtements et sa pose contemplative suggèrent une vie consacrée à la réflexion et à l'enseignement moral. Karel Svoboda était un peintre tchéco-autrichien qui peignait principalement des scènes historiques, réputées pour la précision de leurs détails. Il a travaillé à Prague et à Vienne. Très tôt orphelin, il s'installe chez son oncle Václav, professeur au Gymnase de Prague. Sous sa tutelle, Karel apprend la philosophie et le dessin. Son talent attire l'attention du comte Franz von Thun, qui l'aide à entrer à l'Académie des beaux-arts, où il étudie avec Christian Ruben. Sa peinture de la deuxième défenestration de Prague est très admirée et conduit l'écrivain Ljudevit Gaj à l'inviter à Zagreb, où il vit pendant plusieurs mois en peignant des personnages locaux et des scènes de l'histoire de l'Illyrie. La même année, il épouse la fille du compositeur Alois Jelen et, en 1851, s'installe avec elle à Vienne. Malgré ce déménagement, il accepte une commande pour peindre des peintures murales historiques dans le palais d'été de la reine Anne (Le Belvédère), de retour à Prague. Dans les années qui suivent, il réalise plusieurs commandes importantes, notamment les affiches pour le 500e anniversaire de Vienne en 1865. Il travaille également comme professeur de dessin au lycée de Schottenfeld (Neubau) et réalise des illustrations pour plusieurs recueils de poèmes, dont le "Rukopis Královédvorský" (Königinhofer Handschrift).