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Bourgeois (actif au début du XIXe siècle) Portrait de Louis XVIII, en buste, en manteau de sacre Pierre noire, estompe, et craie blanche sur papier Signé et daté en bas à gauche : 1815 Présenté dans un beau cadre en bois doré, à décor répété de fleurs de lys 58 x 49 cm

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Bourgeois (actif au début du XIXe siècle) Portrait de Louis XVIII, en buste, en manteau de sacre Pierre noire, estompe, et craie blanche sur papier Signé et daté en bas à gauche : 1815 Présenté dans un beau cadre en bois doré, à décor répété de fleurs de lys 58 x 49 cm

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Lot de 7 ouvrages biographiques sur Balzac. deux articles extraits du Mercure de France n°940 du 15 août 1937 dont principalement, de Françoise Moser, Balzac et la vie galante de son temps. Paul Métadier, Balzac au petit matin. Paris, La Palatine, 1964. Demi basane. Léon Emery, Balzac - les grands thèmes de la Comédie humaine. Paris, Calmann Lévy, 1943. Demi basane Emile Faguet, Dix Neuvième siècle - études littéraires. Paris, Lecène, 1902. Demi basane (modeste). Marie Bor, Balzac contre Balzac. Photocopie de l'édition de 1933. Mémoires de Bilboquet recueillis par un bourgeois de Paris. Paris, librairie nouvelle, 1854, tome 2 seul. Demi basane. Herbert J Hunt, Honoré de Balzac, a biography. London, Athlone press, 1957. Percaline. Exlibris de Jean-Marie Bernicat. Lot de 5 ouvrages biographiques : Marie Cazenove, Le drame de Balzac. Paris, Delmas, 1950. Nicolas Bourgeois, Balzac peintre d'histoire et écrivain régionaliste. Paris, Bloud, 1925. Demi-basane Jules Sandeau, Vie et malheurs de Horace de Saint-Aubin. Paris, pressédition, 1948. Illustrations de Daumier. Gaëtan Picon, Balzac par lui-même. Paris, Le Seuil, 1956. EO Gaëtan Picon, Balzac par lui-même. Paris, Le Seuil, 1962. Seconde édition. Lot de 4 ouvrages biographiques : Keim et Lumet, Balzac Paris, Lafitte, 1913. Collection les grands hommes, sous la direction de Claretie. Portrait de Balzac en frontispice, pleine percaline. François Taillandier, Balzac. Folio biographies, 2005. Eve et Lucie Paul-Margueritte, Auteuil et Passy des origines à nos jours. Paris, société historique d'Auteuil et Passy, 1946. 20 planches. Almanach des lettres 1950. Editions de flore, 1950. Article de Pierre Descaves, «L'année balzac».

JOSÉ MONTENEGRO CAPELL (Cadix, 1865 - Jerez de la Frontera, Cadix, 1929). "Patio de Comares, Alhambra. Huile sur panneau. Cadre en granadino. Signée et située dans le coin inférieur droit. Dimensions : 21,5 x 14 cm ; 34 x 26,5 cm (cadre). L'orientalisme est né au XIXe siècle comme conséquence de l'esprit romantique de fuite dans le temps et l'espace. Les premiers orientalistes ont cherché à refléter le perdu, l'inaccessible, dans un voyage dramatique voué dès le départ à l'échec. Comme Flaubert dans "Salambo", les peintres brossent des portraits détaillés de l'Orient et des passés imaginés, recréés au millimètre près, mais finalement inconnus et idéalisés. Au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, de nombreux peintres qui se sont rendus au Moyen-Orient à la recherche de cette réalité inventée ont toutefois découvert un pays différent et nouveau, qui se démarquait par ses particularités des clichés et des préjugés des Européens. Ainsi, cette nouvelle école orientaliste laisse derrière elle les belles odalisques, les harems et les marchés d'esclaves pour ne peindre que ce qu'elle voit, l'Orient réel dans toute sa dimension quotidienne. Le changement de vision s'accompagne d'un changement technique et formel ; puisqu'il ne s'agit plus de recréer un monde imaginé dans ses moindres détails, le coup de pinceau acquiert une fluidité impressionniste, et les artistes s'attachent moins à la représentation des types et des coutumes qu'au reflet fidèle de l'atmosphère du lieu, de l'identité même des populations nord-africaines. José Montenegro est né à Cadix, sa formation, ses contacts avec d'autres artistes et l'année exacte de son arrivée à Jerez restent un mystère. Sa vie est entourée d'un halo de légende, et le peuple a en effet inventé mille histoires autour de sa figure, le considérant comme un nouveau Vélasquez. Il a concentré sa production sur le paysage costumbrista andalou, avec une attention particulière pour les architectures hispano-musulmanes, prenant ses modèles principalement à Cadix, Jerez et Séville. Son style montre une certaine influence de ce que l'on appelle l'École de Rome, bien qu'avec un accent régionaliste marqué. Montenegro est arrivé à Jerez attiré par les possibilités de travail qui s'offraient à lui dans un endroit prospère rempli de bourgeois enrichis par le commerce du vin. Cependant, il deviendra bientôt un véritable représentant de la bohème locale du début du XXe siècle. Éternellement ivre et vêtu de noir, il vendait des tableaux à très bas prix pour s'acheter de l'alcool et de la nourriture. Il meurt finalement à l'hôpital Santa Isabel de Cadix en 1929, des suites d'un problème de foie. Montenegro est actuellement représenté dans de nombreuses collections privées, principalement à Jerez de la Frontera, où il est encore très apprécié aujourd'hui.