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Description

École espagnole du XVIIIe siècle. Suivant les modèles de BARTOLOMÉ ESTEBAN MURILLO (Séville, 1618-1682). "Le Bon Pasteur". Huile sur toile. Relié. Dimensions : 61 x 48 cm, 75 x 60 cm (cadre). D'après les modèles de Bartolomé Esteban Murillo, copie de l'original du musée du Prado. Murillo est entré dans l'histoire comme l'un des grands peintres de l'enfance, non seulement pour ses célèbres scènes de genre mettant en scène des enfants, mais aussi pour des représentations comme celle-ci, où l'Enfant Jésus apparaît dans la métaphore biblique du bon berger qui nourrit et prend soin de ses brebis. Il s'agit d'un type d'image qui a connu un grand succès dans la société sévillane de l'époque et dont l'efficacité dévotionnelle est restée intacte à travers les siècles. Dans ce type d'œuvres, souvent destinées au culte privé, l'auteur s'est révélé un véritable maître lorsqu'il s'agissait d'allier un style sage et délicat à un contenu doux et sucré. Mais, doté d'un puissant sens de la composition, il leur confère une monumentalité et un équilibre remarquables. Les ruines architecturales qui apparaissent à l'arrière-plan ont une double signification. D'une part, elles s'inscrivent dans une tradition virgilienne qui se manifeste dans la littérature et les arts plastiques et qui aime l'image du berger parmi les vestiges déchus d'un passé splendide. D'autre part, l'iconographie chrétienne a souvent utilisé la référence aux ruines classiques comme symbole du paganisme vaincu. Reliné.

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École espagnole du XVIIIe siècle. Suivant les modèles de BARTOLOMÉ ESTEBAN MURILLO (Séville, 1618-1682). "Le Bon Pasteur". Huile sur toile. Relié. Dimensions : 61 x 48 cm, 75 x 60 cm (cadre). D'après les modèles de Bartolomé Esteban Murillo, copie de l'original du musée du Prado. Murillo est entré dans l'histoire comme l'un des grands peintres de l'enfance, non seulement pour ses célèbres scènes de genre mettant en scène des enfants, mais aussi pour des représentations comme celle-ci, où l'Enfant Jésus apparaît dans la métaphore biblique du bon berger qui nourrit et prend soin de ses brebis. Il s'agit d'un type d'image qui a connu un grand succès dans la société sévillane de l'époque et dont l'efficacité dévotionnelle est restée intacte à travers les siècles. Dans ce type d'œuvres, souvent destinées au culte privé, l'auteur s'est révélé un véritable maître lorsqu'il s'agissait d'allier un style sage et délicat à un contenu doux et sucré. Mais, doté d'un puissant sens de la composition, il leur confère une monumentalité et un équilibre remarquables. Les ruines architecturales qui apparaissent à l'arrière-plan ont une double signification. D'une part, elles s'inscrivent dans une tradition virgilienne qui se manifeste dans la littérature et les arts plastiques et qui aime l'image du berger parmi les vestiges déchus d'un passé splendide. D'autre part, l'iconographie chrétienne a souvent utilisé la référence aux ruines classiques comme symbole du paganisme vaincu. Reliné.

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