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Dominique Dufour de PRADT L.A.S. « Dom. Ev. de Poitiers », Poitiers 11 août 1805 ; 1 page in-4. Comme évêque de Poitiers. Il remercie du diplôme d’associé que lui a envoyé la Société d’émulation de la ville de Poitiers : « rien de ce qui peut contribuer à l’avantage des habitans de mon Diocèse ne peut m’être étranger ou indifférent, et c’est ce qui me fait mettre un grand prix à tous les travaux qui peuvent y contribuer. Ceux de la société sont sûrement du nombre, et je serai heureux de pouvoir contribuer avec elle un but aussi honorable »… On joint une petite L.A.S. comme évêque de Poitiers à M. Petel, 13 mai 1806.

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Dominique Dufour de PRADT L.A.S. « Dom. Ev. de Poitiers », Poitiers 11 août 1805 ; 1 page in-4. Comme évêque de Poitiers. Il remercie du diplôme d’associé que lui a envoyé la Société d’émulation de la ville de Poitiers : « rien de ce qui peut contribuer à l’avantage des habitans de mon Diocèse ne peut m’être étranger ou indifférent, et c’est ce qui me fait mettre un grand prix à tous les travaux qui peuvent y contribuer. Ceux de la société sont sûrement du nombre, et je serai heureux de pouvoir contribuer avec elle un but aussi honorable »… On joint une petite L.A.S. comme évêque de Poitiers à M. Petel, 13 mai 1806.

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Dominique Dufour de PRADT. L.A.S. et MANUSCRIT autographe, Paris 13 février 1819 ; 1 et 6 pages in-4. Révélations au sujet de son ambassade à Varsovie. Il envoie à une dame des « suplemens à l’ambassade de Varsovie », comptant sur sa discrétion… [Pradt a publié en 1815 son Histoire de l’ambassade dans le grand-duché de Varsovie, où Napoléon l’avait nommé en 1812.] « Les égards dus aux personnes, ou commandés par les circonstances peuvent forcer un écrivain au sacrifice de quelques parties de ces récits, toutes les fois que la vérité historique n’est pas altérée par ces restrictions. […] L’auteur de l’ambassade de Varsovie a éprouvé cette espèce de remords par lequel la prudence se venge en quelque sorte de la précipitation, et rappelle sur ses pas l’écrivain qui s’est abandonné à un premier mouvement […] Par exemple comment faire paraître avec convenance, sous les yeux de l’empereur de Russie, arrivé à Paris pour la seconde fois l’épée à la main, et s’y trouvant lorsque l’ambassade parut, la phrase que l’on lira plus bas […] De même pour M. de TALLEYRAND. Le mot de Napoléon sur lui étoit sanglant, et d’autant plus fâcheux qu’il retraçait une chose vraie »… Pradt a donc retranché de son manuscrit certaines phrases qu’il retranscrit ici, notamment des propos de NAPOLEON qu’il restitue ici. Ainsi : « L’Empereur Alexandre fait le petit mutin, mais je l’écraserai » ; ou sur Talleyrand, qu’il voulait nommer à Varsovie : « mais il a été le bavarder à un tas de vieilles femmes, c’est un homme fini » ; ainsi qu’un propos cruel sur l’impératrice d’Autriche. Pradt donne également ici un développement sur le général SEBASTIANI et la défense de Paris contre les alliés… On joint un manuscrit : « Lettres de M. de Pradt à M. de Bassano depuis le 9 mai » (6 p. petit in-4, sous chemise titrée), analyse de cette correspondance du 9 mai au 13 juillet 1812.