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JOUVENET Nicolas Wulfran (1788-1878) Chartres, personnages sur une plaine surplomband la cathédrale Huile sur papier, non signé déchirures, salissures 14.5 x 19.5 cm NB : Une oeuvre de cet artiste représentant la Forêt de Compiègne est conservée au Musée d'Amiens

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JOUVENET Nicolas Wulfran (1788-1878) Chartres, personnages sur une plaine surplomband la cathédrale Huile sur papier, non signé déchirures, salissures 14.5 x 19.5 cm NB : Une oeuvre de cet artiste représentant la Forêt de Compiègne est conservée au Musée d'Amiens

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Réunion de 4 ouvrages 19ème sur le Paris curieux, en 5 volumes reliés: 1. TOURNEUX (Maurice): Paris au XVIIIe siècle. Les promenades à la mode. Eau-forte par Ad. Lalauze. Paris, Librairie des Bibliophiles, 1888. Un volume. 10,5 par 17,5 cm. 1 frontispice gravé-(4)-XV-(1)-112-(3) pages. Demi-maroquin glauque (c'est une couleur) de l'époque à coins, dos à nerfs orné, plats de la couverture conservés, tête dorée. Reliure signée Pierson. "Tiré à très petit nombre". Edition collective de pièces légères relatives aux moeurs parisiennes au XVIIIe siècle 2. BRAZIER (Nicolas): Histoire des petits théâtres de Paris depuis leur origine. Nouvelle édition, corrigée et augmentée de plusieurs chroniques. Paris, Allardin, 1838, 2 tomes en 1 volume. 8,5 par 14,2 cm. XVI-303-(1); (4)-264 pages. Demi-basane brune de l'époque. Quelques frottements, quelques rousseurs éparses. Pp. [247] à 264 du tome 2 : Catalogue des pièces de théâtre que Brazier a fait représenter à Paris, depuis l'année 1803 jusqu'en 1838, avec les noms de ses collaborateurs. 2e édition (E.O. : 1837). Laporte, Biblio. contemporaine II-6. "2e édition plus recherchée que la 1ère, elle est augmentée de quelques aventures assez lestes." (Laporte). 3. PRIVAT D'ANGLEMONT (Alexandre): 1) Paris anecdote. Paris, A. Delahays, s.d., 243 pp. ; 2) Paris inconnu. Précédé d'une étude sur sa vie par M. Alfred Delvau. Paris, Adolphe Delahays,1875, (4)-315 pp. + 1 portrait h.t. ; soit 2 ouvrages en 1 volume. 12 par 15,5 cm. Demi-percaline bleu ciel de l'époque, à coins, plats de la couverture conservés pour le second volume. Très bon état des deux tomes. Privat d'Anglemont, journaliste bohême, "a consacré nombre d'articles au Paris des petits métiers, des industries rares [...], parus dans les journaux, en particulier dans Le Siècle et réunis dans deux recueils : Paris anecdote (1854) et Paris inconnu (1861) [...]. Privat d'Anglemont explore Paris la nuit avec le même esprit d'aventure, le même appétit de découverte qu'on pourrait éprouver pour les pays plus lointains." (Jean-Pierre A. Bernard, Les deux Paris, les représentations de Paris dans la seconde moitié du XIXe siècle, pp. 200-201). 4. VEUILLOT (Louis): Les odeurs de Paris. Paris, Palmé, 1867. Un volume. 13,5 par 22,5 cm. , in-8 de XVI-498 pp. + 1 f. n.ch. (prospectus pour 2 ouvrages). Demi-chagrin brun de l'époque, dos 5 nerfs. Tout petits frottements, quelques rousseurs discrètes. Edition originale. P. Lacombe, n° 1144 ; Van Tieghem, p. 4071. «Véritable édition originale (et seule édition de ce format) de cet ouvrage célèbre qui fit comme on se le rappelle encore, tant de bruit dans Paris lors de son apparition. Les deux premiers livres consacrés à la presse, le troisième consacré aux divertissements parisiens (théâtres, cafés-concerts, etc.) suscitèrent les plus vives réclamations dans le monde et dans les journaux à cause des violences qu'il contenait [...]. Louis Veuillot a souvent peint ses personnages sous des noms supposés. On trouve Passionnard d'Auvergne (Jules Vallès), Eliassin Lupus (Albert Wolff), Amanda Pigeonnier (Marie Colombier), Passe-Partout (Adrien Marx), Lilia (George Sand) [...].» Un condensé de méchanceté érudite et réactionnaire…

[HELYOT, (Père Pierre), et BULLOT (père)]: Histoire des Ordres monastiques religieux et militaires, et des congrégations séculières de l'un & de l'autre sexe Contenant leur origine leur fondation, la décadence des uns et leur suppression, les vies de leurs fondateurs avec des figures (…). Paris, Nicolas Gosselin, 1714-1719. 8 volumes. 18 par 24 cm. XCVIII-(5)-399-(21); (8)-436-(31); XVI-(6)-456-(40); (8)-464-(42); (6)-488-(20); (8)-446-(26); (8)-493-(34); (8)-446-(36) pages. Demi-basane d'époque, 5 nerfs. Reliure solide, mais usagée, avec de nombreux petits défauts. Mouillures dans deux tomes sur quelques feuillets. Tome 3 avec page de titre manquante (remplacée par une page manuscrite) et la dernière page de la table. Quelques rousseurs éparses. Tome 1: 102 planches (manquent 62, 68, 75, 97). Tome 2: 119 planches (manquent 12, 14, 16, 31). Tome 3: 120 planches (1-117, 29*, 29**, 64*) (manquent 61, 67, 72). Tome 4: 111 planches (1-110, 45*) (manquent 55, 100, 101) Tome 5: 87 planches (manquent 1, 20, 22, 25, 35, 51, 60). Tome 6: 100 planches (manquent 2, 11, 14, 15, 19, 61, 91, 92). Tome 7: 72 planches (1 à 71 + 99). Tome 8: 98 planches. (la planche 99 a été reliée dans le tome 7) Soit 780 planches sur 809 planches. Gravures très contrastées. «Les planches sont fort bien gravées par Cl. Duflos, P. Giffart, de Poilly et Thomassin» Édition originale de cet ouvrage par le Père Hélyot, qui entra dans le tiers-ordre franciscain de Picpus, fondé par son père le chanoine Jérôme Hélyot. A partir du tome 6, l'ouvrage fut continué par le Père Bullot. Une source extraordinaire d'informations sur tous les ordres monastiques, religieux, militaires, dont nombre ont disparu, et qui tous avaient leurs costumes distinctifs, une histoire particulière, des pratiques différentes, et souvent des personnages remarquables étonnants. Découverte d'un univers qui a pour partie disparu, et qui est aujourd'hui mal connu. Avec une pensée pour le défilé de mode de Roma, le film de Fellini.

ANDRÉS CORTÉS Y AGUILAR (Séville, 1812 - Séville 1879). "Paysages". Huile sur toile (x2). Préserve la toile originale. Elles présentent des restaurations sur les surfaces picturales. Ils ont des cadres du XIXème siècle. Signés dans le coin inférieur droit. Dimensions : 63 x 83,5 cm (x2) ; 73,5 x 95 cm (cadres, x2). Paire de paysages idéalisés, avec une composition harmonieuse et une division en plusieurs plans. Au centre de chacune des scènes se trouve un groupe de personnages d'apparence quotidienne, vêtus d'habits traditionnels, accompagnés d'animaux. La relation des deux œuvres avec l'un des courants picturaux les plus importants de l'Espagne du XIXe siècle, le Costumbrismo, est évidente, en particulier le courant andalou, caractérisé par des couleurs plus vives que celles de Madrid et un thème différent (on préfère généralement montrer des types folkloriques traditionnels de cette région, avec une nette prédilection pour les bandits, suivant le goût pour l'"exotisme" qu'avaient les Européens qui venaient en Espagne ou qui connaissaient ce thème par des histoires et des nouvelles, souvent idéalisées et avec un certain sens du "romantisme"). Peintre à l'œuvre prolifique et très personnelle, on dispose cependant de peu d'informations précises sur sa vie. Son père, Antonio Cortés, vivait en France et avait été le disciple du peintre de paysages et d'animaux Constantin Troyon (1810-1865), ce qui a sans doute dû marquer dès ses premiers pas artistiques, avec son père, la préférence d'Andrés Cortés pour la peinture de paysages avec des troupeaux ; un genre dont il deviendra l'un des plus grands spécialistes de son temps, et qui définit une bonne partie de sa production. Présent depuis 1840 à Séville, où il vivra toute sa vie et renforcera sa carrière, il sera professeur à l'École des beaux-arts et membre de son Académie à partir de 1862, se faisant rapidement connaître dans les milieux artistiques sévillans avec ses séduisantes vues panoramiques de la ville peuplées de personnages, pour lesquelles il est le plus connu aujourd'hui, et qui lui ont valu en son temps une réputation notable auprès de la clientèle de la haute société sévillane. Parmi elles, les plus célèbres sont sans doute ses versions de La foire de Séville ; la première peinte pour le comte d'Ybarra, promoteur de cette populaire foire aux bestiaux, et l'autre, signée en 1852, conservée au musée des Beaux-Arts de Bilbao. Dans le même genre, Andrés Cortés a peint d'autres vues sévillanes d'une composition tout aussi ambitieuse, attentive tant à la description des bâtiments et des monuments qu'à celle des types et des vêtements des personnages qui les peuplent, avec une coloration vive et lumineuse ; aspects dans lesquels réside une grande partie de son attrait, en soulignant parmi eux la Vue de Séville depuis le Prado de San Sebastián, peinte en 1866 (Séville, collection Javier Benjumea). Cependant, la plupart des tableaux les plus connus de l'artiste, avec lesquels il a dû maintenir sa carrière en raison de leur facilité de vente et de leur pittoresque décoratif, sont des paysages ruraux avec des troupeaux, presque toujours des cabanes de moutons ou de vaches guidées par leurs bergers, dont les suivants sont de bons exemples : Camino de la Feria (Séville, Comte d'Aguiar), Paisaje con pastores y ganado (Palma del Condado, Collection Cepeda), Paisaje de fantasía (Madrid, Fundación Santamarca), et les paysages avec personnages de la Collection Carmen Thyssen-Bornemisza. Il a également peint quelques portraits discrets, comme ceux de Nicolás Antonio (Séville, Biblioteca Colombina), signé en 1851, de José María Ybarra (Séville, Comte de Ybarra), une œuvre de 1854, et de Rodrigo Ponce de León, marquis de Cadix (Séville, Hôtel de ville), signé deux ans plus tard. Il fut également un intéressant peintre de types, une facette dont El tío Gamboa de Hinojos (collection privée), peint en 1857, et El Leñador se cosiéndose la ropa (Séville, collection privée) sont de bons exemples. On connaît également quelques tableaux religieux de sa main, comme La caridad de las Hermanas de San Vicente de Paúl (Séville, mairie ; déposé au Hogar de la Virgen de los Reyes), peint en 1847, ainsi qu'une grande toile historique peinte par Cortés en 1848 représentant Guzmán el Bueno armant son fils en chevalier, qui a eu un certain écho dans la presse sévillane de l'époque et a été acquise par les ducs de Montpensier. Participant aux expositions des Beaux-Arts organisées dans la ville, il reçoit en 1858 une médaille d'argent pour Un pays, présentant en 1868 Une cabane. La reconnaissance dont il jouit dans sa ville le comble d'honneurs et de distinctions locales, puisqu'il devient membre fondateur de la Députation archéologique de Séville, président de sa classe d'arts, correspondant de l'Académie royale d'archéologie et de géographie du prince Alphonse et de celle de Cordoue, et membre de l'Académie d'émulation et de promotion, en plus d'être décoré de plusieurs croix. Ils présentent des restaurations sur les surfaces picturales.