CARICATURE (La). Collection complète du n°1 (4 novembre 1830) au n°251 (27 août 1835). 9 volumes in-4 demi-veau havane, dos lisse orné, titre, tomaison et dates dorés (reliure de l'époque). Nombreux frottés. Chaque numéro se compose de 2 ff. imprimés et d'une à trois planches lithographiées par Grandville, Daumier, Traviès, Monnier, Adam, Charlet, Devéria, Lami, Raffet, Forest, etc. etc. formant donc 526 (sur 527) planches (dont les planches 56bis, 132bis "croquades [de Louis Philippe] faites à l'audience", 153bis) lithographiées dont certaines dépliantes ou partiellement coloriées, avec l'affichette rose reliée dans le volume 5. Chaque volume avec son titre imprimé, ainsi que les tables de chaque numéro (texte et planches) jusqu'au n°234). Il manque uniquement la planche n°450 ("Cène révolutionnaire" de Benjamin). Avec 23 (sur 24) planches supplémentaires ("dessin de la souscription mensuelle") dont les 2 célèbres gravures de Daumier "Le Ventre législatif" et "Rue Transnonain, le 15 avril 1834" (il manque le 23e supplément "Le Docteur Gervais…" par Traviès). Avec les numéros 193, 195, 187 et 189 en double reliés à la fin du dernier volume. L'ensemble compte donc un total de 485 LITHOGRAPHIES gravées à pleine page (dont certaines dépliantes ou sur double page comptant double ou triple), dont 104 EN COULEURS. Nombreuses rousseurs, pages de texte plus ou moins brunies, mouillures claires ou rousses par endroits. (Liste détaillée sur demande.) Ce périodique illustré fut dirigé par son fondateur Charles Philipon jusqu'au début de l'année 1839, avec Auguste Audibert comme rédacteur en chef, puis Louis Desnoyers. Ce périodique a d'abord été édité par le marchand d'estampes Aubert, installé au no 31 de la galerie Vero-Dodat. Associé avec Philipon à la création du journal, Honoré de Balzac en rédigea le prospectus et y donna sous divers pseudonymes une trentaine d'articles jusqu'en février 1831, ainsi que l'essai Petites Misères de la vie conjugale en 1830. À partir de 1832, le titre change pour devenir La Caricature politique, morale, littéraire et scénique. L'ensemble des 251 numéros parus de 1830 à 1835 représente un corpus de 2 000 pages et 530 lithographies. La Caricature mena un combat contre le pouvoir de Louis-Philippe Ier ("Philipon contre Philippe"), ce qui en fit une publication importante de l'histoire de la caricature en France. En butte aux interdictions de la censure royale et autres procès intentés par le pouvoir, Philipon fonda pour assurer la survie de son journal et financer les différents frais l’Association pour la liberté de la presse. En contrepartie les souscripteurs recevaient chaque mois une lithographie. Elle parut sous le nom de La Lithographie mensuelle d’août 1832 à 1834. La Caricature cessa provisoirement de paraître à la suite de la promulgation de la loi sur la presse du 9 septembre 1835, consécutive à l'attentat de Fieschi. Repris en 1838 sous le titre La Caricature provisoire, le journal changea de formule et de sous-titre. Il prit à partir du numéro 36 du 7 juillet 1839 le titre de La Caricature morale judiciaire, littéraire, artistique, fashionable et scénique puis en janvier 1842 celui de La Caricature, revue satirique des modes, des théâtres, de la musique, des tribunaux et de la littérature. La satire politique fit place aux études de mœurs et à la satire sociale. Emmanuel Gonzalès en assura la direction de 1839 à 1840 et Louis Huart la rédaction de 1840 à 1843, date de son absorption par Le Charivari. Créé dans l'atmosphère des années de contestation politique et sociale qui suivirent l'avènement de la monarchie de Juillet, La Caricature est le prototype du journal de satire engagé. Parmi les nombreuses feuilles qui parurent à ce moment-là, il fut, avec Le Charivari, le journal qui contribua avec le plus de succès au travail de sape réalisé contre la monarchie de Juillet. La verve des rédacteurs et le talent des plus grands caricaturistes de l'époque (en première ligne Daumier, Grandville, Traviès) expliquent la notoriété acquise par le journal dans cette bataille. Ses charges contre le régime de Louis-Philippe lui valurent de nombreuses poursuites et notamment la condamnation de son directeur, Charles Philipon, inventeur de la « poire », à six mois de prison pour « outrages à la personne du roi » (novembre 1831). (source Wikipédia.)
CARICATURE (La). Collection complète du n°1 (4 novembre 1830) au n°251 (27 août 1835). 9 volumes in-4 demi-veau havane, dos lisse orné, titre, tomaison et dates dorés (reliure de l'époque). Nombreux frottés. Chaque numéro se compose de 2 ff. imprimés et d'une à trois planches lithographiées par Grandville, Daumier, Traviès, Monnier, Adam, Charlet, Devéria, Lami, Raffet, Forest, etc. etc. formant donc 526 (sur 527) planches (dont les planches 56bis, 132bis "croquades [de Louis Philippe] faites à l'audience", 153bis) lithographiées dont certaines dépliantes ou partiellement coloriées, avec l'affichette rose reliée dans le volume 5. Chaque volume avec son titre imprimé, ainsi que les tables de chaque numéro (texte et planches) jusqu'au n°234). Il manque uniquement la planche n°450 ("Cène révolutionnaire" de Benjamin). Avec 23 (sur 24) planches supplémentaires ("dessin de la souscription mensuelle") dont les 2 célèbres gravures de Daumier "Le Ventre législatif" et "Rue Transnonain, le 15 avril 1834" (il manque le 23e supplément "Le Docteur Gervais…" par Traviès). Avec les numéros 193, 195, 187 et 189 en double reliés à la fin du dernier volume. L'ensemble compte donc un total de 485 LITHOGRAPHIES gravées à pleine page (dont certaines dépliantes ou sur double page comptant double ou triple), dont 104 EN COULEURS. Nombreuses rousseurs, pages de texte plus ou moins brunies, mouillures claires ou rousses par endroits. (Liste détaillée sur demande.) Ce périodique illustré fut dirigé par son fondateur Charles Philipon jusqu'au début de l'année 1839, avec Auguste Audibert comme rédacteur en chef, puis Louis Desnoyers. Ce périodique a d'abord été édité par le marchand d'estampes Aubert, installé au no 31 de la galerie Vero-Dodat. Associé avec Philipon à la création du journal, Honoré de Balzac en rédigea le prospectus et y donna sous divers pseudonymes une trentaine d'articles jusqu'en février 1831, ainsi que l'essai Petites Misères de la vie conjugale en 1830. À partir de 1832, le titre change pour devenir La Caricature politique, morale, littéraire et scénique. L'ensemble des 251 numéros parus de 1830 à 1835 représente un corpus de 2 000 pages et 530 lithographies. La Caricature mena un combat contre le pouvoir de Louis-Philippe Ier ("Philipon contre Philippe"), ce qui en fit une publication importante de l'histoire de la caricature en France. En butte aux interdictions de la censure royale et autres procès intentés par le pouvoir, Philipon fonda pour assurer la survie de son journal et financer les différents frais l’Association pour la liberté de la presse. En contrepartie les souscripteurs recevaient chaque mois une lithographie. Elle parut sous le nom de La Lithographie mensuelle d’août 1832 à 1834. La Caricature cessa provisoirement de paraître à la suite de la promulgation de la loi sur la presse du 9 septembre 1835, consécutive à l'attentat de Fieschi. Repris en 1838 sous le titre La Caricature provisoire, le journal changea de formule et de sous-titre. Il prit à partir du numéro 36 du 7 juillet 1839 le titre de La Caricature morale judiciaire, littéraire, artistique, fashionable et scénique puis en janvier 1842 celui de La Caricature, revue satirique des modes, des théâtres, de la musique, des tribunaux et de la littérature. La satire politique fit place aux études de mœurs et à la satire sociale. Emmanuel Gonzalès en assura la direction de 1839 à 1840 et Louis Huart la rédaction de 1840 à 1843, date de son absorption par Le Charivari. Créé dans l'atmosphère des années de contestation politique et sociale qui suivirent l'avènement de la monarchie de Juillet, La Caricature est le prototype du journal de satire engagé. Parmi les nombreuses feuilles qui parurent à ce moment-là, il fut, avec Le Charivari, le journal qui contribua avec le plus de succès au travail de sape réalisé contre la monarchie de Juillet. La verve des rédacteurs et le talent des plus grands caricaturistes de l'époque (en première ligne Daumier, Grandville, Traviès) expliquent la notoriété acquise par le journal dans cette bataille. Ses charges contre le régime de Louis-Philippe lui valurent de nombreuses poursuites et notamment la condamnation de son directeur, Charles Philipon, inventeur de la « poire », à six mois de prison pour « outrages à la personne du roi » (novembre 1831). (source Wikipédia.)
FRAIS DE VENTE : 23 % HT EN SUS DES ENCHERES
+ 5,5% TVA pour les livres soit 24,27 % TTC (pour les enchères en live : 27,87 % TTC sur interencheres live ou 26,07 % TTC sur drouot live)
+ 20% TVA pour les autres lots (estampes, dessins, photographies, etc.) soit 27,60 % TTC (pour les enchères en live : 31,20 % TTC sur interencheres live ou 29,40 % TTC sur drouot live)
La vente se fait au comptant.
Une exposition préalable permettant aux acquéreurs de se rendre compte de l’état des livres mis en vente, il ne sera admis aucune réclamation une fois l’adjudication prononcée.
Les indications portées au catalogue engagent la responsabilité du commissaire-priseur et de l’expert compte tenu des rectifications annoncées au moment de la présentation du livre et portées au procès-verbal.
Le commissaire-priseur et l’expert peuvent exécuter tout ordre d’achat sur réquisition écrite sans frais supplémentaires. Les ordres d’achat par écrit ou les demandes d’enchères par téléphone doivent parvenir au plus tard la veille de la vente et être accompagnés des coordonnées bancaires de l’enchérisseur.
Les enchères par téléphone sont un service gracieux rendu aux clients qui ne peuvent se déplacer. En aucun cas le commissaire-priseur ou l’expert ne pourront être tenus responsables d’un problème de liaison téléphonique.
Les informations recueillies sur les formulaires d’enregistrement sont obligatoires pour participer à la vente puis pour la prise en compte et la gestion de l’adjudication. Vous pouvez connaître et faire rectifier les données vous concernant, ou vous opposer pour motif légitime à leur traitement ultérieur, en adressant une demande écrite accompagnée d’une copie de votre pièce d’identité à l’opérateur de vente par courrier ou par email.
En cas de paiement par virement la délivrance des livres pourra être différée jusqu’à l’encaissement. Dès l’adjudication, l’objet sera sous l’entière responsabilité de l’adjudicataire.
L’acquéreur sera lui-même chargé de faire assurer ses acquisitions ; l’étude PASTAUD et le cabinet POULAIN déclinent toute responsabilité quant aux dommages que l’objet pourrait encourir et ceci dès l’adjudication prononcée.
Toutes les formalités d’envoi et le transport restent à la charge exclusive de l’acquéreur.
Tout bordereau d’adjudication demeuré impayé auprès de Paul Pastaud OVV ou ayant fait l’objet d’un retard de paiement est susceptible d’inscription au fichier TEMIS. Ce Fichier recense les incidents de paiement des bordereaux, quel que soit le mode de participation des enchérisseurs (présentiel ou à distance) et peut être consulté par toutes les structures de ventes aux enchères opérant en France.
FRAIS DE VENTE : 23 % HT EN SUS DES ENCHERES
+ 5,5% TVA pour les livres soit 24,27 % TTC (pour les enchères en live : 27,87 % TTC sur interencheres live ou 26,07 % TTC sur drouot live)
+ 20% TVA pour les autres lots (estampes, dessins, photographies, etc.) soit 27,60 % TTC (pour les enchères en live : 31,20 % TTC sur interencheres live ou 29,40 % TTC sur drouot live)
La vente se fait au comptant.
Une exposition préalable permettant aux acquéreurs de se rendre compte de l’état des livres mis en vente, il ne sera admis aucune réclamation une fois l’adjudication prononcée.
Les indications portées au catalogue engagent la responsabilité du commissaire-priseur et de l’expert compte tenu des rectifications annoncées au moment de la présentation du livre et portées au procès-verbal.
Le commissaire-priseur et l’expert peuvent exécuter tout ordre d’achat sur réquisition écrite sans frais supplémentaires. Les ordres d’achat par écrit ou les demandes d’enchères par téléphone doivent parvenir au plus tard la veille de la vente et être accompagnés des coordonnées bancaires de l’enchérisseur.
Les enchères par téléphone sont un service gracieux rendu aux clients qui ne peuvent se déplacer. En aucun cas le commissaire-priseur ou l’expert ne pourront être tenus responsables d’un problème de liaison téléphonique.
Les informations recueillies sur les formulaires d’enregistrement sont obligatoires pour participer à la vente puis pour la prise en compte et la gestion de l’adjudication. Vous pouvez connaître et faire rectifier les données vous concernant, ou vous opposer pour motif légitime à leur traitement ultérieur, en adressant une demande écrite accompagnée d’une copie de votre pièce d’identité à l’opérateur de vente par courrier ou par email.
En cas de paiement par virement la délivrance des livres pourra être différée jusqu’à l’encaissement. Dès l’adjudication, l’objet sera sous l’entière responsabilité de l’adjudicataire.
L’acquéreur sera lui-même chargé de faire assurer ses acquisitions ; l’étude PASTAUD et le cabinet POULAIN déclinent toute responsabilité quant aux dommages que l’objet pourrait encourir et ceci dès l’adjudication prononcée.
Toutes les formalités d’envoi et le transport restent à la charge exclusive de l’acquéreur.
Tout bordereau d’adjudication demeuré impayé auprès de Paul Pastaud OVV ou ayant fait l’objet d’un retard de paiement est susceptible d’inscription au fichier TEMIS. Ce Fichier recense les incidents de paiement des bordereaux, quel que soit le mode de participation des enchérisseurs (présentiel ou à distance) et peut être consulté par toutes les structures de ventes aux enchères opérant en France.
29e vente aux enchères de livres anciens et modernes
2608 n° sur 5 jours
- Mercredi 21 août à 11h & 14h : n°1 à 537
- Jeudi 22 août à 11h & 14h : n°538 à 1061
- Vendredi 23 août à 11h & 14h : n°1062 à 1557
- Samedi 24 août à 11h & 14h : n°1558 à 2085
- Dimanche 25 août à 11h & 14h : n°2086 à 2608
Livres et manuscrits du XVe siècle à nos jours – 2608 n°
Importante bibliothèque d’un grand bibliophile normand,
Suite de la collection d’illustrés modernes de M. Garrigou,
Bibliothèques parisiennes et limougeaudes et à divers.
Voyages dont circumnavigations, Asie, Égypte, Italie, etc. ; Atlas - Cartes – Géographie ; Marine ;
Modes – Costumes ; Histoire dont mémoires manuscrits ; Napoléon – Empire ; Révolution française ; Militaria ; Noblesse – héraldique ; Economie - Droit - Science politique ; Religion – Théologie ;
Belles reliures aux armes ; Nombreuses reliures minuscules et petit format ;
Illustrés modernes ; Beaux-Arts – Architecture ;
Jules Verne ; Illustrés XIXe ; Enfantina ;
Sciences ; Botanique ; Histoire naturelle ; Médecine ; Chasse – Equitation ; Agriculture ; Gastronomie – Œnologie ; Esotérisme ;
Incunables et ouvrages du XVIe siècle ; Littérature ; Curiosa ; Littérature XXe s. et avant-garde ; Régions diverses dont Bretagne et Pyrénées ; Paris et environs ; Bibliophilie ; Varia.
ATTENTION : LES LOTS PRÉSENTÉS SUR CETTE PAGE NE CONCERNENT QUE LA VENTE DU 24 AOÛT. POUR CONSULTER LES 4 AUTRES JOURS DE VENTE, IL SUFFIT DE REVENIR SUR LA PAGE PRINCIPALE DE L’ETUDE ET CLIQUER LE JOUR DE VENTE CORRESPONDANT.
Experts : Cabinet Poulain
Elvire Poulain-Marquis : 06 72 38 90 90
Pierre Marquis : 06 16 67 52 38
5 rue de Saintonge 75003 PARIS
E-mail : [email protected]
poulainlivres.com
EXPOSITIONS : Les matins des ventes de 9h à 11h
Créée il y a 29 ans par Bernard Galateau et Pierre Poulain, la vente de Montignac est un rendez-vous estival incontournable pour les bibliophiles. Depuis l’année dernière, la vente s’est relocalisée à quelques encablures de Lascaux, dans les locaux de la maison de vente Pastaud à Limoges. Un nouveau lieu, une même ambiance chaleureuse et toujours des milliers de livres à saisir !
29e vente aux enchères de livres anciens et modernes
2608 n° sur 5 jours
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- Samedi 24 août à 11h & 14h : n°1558 à 2085
- Dimanche 25 août à 11h & 14h : n°2086 à 2608
Livres et manuscrits du XVe siècle à nos jours – 2608 n°
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Bibliothèques parisiennes et limougeaudes et à divers.
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Jules Verne ; Illustrés XIXe ; Enfantina ;
Sciences ; Botanique ; Histoire naturelle ; Médecine ; Chasse – Equitation ; Agriculture ; Gastronomie – Œnologie ; Esotérisme ;
Incunables et ouvrages du XVIe siècle ; Littérature ; Curiosa ; Littérature XXe s. et avant-garde ; Régions diverses dont Bretagne et Pyrénées ; Paris et environs ; Bibliophilie ; Varia.
ATTENTION : LES LOTS PRÉSENTÉS SUR CETTE PAGE NE CONCERNENT QUE LA VENTE DU 24 AOÛT. POUR CONSULTER LES 4 AUTRES JOURS DE VENTE, IL SUFFIT DE REVENIR SUR LA PAGE PRINCIPALE DE L’ETUDE ET CLIQUER LE JOUR DE VENTE CORRESPONDANT.
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EXPOSITIONS : Les matins des ventes de 9h à 11h
Créée il y a 29 ans par Bernard Galateau et Pierre Poulain, la vente de Montignac est un rendez-vous estival incontournable pour les bibliophiles. Depuis l’année dernière, la vente s’est relocalisée à quelques encablures de Lascaux, dans les locaux de la maison de vente Pastaud à Limoges. Un nouveau lieu, une même ambiance chaleureuse et toujours des milliers de livres à saisir !
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Le prix indiqué n’inclut ni le prix du lot, ni les frais de la maison de vente.