1 / 2

Description

MARSOLLIER (Jacques). Vie de saint François de Sales, évèque et prince de Genève, instituteur de l'ordre de la Visitation de Sainte-Marie. Paris, librairie de la société typographique, 1817. 2 volumes in-12, basane flammée, dos lisse orné, pièces de titre et de tomaison de veau rouge (reliure de l'époque). Bon exemplaire. Coins frottés.

88 
Aller au lot
<
>

MARSOLLIER (Jacques). Vie de saint François de Sales, évèque et prince de Genève, instituteur de l'ordre de la Visitation de Sainte-Marie. Paris, librairie de la société typographique, 1817. 2 volumes in-12, basane flammée, dos lisse orné, pièces de titre et de tomaison de veau rouge (reliure de l'époque). Bon exemplaire. Coins frottés.

Estimation 10 - 15 EUR

* Hors frais de vente.
Reportez vous aux conditions de vente pour calculer le montant des frais.

Frais de vente : 24.27 %
Déposer un ordre
S'inscrire à la vente

En vente le mercredi 21 août : 11:00 (CEST) , reprise à 14:00
limoges, France
Pastaud
+33555343331

Exposition des lots
mercredi 21 août - 09:00/11:00, Etude Limoges
Voir le catalogue Consulter les CGV Infos vente

Livraison à
Modifier votre adresse de livraison
MBE Brive-la-Gaillarde
Plus d'informations
MBE Poitiers
Plus d'informations
La livraison est optionnelle.
Vous pouvez recourir au transporteur de votre choix.
Le prix indiqué n’inclut ni le prix du lot, ni les frais de la maison de vente.

Vous aimerez peut-être

FRANÇOIS DE SALES (saint). Lettre autographe, [très probablement adressée à sainte Jeanne de Chantal]. S.l.n.d. Une p. in-4oblong, montage sur carton avec encadrement sous verre. «J'ay repensé, ma trés chere mere au desir que M[m]ede Gouffier a de vous venir prendre, et l'ay conferé avec ses lettres, et m'est venu en l'esprit que peut-estre il ne seroit pas si hors de rayson qu'il me sembloit d'abord puisqu'ell[e] a son esprit si embarassé et plein de choses qui l'affligent. Àelle la peine de venir et la despense de son voyage, mays nous en parlerons, Dieu aydant, ce soir, cependant vous y penserés un peu, et moy [j']aura[y] eu ce petit sujet de donner le bonjour au trés aymé cœur de ma mere.» Après avoir lu l'Introduction à la vie dévote de saint François de Sales, Marie-Élisabeth de Gouffier entra en contact avec ce dernier et obtint grâce lui de pouvoir quitter en 1614 son monastère du Paraclet, pour rendre visite à Jeanne de Chantal au monastère d'Annecy (1613). Elle obtint également de pouvoir y demeurer un temps et d'en porter l'habit, mais sans être de la Visitation. Elle rendit ensuite des services signalés à l'Ordre, contribuant à fonder de nouveaux monastères, à Moulins, à Paris dans sa propre maison du faubourg Saint-Marcel (1619). Cependant, esprit exalté et instable, elle demanda à quitter la Visitation (1620) et entra en conflit avec la mère de Chantal pour des questions d'argent. Sainte Jeanne de Chantal, fondatrice de l'Ordre de la Visitation. Jeanne Fremyot (1572-1641), baronne de Chantal par son mariage, était la fille d'un président au parlement de Bourgogne. Après une rencontre avec saint François de Sales venu prêcher à Dijon, elle obtint de lui qu'il soit son directeur spirituel. Une fois veuve, elle rejoignit saint François de Sales à Annecy, et fonda avec lui l'Ordre de la Visitation en 1609. Elle assura alors le développement d'un large réseau de monastères qu'elle anima de son zèle - et fut canonisée en 1767. Elle était par ailleurs la grand-mère de la marquise de Sévigné Provenance: l'évêque d'Annecy Pierre-Joseph Rey (1770-1842, note autographe signée avec cachet armorié de cire rouge au verso). Monseigneur Rey, alors évêque de Pignerol, prononça en 1826 un discours devant la Cour de Piémont-Sardaigne à l'occasion de la translation des reliques de saint François de Sales et de sainte Jeanne de Chantal dans la nouvelle basilique de la Visitation. En 1836, évêque d'Annecy, il fonda un triduum de prières en l'honneur de François de Sales dans la chapelle du château des Allinges. —Le chanoine Mercier, curé de la paroisse Notre-Dame à Chambéry, qui entretint des liens particuliers avec la Visitation Sainte-Marie de Chambéry, dont il devint le référent en 1867. François de Sales, OEuvres complètes, J.-P.Migne, vol.VI, 1862, col.1094, n°xlvi, proposant l'identification de la destinataire, et indiquant la provenance ci-dessus.