1 / 5

Description

Gustave Courbet, "Ruisseau sauvage". Paysage de ruisseau des années 1860, typique de l'œuvre de Courbet par son motif, sa couleur et sa manière de peindre, torrent tumultueux dans un paysage de forêt rocheuse et déchiquetée, peut-être une étude préparatoire à l'"Entrée de la vallée du Puits-Noir, Douvs" de Courbet, illustrée à plusieurs reprises, Evening Effect" de 1865, Courbet s'installa en 1860 dans un atelier sur la route d'Ornans à Besançon, dans sa Franche-Comté natale. Comme pour les paysages fluviaux de Courbet de ces années, il superpose des surfaces colorées sur un fond sombre, comme il le remarque lui-même : " La nature est noire et sombre sans le soleil, je fais ce que fait le soleil, je mets les points importants dans la lumière, et voilà le tableau.", peinture très pâteuse réalisée à la spatule, huile sur carton peint, du milieu des années 1850 au début des années 1870, signé "G. Courbet" en bas à gauche, fragment d'étiquette de la Salzburger Landesgalerie au dos avec désignation et titre, le numéro d'inventaire et le numéro d'inventaire du cadre correspondent aux indications du livre d'inventaire de la Landesgalerie de Salzbourg (cf : Fritz Koller, Das Inventarbuch der Landesgalerie Salzburg (1942-1944), Salzbourg 2000, p. 216 et suivantes), nous remercions également Susanne Greimel du Museum der Moderne Salzburg pour ses aimables indications à ce sujet, étiquette au dos du fabricant du fond de peinture "GENUINE FLEMISH GROUNDS [..] BY C.. DAVY [...] LONDON", sur une étiquette ultérieure encore une fois désigné "Courbet", petits manques sur le bord du tableau, sinon bon état original non restauré, non encadré, dimensions du pli environ 24 x 32,6 cm. Provenance : selon l'inventaire d'après-guerre de l'armée américaine de 1947, le galeriste salzbourgeois Friedrich Welz l'a acquis légalement le 9 octobre 1940 auprès du marchand d'art parisien Rudolf Holzapfel pour la Salzburger Landesgalerie, où il a été exposé dans le cadre de l'exposition "L'art français au 20e siècle" ; selon les indications de l'ancien propriétaire, le tableau provient de la succession du peintre Paul Matthias Padua, qui a acquis quelques œuvres de la Salzburger Landesgalerie ; ni le "Art Loss Register" ni la "Lost Art Database" ne mentionnent le tableau comme disparu. Source : "L'art français au 20e siècle". , Galerie Welz (Hsg.), 1941, ill. p 8. Informations sur l'artiste : en fait Jean Désiré Gustave Courbet, peintre français. peintre, lithographe (1819 Ornans à 1877 La Tour de Peilz), à partir de 1837 lycée à Besançon, ici encouragement artistique par Pere Baud d'Ornans et élève de l'école privée de dessin de Charles-Antoine Flajoulot, à partir de 1840 études de droit à Paris, parallèlement formation artistique autodidacte au Louvre et encouragement par Carl von Steuben et Nicolas-Auguste Hesse, dans les années 1840, premières expositions au Salon de Paris, en 1844, se consacre entièrement à la peinture, entretient des contacts avec Charles Baudelaire, Pierre-Joseph Proudhon et Max Buchon, au début des années 1850, encouragé par Alfred Bruyas, création du Pavillon du Réalisme, outre sa peinture provocatrice, Courbet est politiquement actif et défend des idées démocratiques et anarchistes. positions anarchistes, entreprend des voyages d'études en Allemagne avec des séjours prolongés à Francfort-sur-le-Main et Munich et en Autriche (Vienne), parfois à Trouville-sur-Mer, où il se lie d'amitié avec James Mc Neill Whistler, plus tard à Étretat, il fait la connaissance de Claude Monet, ami de Jean-Jacques Henner et de Puvis de Chavannes, membre du conseil municipal de la Commune de Paris en 1871, responsable de la destruction de la Colonne Vendôme, raison pour laquelle il fut condamné à six mois de prison et 500 francs d'amende en 1872 et à reconstruire la colonne en 1875 pour 335.000 francs, après un séjour à l'hôpital de Neuilly-sur-Seine, il s'enfuit en 1875 pour échapper à ses créanciers et se réfugia en Suisse, à La Tour-de-Peilz, au bord du lac Léman, où il passa les dernières années de sa vie en exil, endetté. Il est considéré comme l'un des principaux représentants de la peinture réaliste en France, source : Thieme-Becker, Saur "Bio-Bibliographisches Künstlerlexikon", Bénézit et Wikipedia.

Traduit automatiquement par DeepL. Seule la version originale fait foi.
Pour voir la version originale, cliquez-ici.

4372 
Aller au lot
<
>

Gustave Courbet, "Ruisseau sauvage". Paysage de ruisseau des années 1860, typique de l'œuvre de Courbet par son motif, sa couleur et sa manière de peindre, torrent tumultueux dans un paysage de forêt rocheuse et déchiquetée, peut-être une étude préparatoire à l'"Entrée de la vallée du Puits-Noir, Douvs" de Courbet, illustrée à plusieurs reprises, Evening Effect" de 1865, Courbet s'installa en 1860 dans un atelier sur la route d'Ornans à Besançon, dans sa Franche-Comté natale. Comme pour les paysages fluviaux de Courbet de ces années, il superpose des surfaces colorées sur un fond sombre, comme il le remarque lui-même : " La nature est noire et sombre sans le soleil, je fais ce que fait le soleil, je mets les points importants dans la lumière, et voilà le tableau.", peinture très pâteuse réalisée à la spatule, huile sur carton peint, du milieu des années 1850 au début des années 1870, signé "G. Courbet" en bas à gauche, fragment d'étiquette de la Salzburger Landesgalerie au dos avec désignation et titre, le numéro d'inventaire et le numéro d'inventaire du cadre correspondent aux indications du livre d'inventaire de la Landesgalerie de Salzbourg (cf : Fritz Koller, Das Inventarbuch der Landesgalerie Salzburg (1942-1944), Salzbourg 2000, p. 216 et suivantes), nous remercions également Susanne Greimel du Museum der Moderne Salzburg pour ses aimables indications à ce sujet, étiquette au dos du fabricant du fond de peinture "GENUINE FLEMISH GROUNDS [..] BY C.. DAVY [...] LONDON", sur une étiquette ultérieure encore une fois désigné "Courbet", petits manques sur le bord du tableau, sinon bon état original non restauré, non encadré, dimensions du pli environ 24 x 32,6 cm. Provenance : selon l'inventaire d'après-guerre de l'armée américaine de 1947, le galeriste salzbourgeois Friedrich Welz l'a acquis légalement le 9 octobre 1940 auprès du marchand d'art parisien Rudolf Holzapfel pour la Salzburger Landesgalerie, où il a été exposé dans le cadre de l'exposition "L'art français au 20e siècle" ; selon les indications de l'ancien propriétaire, le tableau provient de la succession du peintre Paul Matthias Padua, qui a acquis quelques œuvres de la Salzburger Landesgalerie ; ni le "Art Loss Register" ni la "Lost Art Database" ne mentionnent le tableau comme disparu. Source : "L'art français au 20e siècle". , Galerie Welz (Hsg.), 1941, ill. p 8. Informations sur l'artiste : en fait Jean Désiré Gustave Courbet, peintre français. peintre, lithographe (1819 Ornans à 1877 La Tour de Peilz), à partir de 1837 lycée à Besançon, ici encouragement artistique par Pere Baud d'Ornans et élève de l'école privée de dessin de Charles-Antoine Flajoulot, à partir de 1840 études de droit à Paris, parallèlement formation artistique autodidacte au Louvre et encouragement par Carl von Steuben et Nicolas-Auguste Hesse, dans les années 1840, premières expositions au Salon de Paris, en 1844, se consacre entièrement à la peinture, entretient des contacts avec Charles Baudelaire, Pierre-Joseph Proudhon et Max Buchon, au début des années 1850, encouragé par Alfred Bruyas, création du Pavillon du Réalisme, outre sa peinture provocatrice, Courbet est politiquement actif et défend des idées démocratiques et anarchistes. positions anarchistes, entreprend des voyages d'études en Allemagne avec des séjours prolongés à Francfort-sur-le-Main et Munich et en Autriche (Vienne), parfois à Trouville-sur-Mer, où il se lie d'amitié avec James Mc Neill Whistler, plus tard à Étretat, il fait la connaissance de Claude Monet, ami de Jean-Jacques Henner et de Puvis de Chavannes, membre du conseil municipal de la Commune de Paris en 1871, responsable de la destruction de la Colonne Vendôme, raison pour laquelle il fut condamné à six mois de prison et 500 francs d'amende en 1872 et à reconstruire la colonne en 1875 pour 335.000 francs, après un séjour à l'hôpital de Neuilly-sur-Seine, il s'enfuit en 1875 pour échapper à ses créanciers et se réfugia en Suisse, à La Tour-de-Peilz, au bord du lac Léman, où il passa les dernières années de sa vie en exil, endetté. Il est considéré comme l'un des principaux représentants de la peinture réaliste en France, source : Thieme-Becker, Saur "Bio-Bibliographisches Künstlerlexikon", Bénézit et Wikipedia.

Estimation 20 000 - 30 000 EUR
Mise à prix 20 000 EUR

* Hors frais de vente.
Reportez vous aux conditions de vente pour calculer le montant des frais.

Frais de vente : 32.13 %
Déposer un ordre
S'inscrire à la vente

En vente le samedi 31 août : 10:00 (CEST)
plauen, Allemagne
Auktionshaus Mehlis GmbH
+493741221005
Voir le catalogue Consulter les CGV Infos vente

Livraison à
Modifier votre adresse de livraison
La livraison est optionnelle.
Vous pouvez recourir au transporteur de votre choix.
Le prix indiqué n’inclut ni le prix du lot, ni les frais de la maison de vente.

Vous aimerez peut-être