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Description

Casquette à visière du Panzer Truppen (corps blindé) de la Seconde Guerre mondiale pour les hommes enrôlés et les sous-officiers. Elle a été trouvée dans un grenier allemand, enveloppée dans du papier de soie et dans une boîte. La boîte a été jetée car elle avait été grignotée par des rongeurs. On pense que la casquette a été utilisée pour le mariage de leur grand-père et qu'elle est restée dans la boîte depuis lors.

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Casquette à visière du Panzer Truppen (corps blindé) de la Seconde Guerre mondiale pour les hommes enrôlés et les sous-officiers. Elle a été trouvée dans un grenier allemand, enveloppée dans du papier de soie et dans une boîte. La boîte a été jetée car elle avait été grignotée par des rongeurs. On pense que la casquette a été utilisée pour le mariage de leur grand-père et qu'elle est restée dans la boîte depuis lors.

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[Bibliographie] Ensemble de 4 volumes : (Tirages photocopies, format A4 sous reliures toile et Skivertex rouges) William Hobart Royce, Writings relative to the Life and Works of Honoré de Balzac. The University of Chicago Press, Kraus Reprint Co., 1969. Otto Klapp, Bibliographie d'Histoire littéraire française. Frankfurt,Vittorio Klostermann. Contient toutes les entrées «Balzac» des Tomes I à XXVIII, de 1956 à 1990. Otto Klapp, Bibliographie d'Histoire littéraire française. Frankfurt,Vittorio Klostermann. Tomes XXIX et XXX (1991-1992) L. Carteret, Le Trésor du bibliophile romantique et moderne, 1801-1875. Carteret, 1927 (Pages 41 à 92 sur Balzac) Le Courrier Balzacien. Paris, 1948-1949, In-8. Ensemble des 6 premiers numéros, de décembre 1948 à décembre 1949, tirage de luxe à 120 exemplaires vélin pur fil des Papeteries Johannot (N° XXII), Le n°6 est l'un des 10 exemplaires H. C. (N°9). En feuilles, couverture imprimée, premier plat avec sur les volumes 1 à 5 des portraits de Balzac à différentes époques de sa vie. Bon état. Courrier Balzacien : Lot d'environ 120 numéros des années 80 à 2022, certains en double, manques dans le série, certains numéros plus anciens photocopiés. Anonyme [Harel, Alhoy et Jal], Dictionnaire théâtral ou douze cent trente-trois vérités sur les directeurs, Régisseurs, acteurs (etc.) des divers théâtres. 2e édition avec un supplément. Paris, Barba, 1825, in-12, 318p. Lédition originale est datée de 1824. Harel, en homme de théâtre, peut prétendre à une appréhension du fait théâtral de l'intérieur. À la parution de son dictionnaire, dont la préface à la seconde édition témoigne d'une réception tumultueuse, il n'est cependant pas encore directeur de l'Odéon, et il s'est adjoint l'aide de deux autres auteurs, rompus aux grandes entreprises éditoriales mais qui ne sont pas du tout spécialistes de théâtre : Maurice Alhoy, auteur à succès, et Auguste Jal, spécialiste de littérature maritime. Cachet d'ex-libris « Salvador H. » sur la page de faux-titre. Reliure demi-basane rouge, dos lisse à 5 faux nerfs de 3 filets dorés, 3 fleurons à froid et 2 fleurons dorés entre les nerfs, roulettes en tête et en queue, dos légèrement passé ; tranches marbrées. Bon exemplaire.

École italienne ; milieu du 17e siècle. "Vénus et Mars". Huile sur toile. Recolorée. Elle a été repeinte et restaurée. Elle présente le reentelado détaché dans le périmètre extérieur. Dimensions : 98 x 110 cm. La volupté des formes de la protagoniste, et la sensualité de celles-ci indiquent qu'il s'agit de la représentation de la déesse Vénus. Située au centre de la composition, elle est entourée de toute une suite de petits amants qui l'entourent et la divertissent. La déesse, qui regarde l'un des petits amants tenant une flèche, pointe la main vers une zone de la composition où l'on aperçoit une partie du corps d'un personnage masculin et, dans la partie inférieure, les reflets étincelants d'une armure. Cette caractéristique indique que l'homme pourrait être Mars. Bien que Vénus ait été mariée au dieu Héphaïstos, elle a entamé une relation avec le dieu Mars, qui était tombé amoureux en la voyant. C'est ainsi que commença la cour. Chaque nuit, pendant qu'Héphaïstos travaillait, les deux amants se rencontraient. Cette histoire est racontée par l'aède Démodocus dans l'"Odyssée" d'Homère, qui raconte que c'est le dieu du soleil, Hélios, qui découvrit les amants une nuit où ils s'étaient attardés trop longtemps. Le dieu alerta alors Héphaistos qui, furieux, disposa au-dessus du lit un subtil filet métallique invisible que lui seul pouvait actionner et qui avait le pouvoir d'immobiliser même les dieux. C'est ainsi qu'il piégea les amants la fois suivante, puis convoqua les autres dieux pour qu'ils soient témoins de l'adultère, dans le but de les humilier. Certains commentèrent la beauté d'Aphrodite, d'autres dirent qu'ils se seraient volontiers échangés contre Arès, mais tous se moquèrent d'eux. Lorsque le couple fut libéré, Arès s'enfuit dans sa Thrace natale et Aphrodite se rendit à Chypre. Sur le plan formel, cette œuvre est dominée par l'influence du classicisme romano-bolognais des Carrache et de leurs disciples, l'un des deux grands courants du baroque italien, avec le naturalisme du Caravage. Ainsi, les figures sont monumentales, avec des visages idéalisés et des gestes sereins et équilibrés, dans une représentation idéalisée basée sur les canons classiques. La rhétorique des gestes, théâtrale et éloquente, clairement baroque, est également typique du classicisme italien du XVIIe siècle. Il faut également noter l'importance de l'aspect chromatique, très étudié, tonique et équilibré, centré sur les teintes de base que sont le rouge, l'ocre et le bleu. La composition de la scène est également typique de cette école du classicisme baroque, avec un rythme circulaire et fermé d'un côté et une ouverture sur le paysage de l'autre. Cependant, malgré la dominance du classique, on note une certaine influence du naturalisme, notamment dans l'éclairage. Ainsi, bien que la lumière soit naturelle, elle est dirigée, se concentrant sur la scène principale et laissant le reste dans la pénombre, différenciant ainsi les différents plans de l'espace et concentrant l'attention du spectateur sur la scène.