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Description

SOLME VEDEL Kristian (1923-2003) Soren Willadsen (Editeur) - Fauteuil et son ottoman modèle Modus en palissandre et cuir noir. Danemark vers 1960. Fauteuil : H : 66 cm. L. : 72,5 cm. P. : 54 cm. Usures à l'assise et maque bouton.

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SOLME VEDEL Kristian (1923-2003) Soren Willadsen (Editeur) - Fauteuil et son ottoman modèle Modus en palissandre et cuir noir. Danemark vers 1960. Fauteuil : H : 66 cm. L. : 72,5 cm. P. : 54 cm. Usures à l'assise et maque bouton.

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MARC RIBOUD (Saint-Genis-Laval, 1923-Paris, 2016). "Le peintre de la Tour Eiffel, Paris, 1953. Gélatine argentique. Tirage ultérieur. Signée et datée à l'encre, dans la marge. Provenance : Collection O'Hara, New York. Dimensions : 37,5 x 24 cm (image) ; 40,8 x 30 cm (papier). "Peintre à la Tour Eiffel" est la première photographie que Marc Riboud a publiée dans Life Magazine (1953). On peut y apprécier un élément qui a traversé l'œuvre artistique de Riboud : sa capacité à extraire la magie de n'importe quelle activité, aussi adverse ou anodine soit-elle. C'est pourquoi, bien qu'il ait été correspondant de guerre, on se souvient surtout de lui comme d'un photographe humaniste, car ce sont les valeurs humaines face à l'adversité qu'il a toujours défendues. Marc Riboud était un photographe français spécialisé dans le photojournalisme qui faisait partie de l'agence Magnum. Au début de la Seconde Guerre mondiale, il combat dans la Résistance et commence ses études d'ingénieur à l'École centrale de Lyon en 1945. Il apprend la photographie de manière autodidacte dès l'âge de quinze ans, en utilisant un appareil Vest Pocket Kodak fourni par son père. Après avoir travaillé comme ingénieur, il rejoint en 1952 l'agence Magnum, après avoir rencontré Henri Cartier-Bresson et Robert Capa, où il réalise les reportages les plus importants de sa carrière jusqu'en 1979. Il a été l'un des premiers photographes autorisés à entrer en Chine en 1957 et presque le seul Occidental à rendre compte de la guerre du Viêt Nam depuis le Nord-Viêt Nam. Il a publié de nombreux livres et a exposé son travail dans de nombreuses villes. En 2003, il a reçu le prix Cornell Capa des Infinity Awards. Il a fait l'objet de plusieurs expositions rétrospectives, comme celle qui s'est tenue en 1997 à New York et en 2005 à Paris. Expositions (sélection depuis 2010) : 2010 Au jardin de Krishna Riboud, Musée national des Arts Asiatiques-Guimet, Paris. 2011 I comme Image, Maison européenne de la photo, Paris. 2012 Lors des Journées du patrimoine, Saint-Genis-Laval. 2014-2015 Marc Riboud - Début de siècle, Conseil régional Rhône-Alpes. 2014 De grace un geste - Musée d'art moderne Richard Anacréonte, Granville.

ANTONI TÀPIES PUIG (Barcelone, 1923 - 2012). "El cap", 1987. Gravure, exemplaire HC 11/15. Signée et justifiée au crayon. Dimensions : 98 x 130 cm (estampe) ; 135 x 168 cm (cadre). Certaines des recherches plastiques de Tàpies dans les années 80 convergent dans "El Cap" : la numérologie et l'alchimie (la progression et la séquence codées dans les nombres 1,2,3,4), la croix grecque (avec son sens spirituel au-delà du dogme chrétien, ajouté à l'idée d'intersection et d'identité personnelle) et l'accent mis sur le zéro comme symbole du vide et du plein, du cycle et de l'éternité, c'est-à-dire de la conjugaison des opposés. Enfin, la calligraphie en traits noirs défie la lisibilité pour souligner la texture et l'énigme du texte. Cofondateur de "Dau al Set" en 1948, Tàpies commence à exposer dans les Salones de Octubre à Barcelone, ainsi qu'au Salón de los Once à Madrid en 1949. Après sa première exposition personnelle aux galeries Layetanas, il se rend à Paris en 1950, grâce à une bourse de l'Institut français. En 1953, il expose en solo à la galerie new-yorkaise de Martha Jackson. Dès lors, ses expositions, tant collectives qu'individuelles, se déroulent dans le monde entier, dans des galeries remarquables et dans des musées tels que le Guggenheim de New York ou le Musée d'art moderne de Paris. Depuis les années 70, des anthologies lui sont consacrées à Tokyo, New York, Rome, Amsterdam, Madrid, Venise, Milan, Vienne et Bruxelles. Autodidacte, Tàpies a créé son propre style au sein de l'art d'avant-garde du XXe siècle, alliant tradition et innovation dans un style abstrait mais plein de symbolisme, accordant une grande importance au substrat matériel de l'œuvre. Il convient de mentionner le sens spirituel marqué que l'artiste donne à son œuvre, où le support matériel transcende son état pour signifier une analyse profonde de la condition humaine. L'œuvre de Tàpies a été très appréciée au niveau international et a été exposée dans les musées les plus prestigieux du monde. Tout au long de sa carrière, il a reçu de nombreux prix et distinctions, dont le Praemium Imperiale du Japon, le Prix national de la culture, le Grand prix de peinture de France, la Wolf Foundation of the Arts (1981), la Médaille d'or de la Generalitat de Catalunya (1983), le Prix du Prince des Asturies pour les arts (1990), la Médaille Picasso de l'Unesco (1993) et le Prix Vélasquez pour les arts plastiques (2003). Antoni Tàpies est représenté dans les plus grands musées du monde, comme la fondation qui porte son nom à Barcelone, le Reina Sofía à Madrid, le Guggenheim à Berlin, Bilbao et New York, le Fukoka Art Museum au Japon, le MoMA à New York et la Tate Gallery à Londres.