Description

Gustave Adolphe MOSSA (1883-1971) "La religieuse" Etude à l'encre sur papier pour une aquarelle de 1913. Signée du cachet G.A Mossa en bas à droite, titrée et marquée Frohlich en bas à droite et en bas à gauche. Encadrée sous verre. A vue : 48 x 30.5 cm (Pliures et rousseurs).

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Gustave Adolphe MOSSA (1883-1971) "La religieuse" Etude à l'encre sur papier pour une aquarelle de 1913. Signée du cachet G.A Mossa en bas à droite, titrée et marquée Frohlich en bas à droite et en bas à gauche. Encadrée sous verre. A vue : 48 x 30.5 cm (Pliures et rousseurs).

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Service photographique dirigé par Alphonse Bertillon Adolphe Berland, assassin de 19 ans, guillotiné le 27 juillet 1891 Épreuve albuminée, 10,5x6 cm, sur carton de l’identité judiciaire au format carte de viste Adolphe est le fils de la mère Berland. À 55 ans, celle-ci continue à se prostituer pour compléter son maigre salaire de marchande de journaux. Elle n'hésite pas à recevoir ses clients dans le lit qu'elle partage avec son fils. Lequel continue de dormir pendant que sa mère gagne son pain. Un jour, un client a même la mauvaise idée de mourir en pleine action et la mère se contente de le pousser dans un coin. Au bout de deux jours, l'odeur du cadavre alerte les voisins, qui préviennent la police. Le corps est emporté dans un vieux sac à patates, faute de draps dans l’appartement. Quand le commerce de la mère Berland commence à battre de l'aile, elle incite son fils et ses amis à pratiquer le vol à l'étalage. Elle fonde, en quelque sorte, une école du crime, mais là encore, les affaires marchent mal. Alors, un soir de décembre 1890, elle réunit la petite bande chez elle pour choisir une première victime. Gustave propose le nom de la veuve Menier-Dessaigne à qui il avait livré de la viande lorsqu'il était apprenti-boucher. Octogénaire, la veuve habite une maisonnette à Courbevoie. Détail macabre, sa mère et sa sœur avaient déjà été assassinées… Le procès aux assises est vite expédié. Adolphe, sa mère et son complice Gustave sont envoyés à la guillotine, tandis que deux autre complices sont condamnés au bagne. Le jour de l'exécution est fixé au 27 juillet 1891. Tous les voyous de Paris se sont donné rendez-vous place de la Roquette pour le spectacle. La mère Berland est graciée au pied de l'échafaud. Mais son fils Adolphe et Gustave n'ont pas cette chance. Les deux corps et les deux têtes sont emmenés dans le même panier au cimetière. (d’après un podcast du journal Le Point)