Null Buste de Frédéric-Guillaume de Prusse ; Europe du Nord, vers 1880.

Bronze …
Description

Buste de Frédéric-Guillaume de Prusse ; Europe du Nord, vers 1880. Bronze patiné sur base en marbre "rosso levanto". Dimensions : 17 x 5,5 x 5,5 cm. Buste de Frédéric-Guillaume de Prusse, connu sous le nom de Roi-Soldat. Roi de Prusse et électeur de Brandebourg de 1713 à sa mort en 1740, ainsi que prince de Neuchâtel. Son réveil politique a eu lieu lors de l'épidémie de peste de la Grande Guerre du Nord en Prusse, ce qui l'a amené à remettre en question la corruption et l'inefficacité du gouvernement. Il lance des réformes, en particulier dans le domaine militaire, et augmente considérablement la taille de l'armée prussienne. Partisan de la monarchie absolue, il se concentre sur le développement de l'État et la réorganisation financière, en imposant des taxes et des règles strictes aux fonctionnaires.

20 

Buste de Frédéric-Guillaume de Prusse ; Europe du Nord, vers 1880. Bronze patiné sur base en marbre "rosso levanto". Dimensions : 17 x 5,5 x 5,5 cm. Buste de Frédéric-Guillaume de Prusse, connu sous le nom de Roi-Soldat. Roi de Prusse et électeur de Brandebourg de 1713 à sa mort en 1740, ainsi que prince de Neuchâtel. Son réveil politique a eu lieu lors de l'épidémie de peste de la Grande Guerre du Nord en Prusse, ce qui l'a amené à remettre en question la corruption et l'inefficacité du gouvernement. Il lance des réformes, en particulier dans le domaine militaire, et augmente considérablement la taille de l'armée prussienne. Partisan de la monarchie absolue, il se concentre sur le développement de l'État et la réorganisation financière, en imposant des taxes et des règles strictes aux fonctionnaires.

Les enchères sont terminées pour ce lot. Voir les résultats

Vous aimerez peut-être

Lettre signée de Frédéric le Grand, invitant le Marquis de Lafayette à une exposition militaire prussienne Fascinante LS en français, signée "Frederic", une page, 7,5 x 9,25, juillet 1785. Lettre d'invitation non traduite envoyée au marquis de Lafayette pour assister à une exposition des manœuvres militaires de l'armée prussienne. Des invitations de ce type ont également été envoyées à d'autres chefs militaires européens, dont le général Cornwallis. En très bon état. Tout au long du règne de Frédéric II "le Grand" de Prusse, l'armée prussienne organisait des revues sur le terrain de parade en été et des exercices d'entraînement au combat réaliste en automne. Le "Vieux Fritz" manœuvrait souvent entre 30 et 45 000 hommes au cours de ces batailles et campagnes simulées. En 1785, des officiers français, britanniques et américains ont été invités à observer la revue et les manœuvres de Silésie, qui se sont déroulées en août et en septembre. De nombreuses personnalités militaires de premier plan de la guerre de Sept Ans et de la guerre d'indépendance américaine étaient présentes. Le marquis de Lafayette était présent, tout comme le général Charles Cornwallis et un certain nombre de personnalités militaires moins importantes, telles que le duc d'York et d'Albany (le deuxième fils de George III), le prince Frédéric-Guillaume de Prusse, les colonels britanniques Abercromby, David Dundas et Thomas Musgrave, les généraux français Duportail et Gouvion et le colonel américain Williams Stephens Smith. Lafayette passa par Cassel pour se rendre à la revue de 1785 et, dans une lettre au général George Washington, il se souvient de sa rencontre avec ses "amis hessois" et la décrit comme cordiale : Je leur ai dit qu'ils étaient de très bons camarades ; ils m'ont remercié et m'ont fait des compliments. D'anciens ennemis peuvent se rencontrer avec plaisir, mais je pense que ce plaisir doit être plus grand du côté de ceux qui ont combattu pour une cause victorieuse. En revanche, l'ancien ennemi de Lafayette, Charles Cornwallis, était apparemment abattu tout au long des débats en Prusse. Cornwallis, peut-être encore sous le coup de Yorktown, se souvient : "Mon accueil en Silésie n'a pas été flatteur ; il y avait une préférence très marquée pour La Fayette ; je ne sais pas si cela venait du fait que le roi connaissait mieux la France et aimait mieux en parler".